Interzone was a network of William Burroughs' readers founded (1997-2013). Its sites are still accessible at http://www.inter-zone.org/ , but most of them are sites of archives. The site presently active are: - Interzone Éditions http://www.interzoneeditions.net/ - La sémantique générale pour les nuls https://www.semantiquegenerale.net - La sémantique générale pour tous semantiquegenerale.free.fr - Pour une économie non-aristotélicienne https://generalsemantics4all.wordpress.com/
dimanche 16 août 2015
Paul O’Donovan: The Happylands and Elsewhere
The tracks are on line in MP3 at http://www.interzoneeditions.net/the_happy_lands_and_elsewhere.htm
1. See See Rider
2. Your Rider's Gonna Miss Me
3. D on't ThinkTwice It's All Right
5. Spikedriver Blues
6. The Last Thing On My Mind
7. Black Muddy River
8. Boots of Spanish Leather
9. Evening Star Bewitchment
10. A Young Girl
11. My Love Walked In Through The Clouds
12. Blues For Johnny
13. A Dress Of Laces
14. The Urge For Going
vendredi 14 août 2015
France Culture: Beat Hôtel
http://www.franceculture.fr/emission-l-heure-du-documentaire-beat-hotel-2015-08-12
54 minutes
12.08.2015 - 17:00
Plaque du Beat Hotel © Radio France
Le 15 octobre 1957, Allen Ginsberg et Peter Orlovsky se présentaient à l’accueil d’un hôtel sans nom situé 9, rue Gît-le-Cœur, à deux pas du Quartier Latin. Madame Rachou les reçut. Veuve depuis l’accident de voiture de son mari survenu un an auparavant, elle tenait un établissement miteux, notoirement infesté de rongeurs, mais qui quelques mois plus tôt avait accueilli un auteur en rupture de ban avec l’Amérique raciste : Chester Himes.
Depuis le rachat de cette pension de quarante-deux chambres en 1933, les époux Rachou n’avaient pas effectué de travaux. Au 9, rue Gît-le-cœur, le confort était spartiate. Le système électrique défectueux. Les toilettes à la turque situées sur le palier. Les fenêtres des chambres donnaient sur la cage d’escalier. Une seule baignoire disponible. Et encore. L’eau chaude n’y était dispensée que trois fois par semaine. Aussi, l’établissement comportait un bistrot. Le café y était servi contre quarante centimes. La nuit, elle, était facturée un dollar.
Madame Rachou n’était pas regardante sur les mœurs de ses pensionnaires, pas plus qu’elle n’était à cheval sur les dates du paiement. Une ardoise s’effaçait en échange d’un manuscrit original. Ou bien d’une toile. Car cette femme « sympathique » était une amie des arts. Des décennies plus tôt, alors qu’elle vivait en ménage à Giverny, elle avait travaillé au sein d’une pension par laquelle étaient passés Monet et Pissarro. Alors…
Alors Ginsberg et sa dégaine de prophète sur la paille ? Bienvenue! Bien sûr, parions qu’elle ignorait tout des attaques pour « obscénités » dont son pensionnaire avait précédemment fait l’objet, Madame Rachou. Comme elle ferma les yeux sur les « activités » et les mœurs de la clique beat qui rejoignit Ginsberg dans son hôtel, dès 1958. Parmi elle, William Burroughs, fraîchement débarqué de Tanger, encore marqué par sa plongée dans l’héroïne s’installe dans la chambre n°23 du 9, rue Gît-le-cœur un 16 janvier. C’est là qu’il termine Le Festin Nu.
Tandis qu’autour de lui, Greg Corso rédigeait The Bomb, que Ted Joans élaborait la fresque The Chick Who feels off a Rhino ; l’hôtel était le théâtre d’une formidable agitation artistique, mais aussi de mœurs particulières, Madame Rachou voyait au quotidien ses pensionnaires déguenillés écrire une étape de l’une des plus fiévreuses aventures artistiques du XXe siècle.
Avec : Catherine Marthely
A travers un entretien réalisé avec l’écrivain Gérard-Georges Lemaire
Ce docu-fiction retrace l’épopée du Beat Hôtel par la voix d’un témoin anonyme de ces années durant lesquelles les principales figures de la Beat Generation vécurent à Paris, et – pour certains - y créèrent plusieurs de leurs œuvres maîtresses.
Thème(s) : Information| Littérature Etrangère| Société| beat generation| William Burroughs| Allen Ginsberg
Le festin nu : William Burroughs , L''imaginaire,
Beat generation, une anthologie : Gérard-Georges Lemaire , Al Dante,
The Beat Hotel : Ginsberg, Burroughs, Corso in Paris, 1958-1963 : Barry Miles , Grove press,
Beat Generation : Collectif Night and Day
54 minutes
Beat Hôtel
Enregistrement12.08.2015 - 17:00
Plaque du Beat Hotel © Radio France
Le 15 octobre 1957, Allen Ginsberg et Peter Orlovsky se présentaient à l’accueil d’un hôtel sans nom situé 9, rue Gît-le-Cœur, à deux pas du Quartier Latin. Madame Rachou les reçut. Veuve depuis l’accident de voiture de son mari survenu un an auparavant, elle tenait un établissement miteux, notoirement infesté de rongeurs, mais qui quelques mois plus tôt avait accueilli un auteur en rupture de ban avec l’Amérique raciste : Chester Himes.
