Interzone was a network of William Burroughs' readers founded (1997-2013). Its sites are still accessible at http://www.inter-zone.org/ , but most of them are sites of archives.
The site presently active are:
- Interzone Éditions http://www.interzoneeditions.net/
- La sémantique générale pour les nuls https://www.semantiquegenerale.net
- La sémantique générale pour tous semantiquegenerale.free.fr
- Pour une économie non-aristotélicienne https://generalsemantics4all.wordpress.com/
trouvez ci joint le fly pour les journées du patrimoine à Airvault le 19 et le 20 septembre. Mon installation sonore diffusera tous le we 24h./24 du samedi matin au dimanche soir devant la chapelle de soulievre. (et d'ici cette date vous pouvez déjà l'écouter tous les jours de 17h. à 22h. et les we de 10h à 22h).
Découvrez également au fond de la prairie de soulièvre les installations de Mino dc, et de Toniodelavega
bonne réception!
Bosstoo
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Bonjour,Trouvez ci-joint le fly pour les journées du patrimoine à la prairie de Soulièvres, à Airvault le 19 et le 20 septembre.Je serai sur place le samedi et le dimanche en fin d'après-midi, Boboss y sera tout le dimanche. J'aurai la sculpture "Esquisse d'Héphaïstos", toujours en forme. Et une exposition photos, "Imagine aire Soulièvres, quand l'ancien s'entrelace au présent". Boboss aura une installation sonore qu'il diffusera tous le we 24h./24 du samedi matin au dimanche soir devant la chapelle de Soulievres. (et d'ici cette date vous pouvez déjà l'écouter tous les jours de 17h. à 22h. et les we de 10h à 22h).
Mino a délocalisé son "arbre à sons et à mémoires" qui sera accompagné par des encres plastifiées et des banderoles artistiques.
Si vous en avez l'occasion, la prairie s'ouvre à vous,
Bonjour à tous, En espérant que vous avez passé un bel été et que vous
abordez la rentrée sereinement, nous vous glissons ici quelques petites infos
concernant L'île logique :
The muscles the cells changing Dying and yet somehow surviving Traveling through a warped time tunnel Through an origin you cannot remember Because there is no you to remember it Walking behind my shadow Shedding the
years like
A burlesque dancer sheds her clothes .
I who have never called myself a poet
Never clothed myself in consonants
Vowels similes or metaphors Yet planting the words on the page Like a florist prepares a bridal banquet A tender arrangement of flesh and bone At war with the demons who leave behind A Custer
massacre of words .
Approaching eighty I race the clock like
a hungry dog sniffs a gourmet meal Left feeling like the last sentinel The last paying customer At the last
movie show .
All these years an explorer
Set out to discoverer a new world Blindfolded
without map or compass
The Holy Grail a shameless slut
Plays the
role of a gypsy fortune teller
Spits out bits and pieces of the puzzle .
The poems arrive like
A migration of birds Poems mated with a full blood moon Left cooking
these strange images
Like a fry cook sweating over
A greasy grill .
Waking at three in the morning
With half-remembered dreams
My eyes a heat-seeking missile Honing in for an invisible kill Feeling like a junkie overcome
With tremors A matador waving a red flag
In the face of a raging bull
A blind man tapping Into raw
emotion . AD Winans: http://www.adwinans.com/
Le 15 octobre 1957, Allen Ginsberg et Peter Orlovsky se présentaient à l’accueil d’un hôtel sans nom situé 9, rue Gît-le-Cœur, à deux pas du Quartier Latin. Madame Rachou les reçut. Veuve depuis l’accident de voiture de son mari survenu un an auparavant, elle tenait un établissement miteux, notoirement infesté de rongeurs, mais qui quelques mois plus tôt avait accueilli un auteur en rupture de ban avec l’Amérique raciste : Chester Himes.
