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samedi 14 novembre 2020

lundi 19 février 2018

François Darnaudet: Le Papyrus de Venise


LE PAPYRUS DE VENISE Format Kindle

Voici ma meilleur vente en numérique : environ 2 200 ventes sur Amazon à comparer avec les 1000 exemplaires de la version papier chez Nestiveqnen. C'est le livre qui a été le plus encensé et le plus conchié de mon oeuvrette. Mais j'ai adoré l'écrire, je m'en fous. Il y avait Venise, l'Atlantide, Lautréamont, Custer, un Minotaure etc. La moyenne de 3 étoiles est obtenue grâce à un grand nombre de 1 et de 5. Bref, c'est le seul de mes romans à avoir déclenché ces réactions aussi opposées. Mais 3200 ventes (2200 + 1000) à l'arrivée. Pour un roman fantastique et aussi disjoncté...
#Amazon

Quel lien mystérieux unit les chasseurs de dinosaures du dix-neuvième siècle, la mort du poète Lautréamont en plein siège de Paris, le massacre du lieutenant-colonel Custer près de Little Bighorn, la Dame d'Elche, l'effondrement du Campanile de Venise, le disque de Phaïstos, le philosophe Platon et Venise, l'immortelle Venise ?
"L'Atlantide !" répond un curieux personnage vivant sur l'île de Burano et qui dit s'être appelé Jacques Bergier dans une précédente vie.
La réédition en numérique du célèbre "Le papyrus de Venise".

Le papyrus de Venise Broché – 16 novembre 2006

Et la version papier... J'aime les deux illustrations. Celle du numérique par Elric Dufau est charmante et reposante. Celle de Pierre Massine en papier est plus tourmentée. Venise, ma chère Venise dans les deux couves.
#Amazon 



François Darnaudet https://www.facebook.com/francois.darnaudet

mardi 30 janvier 2018

dimanche 13 novembre 2016

Interview de François Darnaudet pour “L’homme qui valait des milliards”




https://vimeo.com/189729463
C'était en mai à Arès avec Michel Lenoir ! Je ne la connaissais pas cette vidéo. Actuellement, L'Homme... est en finale (à 10) pour le prix Tangente des lycéens... français, gros gros prix de prestige. L'Homme... avait été finaliste malheureux au prix Michel Lebrun MAIS, il avait remporté le prix de l'Académie du Bassin d'Arcachon. Bref, pour L'Homme..., l'aventure continue avec le concours Tangente !
https://www.facebook.com/francois.darnaudet



samedi 30 juillet 2016

DARNAUDET – ELRIC : Witchazel et le sort du Wlouf.

https://www.facebook.com/francois.darnaudet/posts/1125692137495495
Elric Dufau-Harpignies et moi-même, nous serons en dédicace suivie d'un apéro à la librairie Le Jardin des Lettres d'Andernos, en Gironde, sur le Bassin d'Arcachon, le samedi 6 août de 17h à 19h. Je dédicacerai également mon dernier polar, L'Homme qui valait des milliards. En attendant, voici une chronique de l'oncle Paul Maugendre qui intéressera également Polo Chon et Laure Durandelle!
http://leslecturesdelonclepaul.over-blog.com/2016/07/darnaudet-elric-witchazel-et-le-sort-du-wlouf.html
Ma sorcière bien-aimée...