Depuis le rachat de cette pension de quarante-deux chambres en 1933, les époux Rachou n’avaient pas effectué de travaux. Au 9, rue Gît-le-cœur, le confort était spartiate. Le système électrique défectueux. Les toilettes à la turque situées sur le palier. Les fenêtres des chambres donnaient sur la cage d’escalier. Une seule baignoire disponible. Et encore. L’eau chaude n’y était dispensée que trois fois par semaine. Aussi, l’établissement comportait un bistrot. Le café y était servi contre quarante centimes. La nuit, elle, était facturée un dollar.
Madame Rachou n’était pas regardante sur les mœurs de ses pensionnaires, pas plus qu’elle n’était à cheval sur les dates du paiement. Une ardoise s’effaçait en échange d’un manuscrit original. Ou bien d’une toile. Car cette femme « sympathique » était une amie des arts. Des décennies plus tôt, alors qu’elle vivait en ménage à Giverny, elle avait travaillé au sein d’une pension par laquelle étaient passés Monet et Pissarro. Alors…
Alors Ginsberg et sa dégaine de prophète sur la paille ? Bienvenue! Bien sûr, parions qu’elle ignorait tout des attaques pour « obscénités » dont son pensionnaire avait précédemment fait l’objet, Madame Rachou. Comme elle ferma les yeux sur les « activités » et les mœurs de la clique beat qui rejoignit Ginsberg dans son hôtel, dès 1958. Parmi elle, William Burroughs, fraîchement débarqué de Tanger, encore marqué par sa plongée dans l’héroïne s’installe dans la chambre n°23 du 9, rue Gît-le-cœur un 16 janvier. C’est là qu’il termine Le Festin Nu.
Tandis qu’autour de lui, Greg Corso rédigeait The Bomb, que Ted Joans élaborait la fresque The Chick Who feels off a Rhino ; l’hôtel était le théâtre d’une formidable agitation artistique, mais aussi de mœurs particulières, Madame Rachou voyait au quotidien ses pensionnaires déguenillés écrire une étape de l’une des plus fiévreuses aventures artistiques du XXe siècle.
Avec : Catherine Marthely
A travers un entretien réalisé avec l’écrivain Gérard-Georges Lemaire
Ce docu-fiction retrace l’épopée du Beat Hôtel par la voix d’un témoin anonyme de ces années durant lesquelles les principales figures de la Beat Generation vécurent à Paris, et – pour certains - y créèrent plusieurs de leurs œuvres maîtresses.
Thème(s) : Information| Littérature Etrangère| Société| beat generation| William Burroughs| Allen Ginsberg
Lien(s)
La Beat GénérationDocument(s)
Kaddish : Allen Ginsberg, Bourgois,Le festin nu : William Burroughs , L''imaginaire,
Beat generation, une anthologie : Gérard-Georges Lemaire , Al Dante,
The Beat Hotel : Ginsberg, Burroughs, Corso in Paris, 1958-1963 : Barry Miles , Grove press,
Beat Generation : Collectif Night and Day
samedi 8 août 2015
"Elle et les Jean"
Un bon groupe poitevin, ça fait plaisir à entendre!
Site http://bbkiss.free.fr/
Morceaux en ligne http://bbkiss.free.fr/mp3/player.html
Vidéos à http://bbkiss.free.fr/live/live.htm
Agenda des concerts http://bbkiss.free.fr/agenda.htm#actu
Facebook https://www.facebook.com/pages/elle-et-les-jean/211470388864626
Fichiers libres et gratuits (midi, MP3) http://jraffoux.free.fr/
https://vimeo.com/114432526
mardi 4 août 2015
Interzone compilation 1 en ligne
Les morceaux de la compilation musicale "Interzone CD 1" réalisée en 1999 par des musiciens du réseau Interzone, étaient en ligne sur MySpace à http://www.myspace.com/interzonecd1 , mais la liste de morceaux était incomplète https://myspace.com/interzonecd1/music/songs
Je viens de les remettre en ligne en format MP3 dans Interzone Editions à la page http://www.interzoneeditions.net/interzonecd1.htm
Je viens de les remettre en ligne en format MP3 dans Interzone Editions à la page http://www.interzoneeditions.net/interzonecd1.htm
- Piste 1 01 binda23 & datawhore - surrender to my function - 2:06
- Piste 2 02 apo33 - anomoly - 3:07
- Piste 3 03 knots - panurge - 4:46
- Piste 4 04 johnny d - lich - 3:06
- Piste 5 05 rent - hiding through - 3:07
- Piste 6 06 headmonkey media - lichen boogie - 4:11
- Piste 7 07 focustest - for heelstone - 8:33
- Piste 8 08 dub rosa - man moony - 6:20
- Piste 9 09 codes for source collapse - animage - 4:47
- Piste 10 10 apo33 - serum - 7:52
- Piste 11 11 mglon - palm¡peda - 6:08
- Piste 12 12 lovewood black - experiment - 1:53
- Piste 13 13 binda23 - burning water - 2:25
- Piste 14 14 johnny d - skiamchy - 4:09
- Piste 15 15 athena - the reflectiv - 3:12
- Piste 16 16 knots - zimbus - 3:20
lundi 3 août 2015
En ces lieux... des livres 2015
Pour la quatrième année, Interzone Editions était à la manifestation littéraire En ces lieux... des livres, qui s'est tenu le 26 juillet à Loudun. Beau temps, quoi que frisquet le matin, jardin magnifique, hébergeuse charmante, ambiance sympa, rencontres intéressantes.