Depuis le rachat de cette pension de quarante-deux chambres en 1933, les époux Rachou n’avaient pas effectué de travaux. Au 9, rue Gît-le-cœur, le confort était spartiate. Le système électrique défectueux. Les toilettes à la turque situées sur le palier. Les fenêtres des chambres donnaient sur la cage d’escalier. Une seule baignoire disponible. Et encore. L’eau chaude n’y était dispensée que trois fois par semaine. Aussi, l’établissement comportait un bistrot. Le café y était servi contre quarante centimes. La nuit, elle, était facturée un dollar.
Madame Rachou n’était pas regardante sur les mœurs de ses pensionnaires, pas plus qu’elle n’était à cheval sur les dates du paiement. Une ardoise s’effaçait en échange d’un manuscrit original. Ou bien d’une toile. Car cette femme « sympathique » était une amie des arts. Des décennies plus tôt, alors qu’elle vivait en ménage à Giverny, elle avait travaillé au sein d’une pension par laquelle étaient passés Monet et Pissarro. Alors…
Alors Ginsberg et sa dégaine de prophète sur la paille ? Bienvenue! Bien sûr, parions qu’elle ignorait tout des attaques pour « obscénités » dont son pensionnaire avait précédemment fait l’objet, Madame Rachou. Comme elle ferma les yeux sur les « activités » et les mœurs de la clique beat qui rejoignit Ginsberg dans son hôtel, dès 1958. Parmi elle, William Burroughs, fraîchement débarqué de Tanger, encore marqué par sa plongée dans l’héroïne s’installe dans la chambre n°23 du 9, rue Gît-le-cœur un 16 janvier. C’est là qu’il termine Le Festin Nu.
Tandis qu’autour de lui, Greg Corso rédigeait The Bomb, que Ted Joans élaborait la fresque The Chick Who feels off a Rhino ; l’hôtel était le théâtre d’une formidable agitation artistique, mais aussi de mœurs particulières, Madame Rachou voyait au quotidien ses pensionnaires déguenillés écrire une étape de l’une des plus fiévreuses aventures artistiques du XXe siècle.
Avec : Catherine Marthely
A travers un entretien réalisé avec l’écrivain Gérard-Georges Lemaire
Ce docu-fiction retrace l’épopée du Beat Hôtel par la voix d’un témoin anonyme de ces années durant lesquelles les principales figures de la Beat Generation vécurent à Paris, et – pour certains - y créèrent plusieurs de leurs œuvres maîtresses.
Pour la quatrième année, Interzone Editions était à la manifestation littéraire En ces lieux... des livres, qui s'est tenu le 26 juillet à Loudun. Beau temps, quoi que frisquet le matin, jardin magnifique, hébergeuse charmante, ambiance sympa, rencontres intéressantes.
La Galerie Didier Devillez vous souhaite un bel été et vous donne rendez-vous mi-septembre.
JUAN GYENES (Kaposvar, 1912 – Madrid, 1995) La robe (Composition surréaliste),
circa 1935
Photographie argentique noir & blanc
(tirage d’époque) signée à l’encre
Format : 23,9 x 18,9 cm
Juan Gyenes
Né en Hongrie, Juan Gyenes est photographe indépendant à Budapest, Paris, Londres… durant les années 30. Il s’établit en Espagne en 1940 où il poursuit ses activités. Introduit dans les milieux artistiques d’avant-garde, il réalise de nombreux portraits de ses amis, parmi lesquels : Pablo Picasso, Salvador Dali, Joan Miro, Tsuguharu Fujita, Charlie Chaplin, Artur Rubinstein, Herbert von Karajan, Montserat Caballé, Maria Félix…
GALERIE DIDIER DEVILLEZ
53 rue Emmanuel Van Driessche
1050 Bruxelles (Belgique)
Tél./Fax +32 (0)475 931 935
Woodstock, NY poets Andy Clausen and Pamela Twining hit the road, venturing off on a “Beat Revival Tour,” destination: San Francisco. Joining them is San Francisco poet A.D. Winans. Events at the Beat Museum are free of charge, made possible by Friends of the Beat Museum.