La vie est dure pour une jeune sorcière, surtout lorsqu'elle débute comme Hamamélis et qu'elle vient de quitter sur un coup de tête sa mère et sa sœur.
Elle est diplômée en sorcellerie et compte bien exercer ses talents à la Lagune brune, un territoire composé d'îlots. Un aimable gondolier, naviguant gaiment, lui propose de l'emmener, qui plus est gratuitement. Seulement, au bout de dix jours, l'officine d'Hamamélis gentille sorcière, reste désespérément vide. Pas trace de client.
Seul le chat Pristi lui rend visite chaque jour, lui offrant un bouquet de fleurs. Et des fleurs elle en a plein les vases et par-dessus la tête. Le père Duchêne aussi vient lui dire un petit bonjour amical, et lui rapporte les rumeurs, les ragots de clients potentiels. Hamamélis possède trop d'atouts qui jouent contre elle. Elle est trop jeune, trop jolie, trop gentille, inexpérimentée, bref elle est comme de nombreux jeunes qui voudraient s'installer mais ne peuvent le faire pour des raisons fallacieuses. Passons.
La nuit porte conseil a déclaré le père Duchêne. Hamamélis décide de se vieillir, de changer de nom, et surtout de prouver à tous qu'elle n'est pas manchote, mais mulote, en s'adonnant à quelques tours de magie avec la complicité du chat Pristi. Elle s'installe dans son échoppe après avoir changé de raison commerciale : Witchazel, la plus grande sorcière.
Les badauds qui ont pu assister à ces quelques exploits commencent à affluer et une file indienne de quémandeurs de sorts s'aligne sur le chemin menant à son antre, fort agréablement aménagé et lumineux.
Parmi ces nouveaux clients, certains n'hésitent pas à lui formuler des sollicitations particulières. De plus elle apprend par le chat Pitau, le cousin de Pristi, que celui-ci est emprisonné dans le tronc des Soupirs, accusé d'avoir volé la baronne des Trois-crics. Ni une, ni deux elle rend immédiatement visite à son ami, est arraisonnée par des policiers dont je ne définirai pas le comportement, et le commissaire, un client, lui propose d'élucider cette affaire en contrepartie de la liberté de Pristi.
Frais, réjouissant, ce conte animalier dont le décor emprunte à Venise, un lieu cher à Darnaudet, joue sur les situations et vous l'avez déjà deviné, les jeux de mots et de maux.
On pourrait penser à Benjamin Rabier, à Maurice Cuvillier le créateur de Sylvain et Sylvette, à Cécile et Jean de Brunhoff créateur et illustrateur de Babar, mais sans les personnages humains qui évoluaient dans leurs histoires, pour cette aimable fable dans laquelle apparaissent Maître Hibou Deficelle, notaire, un serpent à sornettes, un canard déchainé, et autres sympathiques, ou prétendus tels, personnages comme la Pie Lélectrique.
Et Hamamélis devenue Witchazel, la gentille mulote qui veut aider ses concitoyens par la bonté grâce à ses sorts et ses potions, va résoudre pour le mieux cette intrigue bon enfant qui n'est pas uniquement destinée justement aux enfants. Les adultes vont se délecter à lire et regarder ses aventures tout comme ils aiment se replonger dans celles de Tintin, des Pieds Nickelés, de Lucky Luke. Grâce aux dessins d'Elric, on entre dans le charme de cette fameuse ligne claire de l'école belge, tout en y dérogeant car il possède son style déjà établi dans le précédent album réalisé avec François Darnaudet : Harpignies.
Les deux auteurs, François Darnaudet et Elric se complètent et nous livrent ce premier tome d'une nouvelle série à suivre, sans oublier la coloriste Laure Durandelle.

mercredi 27 mai 2015

Le Taxidermiste en 32ième place dans le top des meilleures ventes d’Amazon !

   
http://www.amazon.fr/gp/bestsellers/digital-text/892040031/ref=zg_bs_nav_kinc_3_891653031#2


Chez Interzone Editions : Le Taxidermiste en édition électronique en 32ième place dans le top des meilleures ventes d’Amazon ! (26/05/2015)
http://www.amazon.fr/…/8920…/ref=zg_bs_nav_kinc_3_891653031…
Disponible également en anglais: The Taxidermist , traduit par Ken Gage, et en néerlandais: De Taxidermist, traduit par Peter Van De Leur.



Dans le site d’Interzone Editions :
http://www.interzoneeditions.net/letaxidermiste.htm
...
Le Taxidermiste
de François DARNAUDET et José ALTIMIRAS
5.0 étoiles sur 5 (1)
Format Kindle EUR 2,99



jeudi 30 avril 2015

François Darnaudet: Autopsie d'un bouquiniste: menace sur Arcachon

http://www.amazon.fr/gp/product/3831328331/
Sortie prévue le 4 mai 2015
Broché: 10,90 €