- 2015
- Participants 2015
- Programme 2015
- Photos 2015: Marie-Pierre PINEAU
- Photos 2015: Pierre RULLIER
- Photos 2015 – Porte 1: rue de la Poste aux chevaux
- Photos 2015: Porte 4: Place de l’Echevinage
Galerie Didier Devillez: Focus Juan Gyenes
La Galerie Didier Devillez vous souhaite un bel été et vous donne rendez-vous mi-septembre.
La robe (Composition surréaliste),
circa 1935
Photographie argentique noir & blanc
(tirage d’époque) signée à l’encre
Format : 23,9 x 18,9 cm
Juan Gyenes
Né en Hongrie, Juan Gyenes est photographe indépendant à Budapest, Paris, Londres… durant les années 30. Il s’établit en Espagne en 1940 où il poursuit ses activités. Introduit dans les milieux artistiques d’avant-garde, il réalise de nombreux portraits de ses amis, parmi lesquels : Pablo Picasso, Salvador Dali, Joan Miro, Tsuguharu Fujita, Charlie Chaplin, Artur Rubinstein, Herbert von Karajan, Montserat Caballé, Maria Félix…
GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche
1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935
galeriedidierdevillez.be
tribal-collection.com
Apéridoo au Four à Chaux d’Airvault & Présentation du festival de l’Arbo...
boites à sons du facteur son Bosstoo
et installs à sons de Mino D.C
pour l'aperidoo en avant première du
Rêve de l'aborigène 2015
The Beat Museum, San Francisco: Andy Clausen, Pamela Twining, and A.D. Winans
Woodstock, NY poets Andy Clausen and Pamela Twining hit the road, venturing off on a “Beat Revival Tour,” destination: San Francisco. Joining them is San Francisco poet A.D. Winans.
Events at the Beat Museum are free of charge, made possible by Friends of the Beat Museum.
Andy Clausen
Andy Clausen was raised in Oakland California USA. He graduated from Bishop O’Dowd High School in 1961 and attended six colleges. After reading the poems of the characters in Kerouac’s books, he felt he’d found his life’s vocation and headlong began trying to be a Beat poet in 1965. He has traveled and read his poetry all over North America and the world. (New York, California, Alaska, Texas, Prague, Kathmandu, Amsterdam etc.) He has maintained a driven intrepid lifestyle and aspired to be a champion of the underdog. He has had many occupations studying humanity and earning a living. Clausen has written about his friendships with Allen Ginsberg, Gregory Corso, Ray Bremser, Janine Pommy Vega, Peter Orlovsky, and many others of the Beat Generation.
He has lectured at universities, high schools, and art centers. Clausen has taught at The Jack Kerouac School of Disembodied Poetics, Naropa University. He was co-editor of, POEMS FOR THE NATION, with Allen Ginsberg and Eliot Katz (Seven Stories Press). He was an editor at LONG SHOT Magazine. Clausen wrote about Ray Bremser
and appears in Encyclopedia of Beat Literature (Kurt Hemmer, editor) Clausen has back packed around the world and has resided in over twenty states and provinces.
and appears in Encyclopedia of Beat Literature (Kurt Hemmer, editor) Clausen has back packed around the world and has resided in over twenty states and provinces.
For twelve years AC conducted poetry workshops in the NY state prison system for Incision Arts. In 1999 Clausen began teaching poetry in the schools under the auspices of Teacher’s & Writers Collaborative. Andy now resides in Woodstock, NY, where he teaches, writes, and performs his work. He lived with Janine Pommy Vega the last 12 years of her life and celebrates The Annual Janine Pommy Vega Poetry Festival in Woodstock.
Pamela Twining
I was born on the Eastern Shore of Maryland in the middle of the last century, to a melting pot American family with early settler roots, as well as a Native American connection that no one ever discussed. I was always a poet, my first efforts published only in elementary school journals, but my sonnet “Neveah”, written at 16, was honored with a scholarship to a six week poetry workshop in Washington DC. An early poem, “Rejoice! The Second Coming!” was performed at Regina High School in Hyattsville, MD, with orchestration and conducted by prominent Philippine composer, Rosendo E. Santos, professor of music at the Catholic University.
I left school to travel, raise children and live off-the-grid on an organic farm, always finding time to write, though I only started reading my work in public in 2010. During the 1990s, I attended Vassar College on a scholarship received from the Ford Foundation, using poetry as a voice for a Women’s Studies discipline. A long poem “The Rape of Humankind: a Conspiracy Theory”, after William Blake, was used as the subject of a Graduate thesis on Blake, at the request of the professor.
Most of the past years were spent “inhaling”, as it were. And in 2009, my children raised, my parents no longer in need of me, I began to read my work at Open Mics and was soon a Featured performer. My first chapbook, “i have been a river…” was published by Heyday Press in 2011, followed by “utopians & madmen”, DancinFool Press, in 2012 and “A Thousand Years of Wanting” by Shivastan Press in 2013. My work has also appeared in Big Scream #51 and Big Scream #52, Heyday Magazine, Vol 1, Issue 1 and Vol 1, Issue 3, and Napalm Health Spa 2013, the annual magazine of the Museum of American Poetics.
I have appeared with beat legends Andy Clausen and Antler, Jeff Poniewacz, Poet Laureate of Milwaukee, Anne Waldman, George Wallace, and others on stages in Detroit, Milwaukee, Boulder, Denver and Ward CO, and in New York City, as well as Albany and my home of over 40 years, Woodstock, NY.