Andy Clausen
Andy Clausen
Andy Clausen was raised in Oakland California USA. He graduated from Bishop O’Dowd High School in 1961 and attended six colleges. After reading the poems of the characters in Kerouac’s books, he felt he’d found his life’s vocation and headlong began trying to be a Beat poet in 1965. He has traveled and read his poetry all over North America and the world. (New York, California, Alaska, Texas, Prague, Kathmandu, Amsterdam etc.) He has maintained a driven intrepid lifestyle and aspired to be a champion of the underdog. He has had many occupations studying humanity and earning a living. Clausen has written about his friendships with Allen Ginsberg, Gregory Corso, Ray Bremser, Janine Pommy Vega, Peter Orlovsky, and many others of the Beat Generation.
He has lectured at universities, high schools, and art centers. Clausen has taught at The Jack Kerouac School of Disembodied Poetics, Naropa University. He was co-editor of, POEMS FOR THE NATION, with Allen Ginsberg and Eliot Katz (Seven Stories Press). He was an editor at LONG SHOT Magazine. Clausen wrote about Ray Bremser and appears in Encyclopedia of Beat Literature (Kurt Hemmer, editor) Clausen has back packed around the world and has resided in over twenty states and provinces.
For twelve years AC conducted poetry workshops in the NY state prison system for Incision Arts. In 1999 Clausen began teaching poetry in the schools under the auspices of Teacher’s & Writers Collaborative. Andy now resides in Woodstock, NY, where he teaches, writes, and performs his work. He lived with Janine Pommy Vega the last 12 years of her life and celebrates The Annual Janine Pommy Vega Poetry Festival in Woodstock.
I was born on the Eastern Shore of Maryland in the middle of the last century, to a melting pot American family with early settler roots, as well as a Native American connection that no one ever discussed. I was always a poet, my first efforts published only in elementary school journals, but my sonnet “Neveah”, written at 16, was honored with a scholarship to a six week poetry workshop in Washington DC. An early poem, “Rejoice! The Second Coming!” was performed at Regina High School in Hyattsville, MD, with orchestration and conducted by prominent Philippine composer, Rosendo E. Santos, professor of music at the Catholic University.
I left school to travel, raise children and live off-the-grid on an organic farm, always finding time to write, though I only started reading my work in public in 2010. During the 1990s, I attended Vassar College on a scholarship received from the Ford Foundation, using poetry as a voice for a Women’s Studies discipline. A long poem “The Rape of Humankind: a Conspiracy Theory”, after William Blake, was used as the subject of a Graduate thesis on Blake, at the request of the professor.
Most of the past years were spent “inhaling”, as it were. And in 2009, my children raised, my parents no longer in need of me, I began to read my work at Open Mics and was soon a Featured performer. My first chapbook, “i have been a river…” was published by Heyday Press in 2011, followed by “utopians & madmen”, DancinFool Press, in 2012 and “A Thousand Years of Wanting” by Shivastan Press in 2013. My work has also appeared in Big Scream #51 and Big Scream #52, Heyday Magazine, Vol 1, Issue 1 and Vol 1, Issue 3, and Napalm Health Spa 2013, the annual magazine of the Museum of American Poetics.
I have appeared with beat legends Andy Clausen and Antler, Jeff Poniewacz, Poet Laureate of Milwaukee, Anne Waldman, George Wallace, and others on stages in Detroit, Milwaukee, Boulder, Denver and Ward CO, and in New York City, as well as Albany and my home of over 40 years, Woodstock, NY.
I am currently working on a long piece, a memoir in poetic form. I am also one of the organizers of the Janine Pommy Vega Poetry Festival, held annually in Woodstock at the Woodstock Artists Association and Museum.
A. D. Winans is a native San Francisco poet, writer and photographer. He is a graduate of San Francisco State University. He returned home from Panama in February 1958 to become part of the Beat and post-Beat era. He is the author of fifty books and chapbooks of poetry and prose. Major books include The Holy Grail: The Charles Bukowski Second Coming Revolution, North Beach Revisited, and This Land Is Not My Land, which won a 2006 PEN Josephine Miles Award for Literary Excellence. Most recent books include The Wrong Side Of Town, Marking Time, Pigeon Feathers, Billie Holiday Me and the Blues, No Rooom For Buddha, and Love – Zero. In 2007 Presa Press published a book of his Selected Poems: The Other Side Of Broadway: Selected Poems 1995-2005. In late 2010, BOS Press published a 300-plus page of his Selected Poems.