  • Broché: 168 pages
  • Editeur : Editions Wartberg (4 mai 2015)
  • Collection : Zones noires
  • Langue : Français
  • ISBN-10: 3831328331
  • ISBN-13: 978-3831328338
  • Dimensions du produit: 20 x 1,2 x 12 cm
https://www.facebook.com/francois.darnaudet

lundi 3 novembre 2014

BD: Harpignies, l’interview d’Elric



http://www.maxoe.com/rama/culture-dossiers/focus-livres/harpignies-linterview-delric/
28.10.14, 16:10 | Par
Dans : Livres/BD 
Tag(s) :




HARPIGNIES_mep.indd
Harpignies
Harpignies d’Elric et Darnaudet (Paquet)


Le jeune Eric Harpignies sillonne une campagne verdoyante censée l’inspirer. Chevalet sous le bras, sac en bandoulière coiffé d’un haut de forme qui lui donne un air fin de siècle il semble un peu perdu dans ses pensées. Il faut dire que le jeune homme ne sait pas trop où il en est dans sa vie. Tiraillé qu’il est entre une petite amie qui lui fait humer le goût de l’interdit, une famille sans le sous qui vend les tableaux d’un aïeul bien connu des spécialistes de la peinture fin XIXème siècle, et sa vie professionnelle qui manque sacrément de relief, deviendra-t-il peintre ? Musicien ? Ou rien de tout cela ? Mais revenons un peu en arrière pour tout comprendre. Eric possède donc un ancêtre qui a fait les beaux jours de l’école de Barbizon, Henri de son prénom, né en 1819 et décédé à l’âge canonique de 97 ans qui peignait des paysages avec une facilité déconcertante. Mais pour l’instant nous n’en sommes pas là. La grand-mère d’Eric vient de décéder et les parents du jeune homme pas particulièrement en fonds se décide à vendre la dernière toile d’Henri Harpignies, pour un prix qui correspond à l’oubli actuel du peintre, c’est-à-dire pas grand-chose, mais de quoi retarder les échéances des banques qui se font pressantes. Le train qui le mène vers Paris se trouve bloqué en gare de Montpellier et le jeune homme décide alors de partir visiter la ville, et découvre un peu par hasard le musée Fabre, qui pourrait afficher des tableaux de son aïeul. Le musée n’est pas particulièrement bondé et il tombe en grâce devant une belle jeune fille qui reproduit un tableau d’un des membres de l’Ecole de Barbizon. Coïncidence ? Peut-être, en tout cas les deux vont faire un petit bout de chemin ensemble au point d’envisager, devant le talent d’Eric pour la peinture, de se faire faussaire !


Une histoire d’amour en apparence toute simple. Eric et Marie possèdent des passions communes pour la peinture, pour la musique, pour la liberté aussi de vivre sans se soucier du lendemain. Ils possèdent aussi se brin de détachement face aux réalités du monde et cette pincée d’insouciance qui pourrait les mener sur des sentiers glissants. Avec Harpignies, Elric (Dufau) le dessinateur de ce projet, qui est un descendant du maitre paysagiste livre avec Darnaudet au scénario un récit particulièrement frais. Tout en dressant la biographie du peintre les deux auteurs donnent à voir, en avec pas mal d’humour, le destin de deux êtres qui se lient. Idée ô combien originale pour parler du peintre sans se faire trop pesant ou didactique. Un album découverte qui ne laisse pas indifférent et s’achève cerise sur le gâteau, par des documents sur le peintre Henri Harpignies et des reproductions d’un carnet comprenant des esquisses de portraits (rares pour le paysagiste).


Elric & Darnaudet – Harpignies – Paquet – 15,50 euros


http://youtu.be/acIVyx7-d7w





https://www.facebook.com/francois.darnaudet/posts/783383921726320

dimanche 5 octobre 2014

François DARNAUDET et Pascal METGE : Le regard qui tue.


