Bonjour,
Vincent Peillon, ministre de l'éducation nationale, Jean-Marc
Merriaux, directeur général de Canopé, Bernard Egger, président de l'APMEP et
L'île logique ont le plaisir de vous convier à la journée de clôture de la
semaine des mathématiques : les maths font
leur cinéma, le samedi 22 mars à partir de 14h30 au grand auditorium de
la Bibliothèque Nationale de France à Paris (ateliers, jeux, conférences et
spectacles gratuits).
L'île logique, notre compagnie de théâtre et clowns
de sciences théoriques, aura le plaisir d'y donner une représentation d'une
partie de deux de ses spectacles :
- 15h30 - 16h10 : l'Affaire
3.14, pièce de théâtre burlesque sur le programme de maths de lycée.
-
17h15 - 17h55 : Galois,
Poincaré, mythes et maths... sur les travaux de ces savants.
Pour
ceux, en Bretagne par exemple, qui ne pourraient pas venir, nous vous rappelons
la
journée en sciences inverses que nous co-organisons à Séné avec la salle
Grain de Sel et de nombreuses associations (Petits débrouillards, Ardoukoba,
opération Joconde...) le 17 mai à partir de 10h.
Par ailleurs n'hésitez
pas à nous contacter pour la fête de la science qui se tiendra du 26 septembre
au 19 octobre prochain, nous commençons déjà à mettre en place notre
planning.
Au plaisir de vous voir samedi !
Bien
chaleureusement,
Cédric
www.ilelogique.fr
Interzone was a network of William Burroughs' readers founded (1997-2013). Its sites are still accessible at http://www.inter-zone.org/ , but most of them are sites of archives. The site presently active are: - Interzone Éditions http://www.interzoneeditions.net/ - La sémantique générale pour les nuls https://www.semantiquegenerale.net - La sémantique générale pour tous semantiquegenerale.free.fr - Pour une économie non-aristotélicienne https://generalsemantics4all.wordpress.com/
mardi 18 mars 2014
vendredi 14 mars 2014
Vernissage exposition jacques aron, galerie didier devillez
Retrouvez l'exposition Jacques Aron sur http://www.galeriedidierdevillez.be/expo.php
GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53, rue Emmanuel Van Driessche • 1050 Bruxelles (Belgique) • +32(0)475 931 935
Another magazine: Jack Kerouac’s Cat
To mark the 92nd anniversary of his birth, we remember Jack Kerouac and his fondness for félines.
Article en ligne à
http://www.anothermag.com/current/view/3465/Jack_Kerouacs_Cat
Article en ligne à
http://www.anothermag.com/current/view/3465/Jack_Kerouacs_Cat
mardi 11 mars 2014
Henri Laborit: L'inhibition de l'action
Suite à la disparition d’Alain Resnais, voici un extrait de son film “Mon Oncle d’Amérique”, dans lequel Henri Laborit décrit les mécanismes de l’inhibition de l’action.
Henri Laborit, qui était membre de l’Institute of General Semantics ( Henri Laborit: Alfred Korzybski Memorial Lecture 1963: THE NEED FOR GENERALIZATION IN BIOLOGICAL RESEARCH : ROLE OF THE MATHEMATICAL THEORY OF ENSEMBLES http://www.generalsemantics.org/wp-content/uploads/2011/04/gsb-30-31-laborit.pdf ), a appliqué la sémantique générale à ses travaux en biologie.
A noter que les méthodes de harcèlement professionnel ( voir Harcèlement, souffrance au travail, burn out… , Christophe Dejours: "Evaluation individualisée des performances" et "tournant gestionnaire" et Retranscription de l’entretien de Christophe Dejours: "Evaluation individualisée des performances et tournant gestionnaire" ) consistent à placer les gens ciblés dans une situation d'inhibition de l'action, avec pour conséquences, celles décrites par Laborit à la fin de cet extrait.
Mon Oncle d'amerique - Alain Resnais, 1980 (film complet) de Aurélien Beauvisage
Voir le sommaire et le premier chapitre de son livre La Nouvelle Grille: Thermodynamique et information à
http://semantiquegenerale.free.fr/Thermodynamique_et_information.pdf .
Exposition Anthony Rousseau
MONSIEUR LAURENT DUPORGE, MAIRE DE LIÉVIN
MADAME HÉLÈNE FLAMENT, ADJOINTE À LA CULTURE
MONSIEUR HASSAN AMRANI, DIRECTEUR DU CENTRE CULTUREL ARC EN CIEL
LE CONSEIL MUNICIPAL DE LIÉVIN
ONT LE PLAISIR DE VOUS CONVIER AU VERNISSAGE DE L'EXPOSITION
ANTHONY ROUSSEAU Lundi 17 mars 2014 > 18:30
Anthony Rousseau est un artiste plasticien qui réalise depuis quelques années des créations audiovisuelles, qui sont diffusées dans de nombreuses manifestations artistiques et culturelles au niveau local et international ainsi qu’à la télévision.
L’ensemble de ses travaux se concrétise par des recherches et expérimentations autour de l’image fixe, l’image mouvement et la matière sonore. Ils prennent la forme de vidéo, photographie, bande sonore, performance et installation interactive.
