lundi 19 février 2018

Jean-Louis Baudron: Cut-ups & Collages: Sur ma route…

Les aléas de la route


Faire la route encore une fois II


Jean-Louis Baudron: Cut-ups & Collages Cut-ups et collages: https://www.facebook.com/jeanlouis.baudron

L'île logique / n°8 : regarder par dessus ses lunettes


Bonjour,
Bon, ça ne se fait pas, on ne souhaite pas la bonne année fin février, pour un peu on finirait même en avance pour l'année suivante...
Mais c'était le nouvel an Chinois vendredi soir...
Alors vu qu'en fait il n'y a pas de point de référence, je vous souhaite à tous un joyeux tour autour du Soleil !

De surcroît, L'île logique est heureuse de vous annoncer que :
- Nous proposons un nouveau spectacle, duo clownesque scientifique tout public : "Où ai-je ma tête ?" qui aborde les nouvelles découvertes sur le fonctionnement du cerveau, neurosciences et plasticité cérébrale au programme...
- Autre nouveauté : "Toi, émois", interventions/spectacle clownesque pour les tous petits (3 mois à trois ans) : sons, mouvements, boules, cubes, noir et lumière, animaux, durées...
- L'île logique organise aussi un stage "théâtre et sciences" orienté clown et maths, pour les enseignants, les clowns, et les autres !! Les 8 et 9 Juillet 2018 en Bretagne (14h de stage).
- Pour la rentrée prochaine ainsi qu'en début ou fin de semestre, nous proposons aux promos d'écoles d'ingénieur et aux universités, une création "intense" (24h sur 3 jours) d'un spectacle scientifique de et par les élèves. pour voir le programme autrement et souder le groupe !

Plusieurs interventions prévues en 2018 :
- 8 et 9 mars, près de Chambéry, ateliers théâtre et sciences et créations de saynètes avec des enseignants Européens (Erasmus), une classe de 6e, spectacle Pilouface en clôture.
- 19 mars : spectacle Pilouface à Vannes
- 5 et 6 avril, deux représentations de L'Affaire 3.14 près de Paris.
- 9 et 10 avril, ateliers théâtre et maths avec les sixièmes du collège de Plescop.
- 13 avril (à confirmer), 16 avril et 24 mai : spectacle "Un océan de plastique" (Quiberon, Lanester et Languidic), sur la pollution des océans...
- 31 mai spectacle clownesque "Dé-pensons !" sur la pensée critique
- 8 et 9 juillet, stage théâtre et sciences, clown et maths, en Bretagne...
- Du 20 au 23 octobre retrouvez L'île logique au congrès de l'APMEP
- 6 novembre, spectacle clownesque "Galois Poincaré mythes et maths" à Orléans.
Certains de ces spectacles ne sont pas ouverts au public, mais, à titre individuel, n'hésitez pas à me contacter si vous envisagez d'y venir !!

Enfin, à faire circuler sans modération :
- L'île logique co-organise la dixième édition du festival Clown hors Piste du 16 au 18 novembre prochain à Theix (56)
- Il nous reste encore des livres "A l'endroit de l'inversion", petit essai en clownologie mathématique (préfacé par Cédric Villani et Bertil Sylvander)
- Il nous reste des disponibilités pour la semaine des maths et la semaine de la science...
- Et puis, si vous connaissez des gens riches pour co-produire une série audiovisuelle burlesque mais rigoureuse sur les mathématiques n'hésitez pas...

N°8 : regarder par dessus ses lunettes...
Regarder par dessus ses lunettes c'est concéder quelque chose,
un brin désinvolte on octroie la trêve,
Je vous écoute mais je ne quitte pas mon ouvrage,
comme une générosité égoïste, tendre la main le poing fermé,
une concession à reculons, on donne en retenant,
oui mais non.
Regarder par dessus ses lunettes,
condescendance de vieux.
Vieux de l'ignorance,
prétention de savoir,
On voit sans voir,
Sans avoir,
sans ça voir
On fait à la fois les deux
on a quatre yeux,
Prétentieux...
prétend, cieux,
Dieux...
Pourtant c'est mignon, ce petit regard chargé, embrumé de pensées profondes, qui jaillit naïvement pour s'offrir
comme celui d'un bébé par dessus les barreaux de son parc.
On se livre aussi, mais seulement pour un instant, quand on regarde par dessus ses lunettes...
mais quand on regarde trop par dessus ses lunettes, ça bouche le nez !
et un nuage, c'est de l'eau qui vole...
Merci à chacun,
Bises et tendres salutations scientifiquement clownesques...