Et regardez-moi bien face... ! Drôle de journée, disons plutôt journée singulière et éprouvante pour Argus Bréhier, orthoptiste de son état. Son oncle, verbicruciste de renom, décède accidentellement dans une station de métro, un de ses patients recommence à avoir des troubles de la vision et c'est louche, des agents du S.T.P. (Service de Protection du Territoire) le sollicitent tandis qu’une nouvelle patiente, une certaine madame Tricastin, requiert ses services. Argus suit donc un nommé Le Vigan qui l'attend devant chez lui, il est bien obligé, et alors qu'il pense se rendre à une destination inconnue, il est convié à monter l'escalier et entrer dans un appartement qui se trouve juste au dessus du sien. Il est reçu par trois individus, dont un borgne, un hypermétrope et le troisième, qui se présente comme le directeur adjoint du STP, s'injecte une sorte de collyre bleu dans les yeux. Argus n'en croit pas ses yeux, et ses oreilles, lorsqu'il apprend que son oncle émargeait à cette agence d'un genre particulier et qu'ils enquêtent sur sa mort. Ils remettent à Argus une photo retrouvée dans l'attaché-case du défunt. Le cliché représente une scène de rue, prise dans une ville anonyme, avec en premier plan une jeune femme portant des lunettes noires s'apprêtant à traverser la rue. Au dos de l'épreuve quelques mots inscrit avec un marqueur : le regard qui tue. A quoi peut bien correspondre ce petit texte, Argus n'en sait rien, mais les quatre hommes partis en laissant leur numéro de téléphone, il congédie sa secrétaire, Iris, et songe à la patiente qui l'attend dans son cabinet. Et là, surprise, vision de sa part, la jeune femme n'est autre que la réplique en chair et en os de celle de la photo. Aussitôt il s'affole, veut téléphoner aux quatre individus mais il tombe sur une messagerie. De toute façon elle est venue pour une auscultation, donc il procède ce pour quoi il est rémunéré, car il ne travaille pas à l'œil. Claire, c'est son prénom, possède des yeux vairons, un incident de parcours génétique, mais surtout elle travaille dans un laboratoire de recherche, et plus précisément sur les rayons lasers. Ces yeux il les trouve si beaux qu'il invite Claire à dîner et par la même occasion (non, je n'ai pas écrit que Claire était une occasion !) lui apprend que son oncle est décédé. Claire est émue car connaissait le tonton de vue. Bref au bout d'une conversation les yeux dans les yeux et la fourchette dans les mains, Claire l'invite chez à venir avec elle chez une certaine sœur Cécile. Ce n'est pas qu'il aurait dû y regarder à deux fois, mais comme il n'a pas le don de double vue, il sera surpris en rencontrant cette personne qui habite un domaine nommé le Cloître. Dois-je préciser que sous des dehors vaguement scientifiques à connotation anticipative ce roman est hautement jouissif et que vos paupières ne se fermeront pas avant le mot fin. Et d'ailleurs vous ne resterez pas sur votre faim non plus car ce texte humoristique vous fera passer un excellent moment, pour peu que vous appréciez la cocasserie, la fantaisie, le burlesque parfois. Je soupçonne fort les auteurs de s'être amusés comme des petits fous lors de l'écriture de cette histoire, tout en ne perdant pas de vue ce bon vieux principe : un livre pour être apprécié ne doit pas être ennuyeux, pontifiant. Le regard qui tue en est tout le contraire et ne peut que contenter le lecteur désireux de passer un bon moment et même parfois d'avoir la larme à l'œil lors des moments de franche rigolades surtout dans les scènes supposées dramatiques. Cet ouvrage comporte en outre une nouvelle titrée Quoi que vous voulez ?, d'une autobiographie fantastique de François Darnaudet, ainsi qu'une nouvelle signée Pascal Metge : La Patateuse.
François DARNAUDET et Pascal METGE : Le regard qui tue. Collection Blanche N°2008. Editions Rivière Blanche. 160 pages. 15,00€.
leslecturesdelonclepaul.over-blog.com
https://www.facebook.com/francois.darnaudet/posts/764677846930261

mardi 25 février 2014

ActuaLitté: Harpignies, dans l’atelier du faussaire, entre toiles et mystères

http://www.actualitte.com/critiques-bd/harpignies-dans-l-atelier-du-faussaire-entre-toiles-et-mysteres-2322.htm


Harpignies (Paquet) de François Darnaudet et Elric est un joli hommage à la peinture, à la jeunesse et à l'amour. Un hommage qui emprunte une forme inédite, entre le biopic et la semi-fiction ! 
Le biopic, c'est celui d'Henri Harpignies, paysagiste de l'école de Barbizon célèbre à son époque, mais bien oublié aujourd'hui. La semi-fiction nous raconte un épisode récent de la vie d'Elric Dufau-Harpignies, scénariste de cet album, et arrière-arrière-arrière (ouf !!!) - petit-neveu d'Henri. 