Ses processus de créations sont liés pour la plupart aux usages des nouvelles technologies de l’information et de la communication qui favorisent la transversalité des supports de création et de diffusion, mais aussi l’hybridation et les échanges entre média. Ainsi les différentes expérimentations et recherches qu’il mène se concrétisent par des créations qui sont autant d’étapes d’un travail en cours, préambule à une création rhizomatique
A l'occasion du vernissage, vous découvrirez le travail mené par l’artiste avec les familles suivies par la Maison du Département Solidarité de Liévin et de Lens, du CLSH Bidule et de l'association "coup de pouce pour grandir"
Partenariat
MDS Lievin et Lens, Clsh Bidule, coup de pouce pour grandir
Pré visite pour les enseignants le lundi 17 mars de 17h30 à 18h30
Goût’Art : Animation gratuite pour les enfants à partir de 6 ans et leurs parents le mercredi 26 mars et samedi 29 mars 2014 de 14h30 > 17h00 sur réservation obligatoire
Visite commentée du 14 mars au 26 avril 2014
Horaires
Visible du 14 mars au 26 avril 2014
Du mardi au vendredi de 14h à 19h. Le samedi de 14h à 17h
Le mercredi de 10h à 12h. Ainsi que les jours de spectacle.
en savoir +
www.arcenciel-lievin.fr
Place Gambetta, Liévin 62800 tél : 03 21 44 85 15 réservation tél : 03 21 44 85 10
FRAC Nord/Pas de Calais
Le Fresnoy / Studio National des Arts Contemporains
Pays d’Art et d’Histoire
Le Fresnoy / Studio National des Arts Contemporains
Pays d’Art et d’Histoire
Interview de Boris Darnaudet par Nicolas Caudeville
Vidéo de l'«Interview de Boris Darnaudet par Nicolas Caudeville» envoyée par L'Oeil du Pharynx http://www.dailymotion.com/Loeildupharynx L'archipel contre-attaque sur Dailymotion. http://www.dailymotion.com/video/xyss1s_interview-de-boris-darnaudet-par-nicolas-caudeville_creation
Interview de Boris Darnaudet par Nicolas... par Loeildupharynx
Projet Obis sur Facebook: https://www.facebook.com/pages/Boris-Darnaudet/314539352002706
Interview de Boris Darnaudet par Nicolas... par Loeildupharynx
Projet Obis sur Facebook: https://www.facebook.com/pages/Boris-Darnaudet/314539352002706
vendredi 7 mars 2014
Jef Aérosol 2013, Ginsberg & Burroughs
Jef Aérosol 2013, Ginsberg & Burroughs, stencil on canvas, 97 x 130 cm. Expo "Les deux font la paire", Galerie David Pluskwa (Marseille, France) – avec Jef Aérosol, Sofia Croma, Jose Enrique Dylan, Allen Ginsberg et William S. Burroughs, à Marseille.
JEF AEROSOL
De l’album : Photos du journal https://www.facebook.com/JEFAEROSOLfanpage/photos_stream
Spike Sikes: « Prisoner of Loneliness » by A.D. Winans
Prisoner of Loneliness : https://soundcloud.com/spike-sikes/prisoner-of-loneliness
song based on the poem "Prisoner of Loneliness" by A.D. Winans, with a nod to his old friend Kell Robertson
More songs by Spike Sikes at https://soundcloud.com/spike-sikes/
Boris Darnaudet: « Zeppelin en danger » et dédicace
Prochaine parution : Zeppelin en danger chez Rouge Safran éditions, dircol : Georges Foveau, boss : Henri Lopez... en juin 2014 ! POLAR HISTORIQUE pour les ados !
Prochaine sortie en dédicace à Amélie-les-bains le 3 mai au festival de SF et F !
Eleventh-moon: « Never Let Go » sur Myspace
Groupe de reprise Rock Progressif Seventies (69-79) sur Toulouse.
Never Let Go
https://myspace.com/eleventh-moon/
www.eleventh-moon.com
Cédric Cavenaile
mardi 4 mars 2014
Quelques nouvelles de l'éclat
Bonjour,
Plusieurs parutions ces mois de février-mars, de Heinrich Heine à John
Coltrane, avec toujours ce sens de la disparate qui, à force, va devenir un
étendard.
Dès le 6 mars vous trouverez en librairie le livre de Raphaël
Imbert, dont les radios et la presse, empressées, ont déjà commencé à rendre
compte...
Jazz
supreme. Initiés, mystiques prophètes, ou "De la spiritualité dans
le jazz"! S'il vous fallait un guide pour la grande exposition Great Black Music
qui s'ouvre à la Villette, le livre de Raphaël Imbert s'impose.
Puis, un pas en arrière pour retrouver Heine à
Paris (sous la direction de Marie-Ange Maillet et Norbert Waszek). Le
Paris, capitale du XIXe siècle, où s'ébauche aussi l'industrie culturelle que
Heine sera le premier à dénoncer et critiquer...
Enfin Berlin et
les Juifs (sous la direction de Laurence Guillon et Heidi Knörzer), qui
consacre les épousailles d'une ville et de ses habitants juifs, avant et après
la Shoah.
Ce qui ne doit pas vous faire oublier les
parutions de janvier : Simone Weil, Duits&Barbier
et leur "Logique de la bête", dont vous trouverez encore les détails sur
la page des Nouveautés
et les livres en librairie.
Cette année, L'éclat aura une présence discrète
au Salon du Livre de Paris sur le stand de la Région Île-de
France, géré par la Librairie Tschann. Venez nous soutenir !
Plusieurs événements et rencontres auront lieu
par ailleurs autour des livres parus et à paraître et dont vous trouverez le
détail sur le site ou sur la page facebook.