I am currently working on a long piece, a memoir in poetic form. I am also one of the organizers of the Janine Pommy Vega Poetry Festival, held annually in Woodstock at the Woodstock Artists Association and Museum.
A.D. Winans
A. D. Winans is a native San Francisco poet, writer and photographer. He is a graduate of San Francisco State University. He returned home from Panama in February 1958 to become part of the Beat and post-Beat era. He is the author of fifty books and chapbooks of poetry and prose. Major books include The Holy Grail: The Charles Bukowski Second Coming Revolution, North Beach Revisited, and This Land Is Not My Land, which won a 2006 PEN Josephine Miles Award for Literary Excellence. Most recent books include The Wrong Side Of Town, Marking Time, Pigeon Feathers, Billie Holiday Me and the Blues, No Rooom For Buddha, and Love – Zero. In 2007 Presa Press published a book of his Selected Poems: The Other Side Of Broadway: Selected Poems 1995-2005. In late 2010, BOS Press published a 300-plus page of his Selected Poems.
ADWinans.com
mardi 14 juillet 2015
L'île logique et nuit des maths
Bonjour à tous,
soyez les bienvenus à la nuit des maths, samedi 4 juillet à Tours, conférences (Cédric Villani), mathémagie, jonglerie, nombreuses surpises et théâtre scientifique,
L'île logique aura le plaisir d'y donner une représentation de son spectacle de clowns scientifiques, "Pilouface", spectacle familial tout public à 15h,
ainsi que "Galois Poincaré, mythes et maths" à 22h15, sur les travaux de ces illustres savants.
plus d'infos ici :
http://www.nuitdesmaths.org/presentation/
N'hésitez pas, par ailleurs à nous solliciter pour la semaine de la science qui dure 3 semaines !!!
Aussi, il reste quelques places pour le stage théâtre et sciences que nous organisons en Bretagne les 24 et 25 octobre.
Pour ceux qui n'ont pas vu L'affaire 3.14, nous serons au théâtre de la Reine Blanche le 26 septembre (Paris 18e) et les 15 et 16 octobre à Montpellier.
N'hésitez pas à visionner le petit clip sur le la création théâtrale que nous avons faite avec une classe de 5e autour de leur programme de mathématiques, ce concept peut se décliner de multiples façons adaptées !!
https://www.youtube.com/watch?v=KFNUoj_D5-A
Toute l'équipe vous souhaite un bel été,
caniculairement....
Cédric
www.ilelogique.fr
soyez les bienvenus à la nuit des maths, samedi 4 juillet à Tours, conférences (Cédric Villani), mathémagie, jonglerie, nombreuses surpises et théâtre scientifique,
L'île logique aura le plaisir d'y donner une représentation de son spectacle de clowns scientifiques, "Pilouface", spectacle familial tout public à 15h,
ainsi que "Galois Poincaré, mythes et maths" à 22h15, sur les travaux de ces illustres savants.
plus d'infos ici :
http://www.nuitdesmaths.org/presentation/
N'hésitez pas, par ailleurs à nous solliciter pour la semaine de la science qui dure 3 semaines !!!
Aussi, il reste quelques places pour le stage théâtre et sciences que nous organisons en Bretagne les 24 et 25 octobre.
Pour ceux qui n'ont pas vu L'affaire 3.14, nous serons au théâtre de la Reine Blanche le 26 septembre (Paris 18e) et les 15 et 16 octobre à Montpellier.
N'hésitez pas à visionner le petit clip sur le la création théâtrale que nous avons faite avec une classe de 5e autour de leur programme de mathématiques, ce concept peut se décliner de multiples façons adaptées !!
https://www.youtube.com/watch?v=KFNUoj_D5-A
caniculairement....
Cédric
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samedi 27 juin 2015
Galerie Didier Devillez: Finissage Exposition Georges meurant
Dernière semaine
Finissage le samedi 27 Juin 2015
de 16 à 18h30
expositionde 16 à 18h30
jusqu'au 27 juin
ouvert les jeudi, vendredi et samedi
de 14 à 18h30
et sur rendez-vous
GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche 1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935
"Central Hôtel" disponible sur Amazon / Central Hôtel available on Amazon
Central Hôtel, de José Altimiras et Guy Marcenac, chez Interzone Editions est en vente en format électronique sur Amazon, au prix suivants :
- 3,51 €, http://www.amazon.fr/gp/product/B010BD650O ,
Central Hôtel, by José Altimiras and Guy Marcenac, published by Interzone Editions, is available in Kindle edition on Amazon, for the following prices:
- 3,51 €, http://www.amazon.fr/gp/product/B010BD650O ,
mardi 23 juin 2015
Lizières: Pique-nique de José Luis Valle – “Partager ce qui est inutile “
L’association des Amis de Lizières, en partenariat avec le Festival Biarritz Amérique Latine et le soutien de la DRAC Picardie, a le plaisir de vous accueillir au château d’Épaux-Bézu pour un pique-nique présenté par le cinéaste José Luis Valle en clôture de sa résidence réalisée à Lizières.