Rebaptisé Éric dans l'album, nous le voyons se rendre à Perpignan afin d'assister à la crémation de sa grand-mère. Il peut ainsi revoir ses parents, qui lui apprennent la vente récente pour cause de soucis financiers du seul tableau de son ancêtre jusque-là propriété de sa famille. Le jeune homme peut malgré tout récupérer un carnet de croquis rassemblant des caricatures, un aspect du travail d'Henri Harpignies qui intrigue Éric, jusque-là plutôt sévère pour ce peintre paysagiste qu'il juge académique, pour le peu qu'il connaît de lui.
Le récit de sa vie, et plus particulièrement de ses années de formation lui plaît beaucoup, car Henri est aussi à l'aise un violoncelle entre les mains qu'un pinceau au bout des doigts, comme Éric avec sa guitare et son crayon. Le TGV qui le ramène à Paris tombant en panne dans la gare de Montpellier, Éric se rend au musée Fabre pour tuer le temps, et qui sait, y trouver une toile d'Harpignies.
Par chance, il y en a plusieurs, et devant l'une d'elles, une délicieuse jeune fille occupée à la recopier pour sa thèse sur l'école de Barbizon. Fort de ses liens familiaux avec le peintre et armé de son carnet d'originaux, Éric séduit la jolie Marie qui le rejoint la semaine suivante à Paris. Entre une visite au musée d'Orsay et un peu de farniente dans le jardin des Tuileries, une idylle se noue.
Mais vivre d'art, d'amour et d'eau fraîche, c'est un peu frustrant. Alors, Marie a une idée : Éric s'est pris de passion pour les toiles de son ancêtre, et réussit désormais à peindre selon son style. Formée à la restauration des tableaux, sa jeune compagne peut leur donner la patine de l'ancien. Pourquoi dès lors ne pas réaliser des faux Harpignies et les vendre à la cote ? Un jeu dangereux et tentant...
Harpignies est un album très séduisant, dont la narration fonctionne parfaitement. En parallèle d'une histoire d'amour contemporaine, simple et rafraîchissante, on replonge dans le passé en égrenant quelques moments déterminants de la vie d'Henri Harpignies.
                            Harpignies
Harpignies - François Darnaudet et Elric, sur BDfugue.com
Instrumentiste doué, il s'oriente malgré tout vers la peinture en entrant dans l'atelier de Jean Achard. Son séjour en Italie lui permet de fixer les grandes lignes de son art. Travailleur acharné, il forme de nombreux élèves et meurt quasi centenaire. Un parcours marqué par l'idéalisme, un parcours bien différent en l'occurrence de celui d'Éric.
Et pourtant, les deux hommes ont quelque chose en commun : également doués pour la musique et la peinture, ce sont avant tout des créateurs, qui ont besoin d'un évènement décisif dans leur vie pour choisir l'une ou l'autre de ces disciplines.
Pour Henri, la découverte des paysages italiens, et pour Éric, sa rencontre avec Marie. Au fil de dialogues pleins d'humour - le héros adore les jeux de mots un peu foireux ! - mais également de naturel, cet album nous tient sous son charme.
Le dessin peut sembler un peu limité quant aux décors ou aux expressions des visages, mais c'est être sévère que dire cela, car on ne se pose jamais ces questions pendant la lecture.
Et les couleurs sont pleines de douceur !!!