D'ores et déjà le 13 mars au Goethe Institute
de Paris, autour de Heine à Paris, le 4 avril chez Tschann avec
Raphaël Imbert (présentation et concert), le 10 avril chez Michele
Ignazi avec Emmanuel Fournier pour sa Philosophie
infinitive... et le 13 mai avec la Mauvaise
Troupe à la Parole errante à Montreuil. Mais on vous redira tout ça en
temps voulu.
En attendant, merci de votre fidélité... Faites
suivre ce mail à vos amis.
L'éclat
|
Gerard Malanga receives first poet of distinction award from Edna St. Vincent Millay Society
More pictures in the site of Djeloul Marbrook at : http://www.djelloulmarbrook.com/gallery/gerard-malanga-receives-first-poet-distinction-award-edna-st-vincent-millay-society
Submitted by Djelloul Marbrook on Sun, 03/02/2014 - 13:09:
For forty minutes last night, as sirens slashed the frigid silence
outside and painted the inside of an art gallery emergency red, the poet
Gerard Malanga read poems about eminent people he has known or studied—among
them Gabriel d’Annunzio, Valerie Eliot, Edna St. Vincent Millay, and Gore
Vidal.
Malanga, as famous for his photography as his poetry, never gets in the
way of a poem. His readings are singular acts of faith in the work. The actor
Matthew McConaughey recently said in a similar vein that getting out of the way
of a script is crucial to him.
All recent, unpublished and never-before-read, the poems Malanga read at
McDaris Fine Art Gallery in Hudson, New York, are keenly observed encounters
with people, their natures and their intellects.
Malanga’s is a fond eye. Often he is more interested in the companions of the famous than the
famous. He is electrically aware of the circumstances and environs in which he
encounters them.
In one poem the novelist Saul Bellow wants to play softball and tries to
rouse the sleepy young Malanga. The poem, like many others, suggests Malanga's
filmmaker's eye. He remembers not only what people said, what they look like,
but how they moved. He remembers encountering, for example, the photographer
Diane Arbus in the library of The New York Times, and in a few lines
he gives us an Arbus nobody else has described quite so insightfully.
Describing William Burroughs, we get the writer's cranky whisper. It would have
come across in the words even if Malanga hadn't mimicked the sound.
Here are some of the other people we so memorably encountered last
night: Chris Marker, Emile de Antonio, Faith Frankenstein, Dorothea Lange,
Benedetta Barzini, a close friend of the poet, Jasper Johns,
Cornelius Gurlitt, René Gresham, and Jim Jacobs.
More than most poets, Malanga has spent a lifetime among fellow poets,
artists, filmmakers and photographers, and in his poems we encounter them
glowing with Malanga's love for them. That is a rare achievement in any art
form, redolent, say, of Johannes Vermeer's unmistakable feelings for The
Girl With the Pearl Earring.
It is a tribute to Malanga's personal style as well as his work
that the audience's response to his poems often consists of the silence of awe
and the sort of murmuring that denotes profound impact. Rather than break his
spell, the audience reserves its sustained applause for the end of his
readings. People who frequent poetry readings will recognize this as a rare
salute.
"Dad 3," a poem about vacationing with his father in the
Shawangunk Mountains of New York, gives us an early and excruciatingly intimate
glimpse of the astute observer Malanga would always be. But it gives us
something else, something that bends a brilliant spotlight back on his earlier
work. At some point he leaves his father and returns to a barn where he speaks
to the animals in a language he has now forgotten. But Malanga has never
fully forgotten that language, and it both informs and haunts his poems.
The Millay
Colony for the Arts and the Edna St. Vincent Millay
Society, which sponsored last night’s reading, could not have chosen a
more appropriate poet to receive its first Steepletop Poet of Distinction
Award. (Greg Vogler, a Millay trustee, is shown here making the
award). Malanga shares with Millay a clear voice, an undeterred eye,
and, perhaps most of all, a gift for setting up a vibration that rewires the
circuitry of a place and a time.
Steepletop is the name Millay and her husband Charles Frederick Ellis,
an artist and actor, gave their home in Austerlitz, New York, near Chatham. But
what makes the award even more relevant is that Millay Colony and the Edna St.
Vincent Millay Society share with Malanga a profound interest in other creative
people. The gift Millay Colony presented Malanga last night is as appropriate
as the award, a first edition of Millay’s What Quarry, Huntsman, 1933.
Malanga is a book dealer and rare book collector.
Reading from a portfolio on an antique suitcase, an inspiration of gallerist
Wendy McDaris (shown here arranging Malanga broadsheets), Malanga and his
overflow audience were surrounded by Millay
artifacts, photographs, china, Millay’s
typewriter, and first-edition books.
Malanga is the official poet of the Glasgow (UK) International Arts
Festival, April 4.
lundi 3 mars 2014
Dédicace de Elric pour Harpignies
BDNET BASTILLE
26 rue de Charonne
75011 Paris
26 rue de Charonne
75011 Paris
M° Bastille - Ledru-Rollin,
Bus: 20, 29, 61, 65, 69, 76, 86, 87, 91.
Bus: 20, 29, 61, 65, 69, 76, 86, 87, 91.