Dimanche 28 juin 2015 de 11h00 à 17h00
Présentation, programme et infos pratiques ci-dessous
≈ Présentation de la journée ≈
Partager ce qui est inutilePar José Luis Valle “ J’ai décidé de nommer cette journée ainsi, convaincu que ce qu’on fait est inutile. Non pas au sens tragique, mais au sens contraire. Le cinéma, l’art, ont une finalité peu utile (au sens du pratique): alors qu’une chaise est utile, une chaise composée d’ sphères de verre ne l’est pas, mais elle peut être belle et susciter une expérience esthétique envers celui qui l’observe.
Je doit dire que mes aptitudes sociales sont minimes, il a donc été très difficile de réfléchir à cette interaction (je me souviens de l’empathie ressenti, lorsque j’étais enfant en regardant le personnage du film Homeboy dire –à une fille- ce qui lui vint à l’esprit comme étant le plus près à une déclaration d’amour: « j’aimerais que par le seul fait de m’asseoir à tes côtés tu saches que je t’aime »).
Je veux montrer certains de mes travaux qui n’ont jamais été présentées jusqu´à maintenant : fragments de mes courts-métrages d’étudiant, un court de huit minutes réalisé avec 100 dollars dans une langue indigène parlée aujourd’hui uniquement par dix mille personnes au Mexique … étant donné que pour moi le processus de création est aussi important que le résultat, je veux présenter également le making off de mon film Workers, jamais montré, et que j’ai décidé d’exclure des DVD du film.
J’ai également sélectionné pour cette occasion une séquence de mon long-métrage Las búsquedas et deux séquences de Workers, autour desquelles je désire échanger de façon informelle avec le public. Il ne s’agit pas d’un questions-réponses ou de savoir si vous les aimez. Je voulais entraîner quelque chose chez les spectateurs lorsque j’ai filmé ces morceaux de vie, et le processus ne finit que lorsqu’on voit comment ils fonctionnent –ou pas- ces tentatives de dialogue avec les spectateurs, dans ce cas, avec les invités à cette journée (justement mon cinéma est “inachevé”, il finit seulement avec la participation d’un spectateur actif). D’où l’idée de “partager”.
Ensuite, nous essayerons de comprendre quel est le lien entre tout ceci et mon nouveau projet Berlín.
Enfin, en guise d’adieu, il y aura une activité créative surprise.
≈ Programme ≈
11h00 Bienvenue et apéritif. Promenade.– Courte introduction au programme de la journée. Berlín et Lizières. Coordonnées. Avec des images de mes courts-métrages d’étudiant.
– El camino (Le chemin): partager deux séquences de Workers et une séquence de Las Búsquedas. Échanges, impressions.
– Workers, making off.
13h00 Pique-nique mexicain
14h30 Court-métrage ‘Agua para viajeros’ (De l’eau pour les voyageurs) sous-titré français – court échange
– Histoire du projet Berlín. Quelques minutes de matériel inédit du personnage réel qui inspire l’histoire du film.
– Activité créative surprise.
≈ Infos pratiques ≈
Tarifs :
10 € pour les adhérents à l’association Les Amis de Lizières
20 € pour les non-adhérents.
10 € pour les adhérents à l’association Les Amis de Lizières
20 € pour les non-adhérents.
Venir à Lizières
Informations ICI
ON “DEAD LIONS” BY A D WINANS
(Published by Punk Hostage Press)
REVIEWED BY NEELI CHERKOSKI
Poet A D Winans is a native San Franciscan who came of age during the heyday of the beat generation in His hometown. The beat poets along with Kenneth Patchen and Charles Bukowski had quite an influence on the direction he would take in his own poetry. It's a poetry of the streets and a poetry of the common language, going back to Walt Whitman. Over the years, Winans has written about some of his literary heroes, always with passion, always with a deep understanding of how the tradition of poetry is passed hand-to-hand down the generations. It is a great moment to see a few of his essays, or portraits, collected in one volume.
Dead Lions is aptly named. Winans has chosen to write of Alvah Bessie, that heroic screenwriter who was one of the Hollywood 10, a victim of the Communist scare of the 1950s engendered by Senator Joseph McCarthy and others. There are tributes to three poets as well, Bob Kaufman, Jack Micheline, and Charles Bukowski. One might read the text and feel as if they had been wandering through a portrait gallery. That is how keenly Winans does his job. I came away from reading this book with a new sense of all of these people. The three poets I knew well. Bessie is known to me only from a distance in the context of the persecution.
What really makes Dead Lions an important book is the intimacy Winans brings to the page. It’s that same sense of the intimate that is in his own poetry. Kaufman, Micheline, and Bukowski we're true literary outsiders. For each of them it was a long pull to be given notice from the literary Community. Winans knew Bukowski in the days when he was a creature of the little poetry journals and a major figure in the Mimeo revolution of the 1960s, which now seems so long ago. He knew Bob Kaufman in North Beach hanging out with him at bars and cafes. He was closest to Jack Micheline and that comes through in his book. For Winans Micheline's defiance of literary propriety was an important signal to younger poets. Once again, Whitman is echoed. Jack's "barbaric yelp" was the ticket to freedom from academe.
I was particularly taken with Winans’ portrait of Bob Kaufman. He offers a good deal of biographical information that one rarely finds. He writes, “Kaufman considered himself a Buddhist and believed that a poet had a call to a higher order.” As one of Bob’s intimate friends, I remember him quoting from ancient Buddhist texts as we sat around the kitchen table in my apartment. He was never loud about it. Winans tells us, “He was an oral poet who didn’t write for publication or expectations of fame and fortune, which is what drew me to him.’