Cédric www.ilelogique.fr

François Darnaudet: Le Papyrus de Venise


LE PAPYRUS DE VENISE Format Kindle

Voici ma meilleur vente en numérique : environ 2 200 ventes sur Amazon à comparer avec les 1000 exemplaires de la version papier chez Nestiveqnen. C'est le livre qui a été le plus encensé et le plus conchié de mon oeuvrette. Mais j'ai adoré l'écrire, je m'en fous. Il y avait Venise, l'Atlantide, Lautréamont, Custer, un Minotaure etc. La moyenne de 3 étoiles est obtenue grâce à un grand nombre de 1 et de 5. Bref, c'est le seul de mes romans à avoir déclenché ces réactions aussi opposées. Mais 3200 ventes (2200 + 1000) à l'arrivée. Pour un roman fantastique et aussi disjoncté...
#Amazon

Quel lien mystérieux unit les chasseurs de dinosaures du dix-neuvième siècle, la mort du poète Lautréamont en plein siège de Paris, le massacre du lieutenant-colonel Custer près de Little Bighorn, la Dame d'Elche, l'effondrement du Campanile de Venise, le disque de Phaïstos, le philosophe Platon et Venise, l'immortelle Venise ?
"L'Atlantide !" répond un curieux personnage vivant sur l'île de Burano et qui dit s'être appelé Jacques Bergier dans une précédente vie.
La réédition en numérique du célèbre "Le papyrus de Venise".

Le papyrus de Venise Broché – 16 novembre 2006

Et la version papier... J'aime les deux illustrations. Celle du numérique par Elric Dufau est charmante et reposante. Celle de Pierre Massine en papier est plus tourmentée. Venise, ma chère Venise dans les deux couves.
#Amazon 



François Darnaudet https://www.facebook.com/francois.darnaudet

samedi 17 février 2018

Galerie Ecritures: exposition Jean Estaque

Jean ESTAQUE
A l’occasion du 100ème anniversaire de la mort d’Octave MIRBEAU, Jean ESTAQUE lui rend hommage en mettant en correspondance des textes, des illustrations de journaux d’époque, des œuvres des artistes soutenu par l’auteur et des travaux de Jean ESTAQUE mettant en valeur des textes significatifs de l’auteur.
Exposition du 17 février au 21 mai 2018
Vernissage le 17 février à partir de 10 h 30
Galerie ECRITURES
1, rue Pierre Petit 03100 MONTLUCON
de 15 h à 18 h du mardi au samedi et sur RDV
Hommage à
OCTAVE MIRBEAU