Parking à 100m :
121 Avenue Ledru Rollin 11ème.
121 Avenue Ledru Rollin 11ème.
Samedi 08 Mars 2014 à partir de 16 H
Invité : Elric
Invité : Elric
samedi 1 mars 2014
Jérôme Pintoux: "Bob Dylan -Dictionnaire" sur www.bobdylan-fr.com/
Dans le site de François Guillez, et de Laurent Carluccio , de publication des traductions des textes de (et sur) Bob Dylan en Français http://www.bobdylan-fr.com/
Chaz Southard: Dreamachine software
Hello everybody,
I
was introduced to the machine several years ago by a Buddhist poet and have been
a member of this group for a fair number of years. During my graduate study, I
attempted to make a correlation between mindfulness meditation and the
dreammachine.
Anyways, I wanted to
present this as a lecture to a local art community and decided to create a new
user interface for the JavaScript application. Please feel free to share your
thoughts on my facelift and pass on app.
my
best,
Chaz
vendredi 28 février 2014
William M. Brandon III: Silence
Author: William M. Brandon III
Edited by: Elise Portale
Cover by: Davide Bonazzi
Pages: 112
ISBN-13: 978-0615962047
ISBN-10: 0615962041
Silence
Dean O’Leary is a man who lives on the edge: of life, love, and happiness. After a bank robbery gone horribly wrong, Dean leaves his life of crime in Los Angeles and exiles himself to the cold grey sands of Las Vegas. A cruel and unusual twist of fate shows Dean a life filled with the love and hope that he has always thought impossible, and then rips it away. With nothing left to lose, Dean goes all in on one final crime.
“Many a yarn has been woven around the quest for love. But that familiar tale starts to fray at the edges when young Dean O’Leary, a bank robber whose pinstripe suit is a better fit than the age in which he lives, packs up his cigarettes and his battered heart to start fresh in Las Vegas. With a voice and style that drag you in, Brandon sets up a character whose neurotic, mile-a-minute mind echoes the desire, anxiety, depression, and insanity found at every intersection on the road to love. From Dean’s ultimate highs to his rock-bottom lows (making a quick pit-stop at the surreal), Brandon will take you on an emotional walk in a desperate man’s wing-tip shoes—and you’ll be hooked from the very first step.”
-Elise Portale
Isabelle Aubert-Baudron: Synchronicities
W.S. Burroughs & I. Aubert-Baudron
Synchronicities: significant coincidences of a physical phenomenon with a psychic phenomenon, but you cannot explain the link of causality between both. Carl Gustav Jung and William Burroughs conducted researches about it, James Redfield wrote a novel, “The Celestine Prophecy: An Adventure” .
Such synchronicities escape our understanding because we tend to see reality with opposed criteria of “objective”/ ”subjective”, as if what we live inwardly would be “subjective”, i e “imaginary”, in opposition of the “objective facts” we can state, which would be only real. We also tend to believe that we are separate from our surrounding, and that there is no link between what is going on inside us and outside us.
Here the rationalists come and say: “This coincidence is due to random”. But what does “random” means exactly? Once you have said that, where does this leads to ? How random is random? This “explanation” does not explain anything at all, and is blocking further interrogations and research on nature of reality.
Now sometimes, such synchronicities happen, which confront us to a level of reality which does not fit with this rationalist vision : there is a synchronicity between what we live inwardly and the happening of actual events without interference of our will, on which we have no control, but which have a signification just for us. So what’s going on here? We do not know, let’s see. Let’s put the rationalist vision of reality aside for a moment and let’s apply a scientific step, starting by the observation of the facts, including the events of our inner life, what they represent for us, etc., without inferring anything from them at this step and progress starting from there.
We can base our observation on several synchronicities and see where they lead to: they often deal with issues to take in account.
Putting aside the rationalist vision of reality (XVII th century), we nevertheless have a new frame of reference through modern physics (XX th century). We are aware of the notion of dimensions, of multi-dimensional reality, and of levels of reality.
Another domain where such synchronicities appear is in dreams: for instance I began to dream that I was losing my wallet, once, twice, thrice, and was wondering the meaning of it. One Saturday evening in a supermarket, the shop was about to close, I was the last client and in a hurry. I forgot the wallet on the cash register. On Monday morning I went to the shop and got it back. End of the dreams about losing the wallet. So what is going on here? Were those dreams meaningful to me? Yes. Since I pay more attention to my wallet, and I take in account elements of recurrent dreams.
I have got to the conclusion that we can propose the hypothesis of a multi-dimensional reality, with different levels of reality, linked between each other, which may work according different laws . For instance the laws of physics are not valid in dreams. If we try to explain a non–physical level of reality with physical laws, as we tend to do with synchronicities, then it does not fit, and we are confronted to an “impossible situation”. It may be very disturbing! Some people infer from this that they are becoming crazy. But this option also is a dead end and forbids to go further.
Now the interesting aspect here is that we can make our own research. Here general semantics has been very helpful to me when facing such phenomenons: the structural differential allows to consider them through a scientific step, and avoid the traps of some of the past contradictions and dead ends.
My research on synchronicities started with the ones which happened to me related to my meetings with William Burroughs and Brion Gysin: See at the article “The Time of the Naguals” , p. 15 to 31. This was too much ! Incomprehensible when I lived them. I had the impression to live a scenario of “Twighlight Zone” ! General semantics was very helpful here, because the observation of what was happening demonstrated that it was not something “imaginary”, nor “delirious”, but the implications required to draw a new conception of reality: synchronicities confront us to the “unknown” , and this may seem rather scary at first. I had to put up a new map, starting upon what was going on exactly, the links between inner events and the ones happening in physical world, etc., and considering it through a scientific step, through a quantic vision of the world. Then, what was not comprehensible to me before on the old basis became comprehensible in terms of physics. On this basis I could put up new hypothesis, and integrate those synchronicities as part of reality of human life, as something “normal”, compared to when it first appeared to me when I lived them: something incredible and not “normal” at all. It’s a part of the human program we do not use in our civilization, because we do not know about it and have no map to apprehend it correctly; but it’s just like a program on our computer we do not use, but which we can virtually use if the occasion occurs.