This is romanticism and it is charming to witness. I think of Nelson Algren’s book title, “A Walk on the Wild Side.” It reminds me of the poets Winans admires. He wraps up the Kaufman piece with a description of the pubic outpouring after his death as more than one hundred people marched through North Beach in tribute to the poet’s life.
Winans has written extensively on Bukowski. Once again, it was the rebellion in "Buk" that Winans admires, and he pays him tribute. This piece is filled with up- close and personal recollection. Winans indulges in a bit of psychological profiling, including Bukowski’s mistrust of friends. In contrast, he writes: “His first book, Post Office, was written in nineteen days. The book is filled with laughter that shines through the pain of working at a dead-end job that kills a man’s spirit and physically breaks him down. I know! I worked for the San Francisco Post Office for five years.” It was after reading this novel that Winans became an avid fan. The snapshot of the times he spent hanging out with Bukowski are memorable, including a jaunt into one of the famous San Francisco watering holes, Gino and Carlos, a venerable poet’s haunt. He recounts taking Bukowski to the Caffe Trieste in North Beach. The L A. bard would not enter. He just commented that the habitués were sitting there waiting for something to happen. “Hank, “as Bukowski was known to his friends, comes through with full flavor. One finishes the essay and wishes for more. Perhaps Winans will find the time to expand this interesting portrait of the raucous poet.
Jack Micheline comes through as the quintessential literary barbarian. Some biographical information quickly gives way to anecdote. Jack is plunked onstage by Winans and we watch him in court and jail, in one bar after another amid quotes from the man himself. Winans has a good memory and may have scribbled some of Jacks words down in a notebook. Describing the old days to A D. Micheline said, “Poetry was everywhere. Every day Kaufman and I read a poem. It is not part of history, but I was arrested for pissing on a police car the same night Kaufman was arrested outside the Co-Existence Bagel Shop.” It was the fervor of Micheline’s attack on our safe and sound society that Winans admires, and it comes through remarkably well. It is another one of those useful handbooks of poetic sensibility, with the added bonus of having insights into the life of Alvah Bessie.
*** The signed copy of the book can be purchased from the author (reserve yours by writing (ad1936@juno.com) at a discounted price of $14.29 that includes free shipping. An unsigned copy of the book is also available at Amazon at the same price plus whatever shipping they charge.
https://www.amazon.com/author/a.d.winans
ttp://winansfansite.blogspot.com
http://ackerawards.com
REVIEWED BY NEELI CHERKOSKI
Poet A D Winans is a native San Franciscan who came of age during the heyday of the beat generation in His hometown. The beat poets along with Kenneth Patchen and Charles Bukowski had quite an influence on the direction he would take in his own poetry. It's a poetry of the streets and a poetry of the common language, going back to Walt Whitman. Over the years, Winans has written about some of his literary heroes, always with passion, always with a deep understanding of how the tradition of poetry is passed hand-to-hand down the generations. It is a great moment to see a few of his essays, or portraits, collected in one volume.
Dead Lions is aptly named. Winans has chosen to write of Alvah Bessie, that heroic screenwriter who was one of the Hollywood 10, a victim of the Communist scare of the 1950s engendered by Senator Joseph McCarthy and others. There are tributes to three poets as well, Bob Kaufman, Jack Micheline, and Charles Bukowski. One might read the text and feel as if they had been wandering through a portrait gallery. That is how keenly Winans does his job. I came away from reading this book with a new sense of all of these people. The three poets I knew well. Bessie is known to me only from a distance in the context of the persecution.
What really makes Dead Lions an important book is the intimacy Winans brings to the page. It’s that same sense of the intimate that is in his own poetry. Kaufman, Micheline, and Bukowski we're true literary outsiders. For each of them it was a long pull to be given notice from the literary Community. Winans knew Bukowski in the days when he was a creature of the little poetry journals and a major figure in the Mimeo revolution of the 1960s, which now seems so long ago. He knew Bob Kaufman in North Beach hanging out with him at bars and cafes. He was closest to Jack Micheline and that comes through in his book. For Winans Micheline's defiance of literary propriety was an important signal to younger poets. Once again, Whitman is echoed. Jack's "barbaric yelp" was the ticket to freedom from academe.
I was particularly taken with Winans’ portrait of Bob Kaufman. He offers a good deal of biographical information that one rarely finds. He writes, “Kaufman considered himself a Buddhist and believed that a poet had a call to a higher order.” As one of Bob’s intimate friends, I remember him quoting from ancient Buddhist texts as we sat around the kitchen table in my apartment. He was never loud about it. Winans tells us, “He was an oral poet who didn’t write for publication or expectations of fame and fortune, which is what drew me to him.’
This is romanticism and it is charming to witness. I think of Nelson Algren’s book title, “A Walk on the Wild Side.” It reminds me of the poets Winans admires. He wraps up the Kaufman piece with a description of the pubic outpouring after his death as more than one hundred people marched through North Beach in tribute to the poet’s life.