Octave Mirbeau, né le 16 février 1848 à Trévières (Calvados) et mort le 16 février 1917 à Paris, est un écrivain, critique d’art et journaliste français. Il connut une célébrité européenne et de grands succès populaires, tout en étant également apprécié et reconnu par les avant-gardes littéraires et artistiques, ce qui n’est pas commun.
Journaliste influent et fort bien rémunéré, critique d’art défenseur des avant-gardes, pamphlétaire redouté, Octave Mirbeau est aussi un romancier novateur, qui a contribué à l’évolution du genre romanesque, et un dramaturge, à la fois classique et moderne, qui a triomphé sur toutes les grandes scènes du monde. Mais, après sa mort, il traverse pendant un demi-siècle une période de purgatoire : il est visiblement trop dérangeant pour la classe dirigeante, tant sur le plan littéraire et esthétique que sur le plan politique et social.
Littérairement incorrect, il est inclassable, il fait fi des étiquettes, des théories et des écoles, et il étend à tous les genres littéraires sa contestation radicale des institutions culturelles ; également politiquement incorrect, farouchement individualiste et libertaire, il incarne une figure d’intellectuel critique, potentiellement subversif et « irrécupérable », selon l’expression de Jean-Paul Sartre dans Les Mains sales.
Parallèlement, en tant que critique d’art influent et doté d’une espèce de prescience, il pourfend l’art académique des Édouard Detaille, Jean-Louis-Ernest Meissonier, Alexandre Cabanel et William Bouguereau, il tourne en ridicule le système des Salons, ces « bazars à treize sous », ces « grandes foires aux médiocrités grouillantes et décorées », et il bataille pour les grands artistes novateurs, longtemps moqués et méconnus, parce que les sociétés, selon lui, ne sauraient tolérer le génie : « Tout l’effort des collectivités tend à faire disparaître de l’humanité l’homme de génie, parce qu’elles ne permettent pas qu’un homme puisse dépasser de la tête un autre homme, et qu’elles ont décidé que toute supériorité, dans n’importe quel ordre, est, sinon un crime, du moins une monstruosité, quelque chose d’absolument anti-social, un ferment d’anarchie. Honte et mort à celui dont la taille est trop haute ! »
Mirbeau se fait donc le chantre attitré d’Auguste Rodin, de Claude Monet et de Camille Pissarro ; il est l’admirateur de Paul Cézanne, d’Edgar Degas et d’Auguste Renoir, le défenseur d’Eugène Carrière, de Paul Gauguin — qui, grâce à ses articles élogieux, en février 1891, peut payer son voyage à Tahiti —, de Félix Vallotton, d’Édouard Vuillard et de Pierre Bonnard, le découvreur de Maxime Maufra, de Constantin Meunier, de Vincent van Gogh, de Camille Claudel, dont il proclame à trois reprises le « génie », d’Aristide Maillol et de Maurice Utrillo. Ses articles sur l’art ont été recueillis dans les deux gros volumes de ses Combats esthétiques, parus à la Librairie Séguier en 1993.
Ardent défenseur et collectionneur de l’art de son temps
« […] comme il sut choisir toujours les pièces les plus franches, les plus aiguës, les plus révélatrices, nul ensemble réuni par aucun amateur n’a encore offert une image aussi caractéristique de l’effort contemporain. » (préface anonyme du catalogue de la vente de sa collection).
Afin de pouvoir transformer la villa de Triel-sur-Seine en un lieu de villégiature pour les littérateurs et artistes « maltraités par le sort », sa veuve dut vendre cette importante collection de Tableaux, aquarelles, pastels et dessins, par Paul Cézanne (13 œuvres, dont deux autoportraits), Bonnard, Cross, Daumier, Paul Gauguin, Vincent van Gogh (2 œuvres, dont Le Père Tanguy, 1887), Claude Monet, Berthe Morisot, Camille Pissarro, Renoir, Rodin (23 dessins), K.-V. Roussel, Seurat, Signac, Utrillo, Félix Vallotton (M. Thadée Natanson, 1897), Valtat, Vuillard, et des sculptures par Camille Claudel (un plâtre), Aristide Maillol (10 plâtres, terres cuites, bois et bronzes) et Rodin (11 plâtres, marbres et bronzes, dont le buste de Victor Hugo et celui de l’écrivain, qui peut être celui reproduit plus bas), fut mise aux enchères publiques, le 24 février 1919, à la galerie Durand-Ruel, 16, rue Laffitte, à Paris.
Mirbeau n’a jamais été oublié et n’a jamais cessé d’être publié, mais on l’a souvent mal lu, à travers de trompeuses grilles de lecture (par exemple, nombre de critiques et d’historiens de la littérature l’ont embrigadé bien malgré lui parmi les naturalistes), ou bien on a voulu voir dans plusieurs de ses romans des œuvres érotiques, comme en témoignent nombre de couvertures de ses innombrables traductions. On a aussi eu fâcheusement tendance à réduire son immense production aux trois titres les plus emblématiques de son œuvre littéraire.
Politiquement incorrect, socialement irrécupérable et littérairement inclassable, il a traversé, après sa mort, une longue période d’incompréhension de la part des auteurs de manuels et d’histoires littéraires ; et le faux « Testament politique », rédigé par Gustave Hervé et publié cinq jours après sa mort par sa veuve abusive, Alice Regnault, a contribué à brouiller durablement son image.
Fondée à Angers le 28 novembre 1993 et présidée par Pierre Michel, professeur agrégé et docteur-ès-lettres, biographe et éditeur de Mirbeau, la Société Octave Mirbeau a pour objectif de contribuer à la connaissance de la vie, des combats et de l’œuvre du grand écrivain normand par tous les moyens à sa disposition. Heureusement, depuis vingt ans, grâce au développement des études mirbelliennes et de (parution de sa biographie, nombreuses découvertes de textes insoupçonnés, publication de très nombreux inédits, fondation de la Société Octave Mirbeau, création des Cahiers Octave Mirbeau, organisation de nombreux colloques internationaux et interdisciplinaires (sept entre 1991 et 2007), constitution d’un Fonds Octave Mirbeau à la Bibliothèque Universitaire d’Angers, ouverture de deux sites web consacrés à Mirbeau, mise en ligne de la plus grande partie de ses écrits), on le découvre sous un jour nouveau, on le lit sans idées préconçues ni étiquettes réductrices, on publie la totalité de son œuvre, dont des pans entiers étaient méconnus ou ignorés, voire totalement insoupçonnés (ses romans écrits comme nègre, par exemple), et on commence tardivement à prendre la mesure de son tempérament d’exception, de son originalité d’écrivain et du rôle éminent qu’il a joué sur la scène politique, littéraire et artistique de la Belle Époque, ainsi que dans l’évolution des genres littéraires.
À voir : http://www.mirbeau.org/liens.html
Galerie ECRITURES 1 rue Pierre Petit 03 100 MONTLUCON
http://www.koifaire.com/auvergne/galerie,ecritures-15609.html
facebook  http://www.facebook.com/galerie.ecritures