Our maps of reality do not represent the actual territory. Though it seems that the exploration of our territory can only be realized by us: only I can know the link between inner events and a physical event, its meaning can only appear to me. This leads to the exploration of our inner space. Again general semantics is a real help, because it allows not progress safely, step by step, without getting lost in mental dead ends. Investigate on the situation as if we were a police inspector investigating on an affair and gathering the elements to understand it, and taking it like a game as well.
A.D. Winans: new book out by middle of march
The re-issue of my award winning book (This Land Is Not My Land) by Presa Press will be out in March. The new book will be perfect bound, with a new cover photo, and distributed in both the U.S. and in Europe. The new cover is based on the old "New Directions"B & W look. I'm psyched (not psycho) about the book.
A.D. Winans
Charley Plymell Tells and Shows in Strings of Emails
http://www.artsjournal.com/herman/2014/02/charley-plymell-tells-and-shows-in-strings-of-emails.html
February 26, 2014 by Jan Herman
Charley Plymell’s long, seemingly endless strings of emails are fascinating to read. He has known so many Beat writers and artists and has popped up in so many places with them that I can’t help thinking of him — half in wonder and half in disbelief — as the Zelig of the Beat Generation. Unlike Zelig, however, he has actual evidence to support his many, many tales. There he is in snowy Cherry Valley, for example, displaying a painting by William Burroughs that Burroughs once gave him and his wife Pam. “We sold it over phone … 3 grand,” he noted, and attached the photo. And there he is, in another attachment from another email, on a poster to promote a recent appearance in Brooklyn with Gerard Malanga. Of course, if you call Charley a Beat poet, he’ll tell you he is no such thing and you may be subject to a lengthy rant about various Beat luminaries who failed to live up to his ideals.
mardi 25 février 2014
focus mars 2014 - galerie didier devillez
ActuaLitté: Harpignies, dans l’atelier du faussaire, entre toiles et mystères
http://www.actualitte.com/critiques-bd/harpignies-dans-l-atelier-du-faussaire-entre-toiles-et-mysteres-2322.htm
Harpignies (Paquet) de François Darnaudet et Elric est un joli hommage à la peinture, à la jeunesse et à l'amour. Un hommage qui emprunte une forme inédite, entre le biopic et la semi-fiction !
Le biopic, c'est celui d'Henri Harpignies, paysagiste de l'école de Barbizon célèbre à son époque, mais bien oublié aujourd'hui. La semi-fiction nous raconte un épisode récent de la vie d'Elric Dufau-Harpignies, scénariste de cet album, et arrière-arrière-arrière (ouf !!!) - petit-neveu d'Henri.
Rebaptisé Éric dans l'album, nous le voyons se rendre à Perpignan afin d'assister à la crémation de sa grand-mère. Il peut ainsi revoir ses parents, qui lui apprennent la vente récente pour cause de soucis financiers du seul tableau de son ancêtre jusque-là propriété de sa famille. Le jeune homme peut malgré tout récupérer un carnet de croquis rassemblant des caricatures, un aspect du travail d'Henri Harpignies qui intrigue Éric, jusque-là plutôt sévère pour ce peintre paysagiste qu'il juge académique, pour le peu qu'il connaît de lui.
Le récit de sa vie, et plus particulièrement de ses années de formation lui plaît beaucoup, car Henri est aussi à l'aise un violoncelle entre les mains qu'un pinceau au bout des doigts, comme Éric avec sa guitare et son crayon. Le TGV qui le ramène à Paris tombant en panne dans la gare de Montpellier, Éric se rend au musée Fabre pour tuer le temps, et qui sait, y trouver une toile d'Harpignies.
Par chance, il y en a plusieurs, et devant l'une d'elles, une délicieuse jeune fille occupée à la recopier pour sa thèse sur l'école de Barbizon. Fort de ses liens familiaux avec le peintre et armé de son carnet d'originaux, Éric séduit la jolie Marie qui le rejoint la semaine suivante à Paris. Entre une visite au musée d'Orsay et un peu de farniente dans le jardin des Tuileries, une idylle se noue.
Mais vivre d'art, d'amour et d'eau fraîche, c'est un peu frustrant. Alors, Marie a une idée : Éric s'est pris de passion pour les toiles de son ancêtre, et réussit désormais à peindre selon son style. Formée à la restauration des tableaux, sa jeune compagne peut leur donner la patine de l'ancien. Pourquoi dès lors ne pas réaliser des faux Harpignies et les vendre à la cote ? Un jeu dangereux et tentant...
Harpignies est un album très séduisant, dont la narration fonctionne parfaitement. En parallèle d'une histoire d'amour contemporaine, simple et rafraîchissante, on replonge dans le passé en égrenant quelques moments déterminants de la vie d'Henri Harpignies.