Voir quelques planches de la BD à http://www.actualitte.com/critiques-bd/harpignies-dans-l-atelier-du-faussaire-entre-toiles-et-mysteres-2322.htm

vendredi 7 février 2014

BD François Darnaudet & Elric: Harpignies

http://www.planetebd.com/bd/paquet/harpignies/-/22428.html


scénariste 
scénariste dessinateur coloriste                    
Harpignies, bd chez Paquet de Darnaudet, Elric 
©Paquet édition 2014

Harpignies

Un jeune artiste s’intéresse à la technique de son ancêtre, le peintre Harpignies, puis tombe amoureux et devient faussaire. Un biopic-hommage étonnant de fraîcheur et de modernité…
L'histoire : Eric Harpignies, jeune dessinateur, s’apprête à aller à la cérémonie crématoire de sa grand-mère, à Perpignan. L’occasion pour lui de revoir sa famille, ses parents et d’apprendre que leurs problèmes d’argent les ont obligés à vendre la dernière toile peinte par son ancêtre. Henri Harpignies était en effet l’un des maîtres oubliés de la peinture paysagiste de « l’école de Barbizon ». Eric récupère toutefois une relique, un carnet de croquis, qui l’incite à s’intéresser à la vie et aux techniques de cet ancêtre. En 1846, Henri avait plusieurs cordes à son arc d’artiste, aussi doué pour la peinture que pour le violoncelle. A cette époque, il était alors accueilli dans l’atelier parisien de celui qui allait devenir son maître, Jean Achard. Eric découvre cette biographie dans le TGV qui le ramène vers Paris… et qui se retrouve bloqué en panne en gare de Montpellier. Le jeune homme en profite pour visiter le musée Fabre, où il espère dénicher des toiles de son ancêtre. Il y trouve bien plus que ça : une jeune fille, dont les cheveux sentent bon le shampoing, est occupée à recopier une des toiles, car elle fait une thèse sur cette « école ». Eric engage la conversation et se présente comme un descendant du peintre. La jeune femme l’invite à voire un verre, puis… à aller en boîte. Eric tombe amoureux et l’invite à Paris la semaine suivante. Au programme : musée d’Orsay, découverte réciproque et premier baiser…
Ce qu'on en pense sur la planète BD :  Avez-vous déjà entendu parler d’Henri Harpignies ? Il y a des chances que non… Cet artiste-peintre, mort presque centenaire en 1916, était pourtant l’un des meilleurs représentants d’un groupe de paysagistes du XIXème, dont la technique et la notoriété sont aujourd’hui désuètes : l’école de Barbizon. Avec l’aide de François Darnaudet au scénario, son arrière-petit-neveu Elric lui rend aujourd’hui un hommage subtil, tempéré et sans prétention, avec ce one-shot didactique et léger à la fois – qui ressuscite en prime la collection Blandice de Paquet. Pour direction narrative, le récit alterne régulièrement deux contextes : d’un côté, il retrace les grandes étapes de la vie du peintre, sous une forme classique et contemplative de biopic. D’un autre, il allège considérablement ce que la forme biographique stricte aurait de rébarbatif, en alternant ces séquences avec sa propre existence fantasmée d’artiste, à notre époque contemporaine. Rebaptisé Eric, Elric s’y trouve une amoureuse, s’essaie avec scrupules à la contrefaçon des œuvres de son grand-oncle et avec plus de réussite à la musique. Surtout, les répliques de ces phases s’accompagnent d’une belle lucidité et de beaucoup d’humour. Le dessin, auquel on peut reprocher parfois le peu de décors – un aspect paradoxal pour une œuvre qui s’intéresse à la peinture paysagiste ! – et un panel limité d’expressions faciales, se montre donc simple mais efficace sur le plan de l’immersion. Son découpage s’inscrit au sein d’un gaufrier de 12 cases par planche, dont les cellules fusionnent parfois au gré des besoins de mise en scène. Une belle surprise !

Dédicaces de François Darnaudet


Bon, le programme des dédicaces à venir :
samedi 15 Février chez Librairie Torcatis de 15 h à 19 h, ELRIC en solo !
mercredi 19 février chez Librairie Torcatis conférence-dédicace à 18 h Elric Dufau ET Bibi !
samedi 22 février à L'escargot bleu d'Argelès/mer (Maison de la Presse) de 9 h 30 à midi trente, Elric et Bibi.
François Darnaudet

vendredi 20 décembre 2013

Boris Darnaudet: " La Colère des dieux aztèques"