Winans has written extensively on Bukowski. Once again, it was the rebellion in "Buk" that Winans admires, and he pays him tribute. This piece is filled with up- close and personal recollection. Winans indulges in a bit of psychological profiling, including Bukowski’s mistrust of friends. In contrast, he writes: “His first book, Post Office, was written in nineteen days. The book is filled with laughter that shines through the pain of working at a dead-end job that kills a man’s spirit and physically breaks him down. I know! I worked for the San Francisco Post Office for five years.” It was after reading this novel that Winans became an avid fan. The snapshot of the times he spent hanging out with Bukowski are memorable, including a jaunt into one of the famous San Francisco watering holes, Gino and Carlos, a venerable poet’s haunt. He recounts taking Bukowski to the Caffe Trieste in North Beach. The L A. bard would not enter. He just commented that the habitués were sitting there waiting for something to happen. “Hank, “as Bukowski was known to his friends, comes through with full flavor. One finishes the essay and wishes for more. Perhaps Winans will find the time to expand this interesting portrait of the raucous poet.
Jack Micheline comes through as the quintessential literary barbarian. Some biographical information quickly gives way to anecdote. Jack is plunked onstage by Winans and we watch him in court and jail, in one bar after another amid quotes from the man himself. Winans has a good memory and may have scribbled some of Jacks words down in a notebook. Describing the old days to A D. Micheline said, “Poetry was everywhere. Every day Kaufman and I read a poem. It is not part of history, but I was arrested for pissing on a police car the same night Kaufman was arrested outside the Co-Existence Bagel Shop.” It was the fervor of Micheline’s attack on our safe and sound society that Winans admires, and it comes through remarkably well. It is another one of those useful handbooks of poetic sensibility, with the added bonus of having insights into the life of Alvah Bessie.
*** The signed copy of the book can be purchased from the author (reserve yours by writing (ad1936@juno.com) at a discounted price of $14.29 that includes free shipping. An unsigned copy of the book is also available at Amazon at the same price plus whatever shipping they charge.
https://www.amazon.com/author/a.d.winans
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lundi 15 juin 2015
Interzone Editions: publication de CENTRAL HÔTEL
Sortie chez Interzone Editions de CENTRAL HÔTEL, une bande dessinée de José Altimiras et Guy Marcenac, d'après le roman d'André Héléna, "Les Clients du Central Hôtel" : http://www.interzoneeditions.net/central_hotel.htm
Perpignan, août 1944, la canicule règne. Là, dans la solitude des chambres du Central Hôtel, les corps s’abandonnent à leurs instincts. Pour les clients réunis par hasard dans cet hôtel, l’heure de vérité approche. Dehors, dans les ruelles de la vieille ville, les ombres sinistres de la Gestapo rodent…
André Héléna est un des principaux acteurs du roman noir français d’après-guerre. Né le 7 avril 1919 à Narbonne, il est profondément marqué par les années de guerre. C’est à Paris, en prison pour dettes, qu’il va écrire son premier roman : « Les flics ont toujours raison », publié en 1949 par Roger Dermée, l’éditeur de la rue des Moulins. Auteur prolifique, plus d’une centaine de romans populaires, il s’épuise à la tâche. Gagné par la maladie il meurt à Leucate le 18 novembre 1972.
Une première adaptation de « Les Clients du Central Hôtel » d’André Héléna a été publiée en 2002 chez Voix Editions en version bilingue, sous le titre « Central Hôtel », illustrations : José Altimiras, scénario: Guy Marcenac, traduction catalane: Joan-Daniel Bezsonoff.
Après « Le Taxidermiste », adapté du roman du même nom de Darnaudet-Daurel publié aux éditions Corps 9 (1985), « Central Hôtel » est la deuxième bande dessinée de José Altimiras publiée par Interzone Editions. Il vit et travaille en Catalogne et a publié d'autres ouvrages ("Entre Gener i Desembre" Ed. Rescripta - "Fora de Lloc" Ed. Trabucaire - "Rodamons" Ed. Trabucaire).
Isabelle Aubert-Baudron
Bande dessinée: intérieur noir et blanc
Dessins : José ALTIMIRAS ©
Scénario : Guy MARCENAC © c/o interzone.editions [at] interpc.fr
Scénario : Guy MARCENAC © c/o interzone.editions [at] interpc.fr
ISBN 979-10-94889-00-8 - EAN 9791094889008
Format: 21 x 29,7 cm (A4) – 51 pages
19 €
A paraître en format électronique sur Amazon.
A paraître en format électronique sur Amazon.
Perpignan, août 1944, la canicule règne. Là, dans la solitude des chambres du Central Hôtel, les corps s’abandonnent à leurs instincts. Pour les clients réunis par hasard dans cet hôtel, l’heure de vérité approche. Dehors, dans les ruelles de la vieille ville, les ombres sinistres de la Gestapo rodent…
André Héléna est un des principaux acteurs du roman noir français d’après-guerre. Né le 7 avril 1919 à Narbonne, il est profondément marqué par les années de guerre. C’est à Paris, en prison pour dettes, qu’il va écrire son premier roman : « Les flics ont toujours raison », publié en 1949 par Roger Dermée, l’éditeur de la rue des Moulins. Auteur prolifique, plus d’une centaine de romans populaires, il s’épuise à la tâche. Gagné par la maladie il meurt à Leucate le 18 novembre 1972.
Une première adaptation de « Les Clients du Central Hôtel » d’André Héléna a été publiée en 2002 chez Voix Editions en version bilingue, sous le titre « Central Hôtel », illustrations : José Altimiras, scénario: Guy Marcenac, traduction catalane: Joan-Daniel Bezsonoff.