Instrumentiste doué, il s'oriente malgré tout vers la peinture en entrant dans l'atelier de Jean Achard. Son séjour en Italie lui permet de fixer les grandes lignes de son art. Travailleur acharné, il forme de nombreux élèves et meurt quasi centenaire. Un parcours marqué par l'idéalisme, un parcours bien différent en l'occurrence de celui d'Éric.
Et pourtant, les deux hommes ont quelque chose en commun : également doués pour la musique et la peinture, ce sont avant tout des créateurs, qui ont besoin d'un évènement décisif dans leur vie pour choisir l'une ou l'autre de ces disciplines.
Pour Henri, la découverte des paysages italiens, et pour Éric, sa rencontre avec Marie. Au fil de dialogues pleins d'humour - le héros adore les jeux de mots un peu foireux ! - mais également de naturel, cet album nous tient sous son charme.
Le dessin peut sembler un peu limité quant aux décors ou aux expressions des visages, mais c'est être sévère que dire cela, car on ne se pose jamais ces questions pendant la lecture.
Et les couleurs sont pleines de douceur !!!
Voir quelques planches de la BD à http://www.actualitte.com/critiques-bd/harpignies-dans-l-atelier-du-faussaire-entre-toiles-et-mysteres-2322.htm
Harpignies (Paquet) de François Darnaudet et Elric est un joli hommage à la peinture, à la jeunesse et à l'amour. Un hommage qui emprunte une forme inédite, entre le biopic et la semi-fiction !
Le biopic, c'est celui d'Henri Harpignies, paysagiste de l'école de Barbizon célèbre à son époque, mais bien oublié aujourd'hui. La semi-fiction nous raconte un épisode récent de la vie d'Elric Dufau-Harpignies, scénariste de cet album, et arrière-arrière-arrière (ouf !!!) - petit-neveu d'Henri.
Rebaptisé Éric dans l'album, nous le voyons se rendre à Perpignan afin d'assister à la crémation de sa grand-mère. Il peut ainsi revoir ses parents, qui lui apprennent la vente récente pour cause de soucis financiers du seul tableau de son ancêtre jusque-là propriété de sa famille. Le jeune homme peut malgré tout récupérer un carnet de croquis rassemblant des caricatures, un aspect du travail d'Henri Harpignies qui intrigue Éric, jusque-là plutôt sévère pour ce peintre paysagiste qu'il juge académique, pour le peu qu'il connaît de lui.
Le récit de sa vie, et plus particulièrement de ses années de formation lui plaît beaucoup, car Henri est aussi à l'aise un violoncelle entre les mains qu'un pinceau au bout des doigts, comme Éric avec sa guitare et son crayon. Le TGV qui le ramène à Paris tombant en panne dans la gare de Montpellier, Éric se rend au musée Fabre pour tuer le temps, et qui sait, y trouver une toile d'Harpignies.
Par chance, il y en a plusieurs, et devant l'une d'elles, une délicieuse jeune fille occupée à la recopier pour sa thèse sur l'école de Barbizon. Fort de ses liens familiaux avec le peintre et armé de son carnet d'originaux, Éric séduit la jolie Marie qui le rejoint la semaine suivante à Paris. Entre une visite au musée d'Orsay et un peu de farniente dans le jardin des Tuileries, une idylle se noue.
Mais vivre d'art, d'amour et d'eau fraîche, c'est un peu frustrant. Alors, Marie a une idée : Éric s'est pris de passion pour les toiles de son ancêtre, et réussit désormais à peindre selon son style. Formée à la restauration des tableaux, sa jeune compagne peut leur donner la patine de l'ancien. Pourquoi dès lors ne pas réaliser des faux Harpignies et les vendre à la cote ? Un jeu dangereux et tentant...
Harpignies est un album très séduisant, dont la narration fonctionne parfaitement. En parallèle d'une histoire d'amour contemporaine, simple et rafraîchissante, on replonge dans le passé en égrenant quelques moments déterminants de la vie d'Henri Harpignies.
Harpignies - François Darnaudet et Elric, sur BDfugue.com |
Et pourtant, les deux hommes ont quelque chose en commun : également doués pour la musique et la peinture, ce sont avant tout des créateurs, qui ont besoin d'un évènement décisif dans leur vie pour choisir l'une ou l'autre de ces disciplines.
Pour Henri, la découverte des paysages italiens, et pour Éric, sa rencontre avec Marie. Au fil de dialogues pleins d'humour - le héros adore les jeux de mots un peu foireux ! - mais également de naturel, cet album nous tient sous son charme.
Le dessin peut sembler un peu limité quant aux décors ou aux expressions des visages, mais c'est être sévère que dire cela, car on ne se pose jamais ces questions pendant la lecture.
Et les couleurs sont pleines de douceur !!!
Voir quelques planches de la BD à http://www.actualitte.com/critiques-bd/harpignies-dans-l-atelier-du-faussaire-entre-toiles-et-mysteres-2322.htm
LIZIERES : PIQUE-NIQUE #11 "Sillons" (ce week-end à Lizières !)
Pique-nique Sillons
Les Amis de LIZIERES vous accueillent pour le premier pique-nique de l'année 2014,
et la présentation du travail des artistes Gwennaëlle Roulleau et Laure Bollinger en résidence à Lizières à l'automne 2013,
résidence soutenue par la DRAC de Picardie.