Parution chez CUINOLI Fantasy de La Colère des dieux aztèques, par Boris Darnaudet, version papier, donc ! Quant à la nouvelle version numérique plus longue, elle est toujours en Kindle/Amazon. Si ces parutions bénéficient d'une nouvelle couverture, normalement, une troisième nouvelle couverture dessinée par Elric Dufau est attendue pendant les fêtes ! Roman de 140 pages de fantasy historique aztèque, 12 euros en papier et 3,40 en numérique ! Selon la rumeur CUINOLI polar et Cuinoli Fantasy devraient accueillir des inédits de Darnaudet le Vieux, également ! Parmi les inédits du Vieux, pourraient enfin sortir : Codes bancaires, Le Minotaure de Venise, Le Möbius Paris Venise etc. Cela dépendra d'Ayala Warschawski, la directrice des Cuinoli ! Cuinoli publie également Gildas Girodeau

samedi 16 novembre 2013

Interzone Editions: Publishing


  An experiment of a non-Aristotelian economy  
 
 
E-books
In French:
Isabelle AUBERT-BAUDRON:
Des systèmes de contrôle: to be published. 
Le Carrefour des Impasses : to be published, old version on line. 
Translations of extracts  from  Science and Sanity by Alfred Korzybski. Translated with the permission of Alfred Korzybski Literary Estate.
Interzone anthology:
 
In English: 
Interzone anthology: The Time of the Naguals : on line in pdf format.
- Tome 1 : Around Burroughs and Gysin: 106 pages (several texts are not published in the French tome and reciprocally).
- Tome 2: Research: 163 pages
- Tome 3: Cut-ups: 92 pages
- Tome 4: Poems: 150 pages (anglais, espagnol, français)  
- Tome 5: Short stories : 117 pages
- Tome 6 : Theatre , 64 pages
- Tome 7 : Interzone , 127 pages
Printed versions
Social sciences:
 
Literature and research:
Le Temps des Naguals - Autour de Burroughs et Gysin , une anthologie du réseau Interzone, textes inédits de William Burroughs et Brion Gysin, traductions Isabelle Aubert-Baudron. ISBN : 978-2-9531513-6-7
 
Children’s story:
Stella Matutina, textes and  illustrations by Marylis : Christmas tale
in French ISBN 978-2-9531513-3-6
Stella Matutina, English translation: Isabelle AUBERT-BAUDRON & Paul O'DONOVAN - ISBN 978-2-9531513-4-3
 
Comic books:
José ALTIMIRAS & François DARNAUDET:
Le Taxidermiste - ISBN 978-2-9531513-1-2
The Taxidermist : English translation : Isabelle AUBERT-BAUDRON and Ken GAGE - ISBN 978-2-9531513-2-9
To be published: DE TAXIDERMIST – Dutch translation: Peter VAN DE LEUR.
 
Music
Interzone: Interzone CD1
 
 
 


dimanche 10 novembre 2013

François Darnaudet * Catherine Rabier Noire 57. Zombies Gore

D'après Charles Dexter Philippe Ward, c'est effectivement sorti ! Included Andernos Trap, Collioure Trap, Trappes Trap et une étude de Daredevil DD David Didelot, mister Vidéotopsie Fanzine Cinéma
 
 
 
  
François Darnaudet * Catherine Rabier Noire 57. Zombies Gore ISBN-13: 978-1-61227-234-4 240 pages http://riviereblanche.com/zombiesgore.htm  Cet hiver, à Ander...nos, les zombies ont remplacé les vendeurs de chichis et de glaces. Le piège andernosien va se refermer sur ses habitants pour la réédition d'Andernos Trap. A Collioure, les morts-vivants sont accompagnés par les jonglômes, des monstres à tête de rhinocéros. C'est le retour éditorial de Collioure Trap. Quant aux deux collectionneurs qui s'affrontent du côté de Paris, leurs aventures meurtrières sont totalement inédites. En sus, David Didelot nous offre une analyse historique de la collection Gore du Fleuve Noir. Mon tout forme ZOMBIES GORE. COLLIOURE TRAP (Darnaudet & Rabier) ANDERNOS TRAP (Darnaudet) TRAPPES TRAP (Darnaudet - inédit) POSTFACE de David Didelot.