Après « Le Taxidermiste », adapté du roman du même nom de Darnaudet-Daurel publié aux éditions Corps 9 (1985), « Central Hôtel » est la deuxième bande dessinée de José Altimiras publiée par Interzone Editions. Il vit et travaille en Catalogne et a publié d'autres ouvrages ("Entre Gener i Desembre" Ed. Rescripta - "Fora de Lloc" Ed. Trabucaire - "Rodamons" Ed. Trabucaire).
Isabelle Aubert-Baudron
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Jean Azarel: Slow ascent melancholia du groupe Parqks
LE GROUPE PARQKS SORT « SLOW ASCENT MELANCHOLIA »
Le groupe PARQKS, estampillé postrock shoegaze vient de sortir son premier album en version CD et vinyle. 7 petits bijoux instrumentaux ciselés par les guitares galactiques de Jean Cédric Lazare et Gaétan Chatry qui flirtent à l’unisson avec la batterie de Florian Guillaume et que finissent de sertir les murs de sons bruitistes concoctés par le trio de trentenaires limougeauds.
De « The evening was cold but we felt warm inside”(avec des accents d”Heroin” du Velvet Underground) à “You will never live in the 90s again”, en passant par le nuageux « Nubla 93 », les morceaux s’enchaînent dans leur écrin d’ambiance, portés par le flux et le reflux des guitares qui montent parfois à marée haute avec le soutien d’une batterie tantôt smoothy, tantôt plus cogneuse, et l’appoint des murs de sons qui s’élèvent et s’effondrent entre miracle et désastre d’un monde trop humain pour ne pas être vrai, bien que…..
Dans ces sept points de la maîtrise musicale, on décernera une mention spéciale au galactique « Sibéria », et à l’apaisant « Say goobye and goodnight » où l’osmose des instruments conduit auditeurs et musiciens à l’égrégore. Avec « Slow Ascent Melancholia », en accord avec le titre, Parqks égrène avec minutie un paysage sonore particulier loin des effets de mode, cool et inquiet à la fois, lyrique et punchy dans son expression, désabusé avec élégance dans sa distanciation.
On ne vivra plus dans les années 90, c’est un fait accompli, mais ces trente huit minutes nous rappellent combien l’album sonne furieusement juste dans l’époque actuelle.
Jean AZAREL, 14 juin 2015
« Slow Ascent Melancholia » est disponible en formats digital et physique au prix de 6 € (CD+MP3) et 14 € (CD + vinyle + MP3), + frais de ports.
En commande ici : www.parqks.bandcamp.com
Ou par chèque libellé à ASSO SOUNDSCAPE
SOUNDSCAPE
Chanteranne
87290 CHATEAUPONSAC
Le groupe PARQKS, estampillé postrock shoegaze vient de sortir son premier album en version CD et vinyle. 7 petits bijoux instrumentaux ciselés par les guitares galactiques de Jean Cédric Lazare et Gaétan Chatry qui flirtent à l’unisson avec la batterie de Florian Guillaume et que finissent de sertir les murs de sons bruitistes concoctés par le trio de trentenaires limougeauds.
De « The evening was cold but we felt warm inside”(avec des accents d”Heroin” du Velvet Underground) à “You will never live in the 90s again”, en passant par le nuageux « Nubla 93 », les morceaux s’enchaînent dans leur écrin d’ambiance, portés par le flux et le reflux des guitares qui montent parfois à marée haute avec le soutien d’une batterie tantôt smoothy, tantôt plus cogneuse, et l’appoint des murs de sons qui s’élèvent et s’effondrent entre miracle et désastre d’un monde trop humain pour ne pas être vrai, bien que…..
Dans ces sept points de la maîtrise musicale, on décernera une mention spéciale au galactique « Sibéria », et à l’apaisant « Say goobye and goodnight » où l’osmose des instruments conduit auditeurs et musiciens à l’égrégore. Avec « Slow Ascent Melancholia », en accord avec le titre, Parqks égrène avec minutie un paysage sonore particulier loin des effets de mode, cool et inquiet à la fois, lyrique et punchy dans son expression, désabusé avec élégance dans sa distanciation.
On ne vivra plus dans les années 90, c’est un fait accompli, mais ces trente huit minutes nous rappellent combien l’album sonne furieusement juste dans l’époque actuelle.
Jean AZAREL, 14 juin 2015
« Slow Ascent Melancholia » est disponible en formats digital et physique au prix de 6 € (CD+MP3) et 14 € (CD + vinyle + MP3), + frais de ports.
En commande ici : www.parqks.bandcamp.com
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Chanteranne
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Quelques nouvelles de l'éclat
Bonjour,
Avec l’été qui vient, un rappel des titres parus à l’éclat ce premier
semestre.
De quoi voyager du Shabbat de Benjamin Gross à Walter Benjamin
lecteur de Marcel Proust, de la Grèce de Giorgio Colli (et Nietzsche) à
Wittgenstein vs Freud, des philosophies de Jacques Bouveresse ou de
Thomas Nagel aux conversations et "délires divergents" de Philippe K. Dick, des
"Aurores" de Maria Zambrano au dernier combat de Carlo Michelstaedter, dont
Patricia Farazzi donne une version, en forme de vie (et mort) imaginaire, dans
Un crime parfait.
Vous trouverez tous ces livres (et les autres) tout l'été dans quelques excellentes
librairies qui ont bien voulu fêter avec nous nos 30 ans.
Le catalogue 1985-2015 est toujours disponible. Si vous voulez le recevoir,
il suffit de nous en faire la demande.
Bel été à toutes et à tous et merci de votre fidélité
(cliquez sur les couvertures)
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