Dimanche 02 Mars
à partir de 11h et jusqu’à 16h
Au programme :
Sillons, pièce sonore de Laure Bollinger et Gwennaëlle Roulleau
Fruit d'une collaboration entre Laure Bollinger et Gwennaëlle Roulleau, en résidence à Lizières, Sillons est né de l'envie de découvrir un territoire en l'arpentant, d'en saisir les contours, balancées entre l'envie de se situer et de se perdre à la fois, et à travers cette itinérance de se rencontrer.
Sillons est une carte sonore d'un territoire, d'un "coin" comme on dit vaguement, celui d'Epaux-Bezu et de ses environs. Une carte dont les lignes et les courbes se révèlent sous les récits des parcours de ses habitants. Autant de voix qui gravent Sillons et dessinent les paysages...
et aussi
une réponse vidéo de Laurent Gérardi, à partir des images d'un film documentaire sur des sentiers ardéchois (en cours d'élaboration).
une réponse vidéo de Laurent Gérardi, à partir des images d'un film documentaire sur des sentiers ardéchois (en cours d'élaboration).
des extensions sonores, d’œuvres réalisées ailleurs, radiophoniques ou électroacoustiques de Gwennaëlle Roulleau et Laure Bollinger sur le thème du lieu et de la nature, en écoute sous casque
Et un pique-nique...
préparé par Emilie Le Goulvout, Pierre Lanneluc et Carolina Daza
~ INFOS PRATIQUES ~
Participation aux frais :
10 euros + cotisation aux « Amis de LIZIERES » 2014 pour les non adhérents
Réservez dès à présent vos places à cette adresse : reservation@lizieres.org
Nous vous adresserons un formulaire d’inscription ainsi que les modalités de règlements en retour.
Pour se rendre à LIZIERES :
En voiture (86 km à l’est de Paris - environ 1h10) :
depuis Paris, prendre l’autoroute de l’est A4 vers METZ/NANCY >
prendre la sortie n°20 CHATEAU-THIERRY > prendre la D1, direction SOISSONS
à la sortie de BEZUET prendre immédiatement à gauche la D87 jusqu’à EPAUX-BEZU.
LIZIERES, au coeur du village d’Epaux-Bézu, se trouve sur la route de BUIRE
dans l’ancien domaine du Château d’Epaux (11, allée du Comte de Lostanges – 02400 EPAUX-BEZU).
En train :
Départ de Paris Gare de l’Est à 10h36, arrivée à Château-Thierry à 11h22
Départ de Château-Thierry à 17h01, retour à Paris à 17h53
Depuis Château-Thierry, des navettes LIZIERES peuvent être mises en place pour votre arrivée,
n’oubliez pas de nous le préciser lors de votre réservation.
--
Pour LIZIERES,
Pedro Serra, président de l'association des « Amis de LIZIERES »
Ramuntcho Matta, directeur du Centre de cultures et de ressources LIZIERES
Les Amis de LIZIERES
association à but non lucratif créée le 18 septembre 2009 pour permettre au projet LIZIERES de voir le jour.
11, allée du comte de Lostanges - 02400 EPAUX-BEZU / +33 (0)9 51 07 13 74
pour plus de renseignements : www.lizieres.org
samedi 22 février 2014
AD Winans: Presa Press to reissue my award winning book: This Land Is Not My Land with distribution in both the U.S. and Europe.
Just a note to let you know that Presa Press is re-issuing This Land Is Not My Land in a 2nd, improved edition.
The new printing will have a perfectbound spine and an ISBN and Library of Congress number, bar code, etc. They will nclude the Panama poems that were later published in Presa Magazine.
The book will also be released in Europe in 22 countries, through Gazelle Books Ltd.
I'm pleased that the book will move from the previous chapbook status to a perfect bound book with distribution in both the U.S. and in Europe.
Al
http://www.adwinans.com/
The new printing will have a perfectbound spine and an ISBN and Library of Congress number, bar code, etc. They will nclude the Panama poems that were later published in Presa Magazine.
The book will also be released in Europe in 22 countries, through Gazelle Books Ltd.
I'm pleased that the book will move from the previous chapbook status to a perfect bound book with distribution in both the U.S. and in Europe.
Al
dimanche 9 février 2014
Paul O'Donovan: new pieces of work in Interzone Galleries
"Before the deluge"
Dedicated to Captain Webb of Dawley, Shrophire; (1st channel swimmer 1875) & subject of John Betjeman's honourable poem. (A Shropshire lad)
"...A lass was singing a hymn,
When Captain Webb the Dawley man,
Captain Webb from Dawley,...
Came swimming along the old canal
That carried the bricks to Lawley.
Swimming along—
Swimming along—
Swimming along from Severn,
Paying a call at Dawley Bank while swimming along to Heaven."
"...A lass was singing a hymn,
When Captain Webb the Dawley man,
Captain Webb from Dawley,...
Came swimming along the old canal
That carried the bricks to Lawley.
Swimming along—
Swimming along—
Swimming along from Severn,
Paying a call at Dawley Bank while swimming along to Heaven."