jeudi 1 février 2018

Galerie Didier Devillez: Vernissage exposition Arié Mandelbaum


 

Didier Devillez
a le plaisir de vous convier
au vernissage de l’exposition

ARIÉ MANDELBAUM
Généalogie(s)
le samedi 3 février 2018
de 16 à 19h

GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche
1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935
devillez@skynet.be http://www.galeriedidierdevillez.be/

Jean-Louis Baudron: Cut-ups et Collages: Un Rêve Plein de Soucis


Cut-ups et collages: https://www.facebook.com/jeanlouis.baudron

Galerie Ecritures: Décrochage chorégraphique, Bruno Danjoux

 
La galerie Ecritures, Bruno Danjoux, artiste peintre, danseur et chorégraphe, et l'Association de danse contemporaine Kadansé
Présentent
HAPPENING DANSE à la galerie Ecritures

 Le samedi 10 février 2018 à 18h

Bruno Danjoux, après une expo en 2010, puis en 2014, revient à la galerie Ecritures pour une nouvelle exposition « Ecouter la Lumière ». Dans ce cadre, il a animé un stage de danse contemporaine avec l’association Kadansé : « J’avais envie lors de ce stage en lien avec l’exposition Ecouter la lumière, de travailler sur ce que j’appelle les volumes porteurs de la présence. Qui danse quand je danse ? Quel est le monde que je porte en moi et que je donne à voir ? Comment retrouver cette clarté antécédente qui m’habite et qui coud le monde ensemble ; la pesanteur et la légèreté, l’intelligence et l’ignorance, le spirituel et le matériel … ? »

Le Samedi 10 février à 18 heures, l’association Kadansé proposera un « décrochage chorégraphique » dans l’espace de l’exposition, 1 rue Pierre-Petit dans le vieux Montluçon. L’occasion de transposer des petites formes (solo, duo, trio…), accompagné par le musicien : Laurent Hery. Entrée libre.

Galerie Ecritures, 1, rue Pierre Petit, 03100 Montluçon
https://www.facebook.com/Ecritures.Montlucon/