"Amphirite's Tokens" ~ Paul '14
Paul's gallery on Facebook: https://www.facebook.com/paul.g.odonovan/photos
More in other galleries: http://www.flickr.com/photos/37220714@N03
vendredi 7 février 2014
BD François Darnaudet & Elric: Harpignies
http://www.planetebd.com/bd/paquet/harpignies/-/22428.html
scénariste
©Paquet édition 2014
scénariste
scénariste dessinateur coloriste Elric
©Paquet édition 2014
Harpignies
Un jeune artiste s’intéresse à la technique de son ancêtre, le peintre Harpignies, puis tombe amoureux et devient faussaire. Un biopic-hommage étonnant de fraîcheur et de modernité…
L'histoire : Eric Harpignies, jeune dessinateur, s’apprête à aller à la cérémonie crématoire de sa grand-mère, à Perpignan. L’occasion pour lui de revoir sa famille, ses parents et d’apprendre que leurs problèmes d’argent les ont obligés à vendre la dernière toile peinte par son ancêtre. Henri Harpignies était en effet l’un des maîtres oubliés de la peinture paysagiste de « l’école de Barbizon ». Eric récupère toutefois une relique, un carnet de croquis, qui l’incite à s’intéresser à la vie et aux techniques de cet ancêtre. En 1846, Henri avait plusieurs cordes à son arc d’artiste, aussi doué pour la peinture que pour le violoncelle. A cette époque, il était alors accueilli dans l’atelier parisien de celui qui allait devenir son maître, Jean Achard. Eric découvre cette biographie dans le TGV qui le ramène vers Paris… et qui se retrouve bloqué en panne en gare de Montpellier. Le jeune homme en profite pour visiter le musée Fabre, où il espère dénicher des toiles de son ancêtre. Il y trouve bien plus que ça : une jeune fille, dont les cheveux sentent bon le shampoing, est occupée à recopier une des toiles, car elle fait une thèse sur cette « école ». Eric engage la conversation et se présente comme un descendant du peintre. La jeune femme l’invite à voire un verre, puis… à aller en boîte. Eric tombe amoureux et l’invite à Paris la semaine suivante. Au programme : musée d’Orsay, découverte réciproque et premier baiser…
Ce qu'on en pense sur la planète BD : Avez-vous déjà entendu parler d’Henri Harpignies ? Il y a des chances que non… Cet artiste-peintre, mort presque centenaire en 1916, était pourtant l’un des meilleurs représentants d’un groupe de paysagistes du XIXème, dont la technique et la notoriété sont aujourd’hui désuètes : l’école de Barbizon. Avec l’aide de François Darnaudet au scénario, son arrière-petit-neveu Elric lui rend aujourd’hui un hommage subtil, tempéré et sans prétention, avec ce one-shot didactique et léger à la fois – qui ressuscite en prime la collection Blandice de Paquet. Pour direction narrative, le récit alterne régulièrement deux contextes : d’un côté, il retrace les grandes étapes de la vie du peintre, sous une forme classique et contemplative de biopic. D’un autre, il allège considérablement ce que la forme biographique stricte aurait de rébarbatif, en alternant ces séquences avec sa propre existence fantasmée d’artiste, à notre époque contemporaine. Rebaptisé Eric, Elric s’y trouve une amoureuse, s’essaie avec scrupules à la contrefaçon des œuvres de son grand-oncle et avec plus de réussite à la musique. Surtout, les répliques de ces phases s’accompagnent d’une belle lucidité et de beaucoup d’humour. Le dessin, auquel on peut reprocher parfois le peu de décors – un aspect paradoxal pour une œuvre qui s’intéresse à la peinture paysagiste ! – et un panel limité d’expressions faciales, se montre donc simple mais efficace sur le plan de l’immersion. Son découpage s’inscrit au sein d’un gaufrier de 12 cases par planche, dont les cellules fusionnent parfois au gré des besoins de mise en scène. Une belle surprise !
focus février 2014, galerie didier devillez: Brion Gysin
Brion Gysin
The multimedia artist, poet and novelist Brion
Gysin may be the most influential cultural figure of the twentieth century that
most people have never heard of.
Gysin (1916-1986) was an English-born,
Canadian-raised, naturalized American of Swiss descent, who lived most of his
life in Morocco and France . He went
everywhere when the going was good. He dabbled with surrealism in Paris in the 1930s, lived in the "interzone" of
Tangier in the 1950s and traveled the Algerian Sahara with Sheltering Sky author Paul Bowles before moving into the legendary
Beat Hotel in Paris .
Gysin's ideas influenced generations of
artists, musicians and writers, among them David Bowie, Keith Haring, Patti
Smith, Michael Stipe, Genesis P-Orridge, John Giorno and Brian Jones of the
Rolling Stones. None was touched more profoundly than William S. Burroughs, who
said admiringly of Gysin: "There was something dangerous about what he was
doing."
It was Gysin who introduced the Rolling Stones
to the exotica of Morocco
and took Stones' guitarist Brian Jones to Jajouka where he recorded the tribal
musicians performing the Pipes of Pan. It was Gysin who provided the hashish
fudge recipe published in Alice
B. Toklas' cookbook, promising "ecstatic reveries and
extensions of one's personality on several simultaneous planes." It was
Gysin who introduced Burroughs to an automatic writing method called the
cut-up, a literary progenitor to sampling. And it was Gysin who developed with
Ian Sommerville The Dream Machine, a
device that allowed people, with the flick of a switch, to access altered
states of consciousness without drugs.
Didier Devillez
Galerie Didier
Devillez, Brussels, 2014
GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche - 1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935
Dédicaces de François Darnaudet
Bon, le programme des dédicaces à
venir :
samedi 22 février à L'escargot bleu d'Argelès/mer (Maison de la Presse) de
9 h 30 à midi trente, Elric et Bibi.
François Darnaudetfinissage exposition tim porter, galerie didier devillez
GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53, rue Emmanuel Van Driessche • 1050 Bruxelles (Belgique) • +32(0)475 931 935
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