Bonjour à tous,
soyez les bienvenus à la nuit des maths, samedi 4 juillet à Tours, conférences (Cédric Villani), mathémagie, jonglerie, nombreuses surpises et théâtre scientifique, L'île logique aura le plaisir d'y donner une représentation de son spectacle de clowns scientifiques, "Pilouface", spectacle familial tout public à 15h, ainsi que "Galois Poincaré, mythes et maths" à 22h15, sur les travaux de ces illustres savants. plus d'infos ici : http://www.nuitdesmaths.org/presentation/
N'hésitez pas, par ailleurs à nous solliciter pour la semaine de la science qui dure 3 semaines !!!
Aussi, il reste quelques places pour le stage théâtre et sciences que nous organisons en Bretagne les 24 et 25 octobre.
Pour ceux qui n'ont pas vu L'affaire 3.14, nous serons au théâtre de la Reine Blanche le 26 septembre (Paris 18e) et les 15 et 16 octobre à Montpellier.
N'hésitez pas à visionner le petit clip sur le la création théâtrale que nous avons faite avec une classe de 5e autour de leur programme de mathématiques, ce concept peut se décliner de multiples façons adaptées !! https://www.youtube.com/watch?v=KFNUoj_D5-A
Toute l'équipe vous souhaite un bel été, caniculairement....
Cédric www.ilelogique.fr
Central Hôtel, by José Altimiras and Guy Marcenac, published by Interzone Editions, is available in Kindle edition on Amazon, for the following prices:
L’association des Amis de Lizières, en partenariat avec le Festival Biarritz Amérique Latine et le soutien de la DRAC Picardie, a le plaisir de vous accueillir au château d’Épaux-Bézu pour un pique-nique présenté par le cinéaste José Luis Valle en clôture de sa résidence réalisée à Lizières.
Dimanche 28 juin 2015 de 11h00 à 17h00
Présentation, programme et infos pratiques ci-dessous
Quimera de José Luis Valle 20′ /2006 / Mexique
≈ Présentation de la journée ≈
Partager ce qui est inutilePar José Luis Valle
“ J’ai décidé de nommer cette journée ainsi, convaincu que ce qu’on fait est inutile. Non pas au sens tragique, mais au sens contraire. Le cinéma, l’art, ont une finalité peu utile (au sens du pratique): alors qu’une chaise est utile, une chaise composée d’ sphères de verre ne l’est pas, mais elle peut être belle et susciter une expérience esthétique envers celui qui l’observe.
Je doit dire que mes aptitudes sociales sont minimes, il a donc été très difficile de réfléchir à cette interaction (je me souviens de l’empathie ressenti, lorsque j’étais enfant en regardant le personnage du film Homeboy dire –à une fille- ce qui lui vint à l’esprit comme étant le plus près à une déclaration d’amour: « j’aimerais que par le seul fait de m’asseoir à tes côtés tu saches que je t’aime »).
Je veux montrer certains de mes travaux qui n’ont jamais été présentées jusqu´à maintenant : fragments de mes courts-métrages d’étudiant, un court de huit minutes réalisé avec 100 dollars dans une langue indigène parlée aujourd’hui uniquement par dix mille personnes au Mexique … étant donné que pour moi le processus de création est aussi important que le résultat, je veux présenter également le making off de mon film Workers, jamais montré, et que j’ai décidé d’exclure des DVD du film.
Workers de José Luis Valle – 122′ / 2013 / Mexique
J’ai également sélectionné pour cette occasion une séquence de mon long-métrage Las búsquedas et deux séquences de Workers, autour desquelles je désire échanger de façon informelle avec le public. Il ne s’agit pas d’un questions-réponses ou de savoir si vous les aimez. Je voulais entraîner quelque chose chez les spectateurs lorsque j’ai filmé ces morceaux de vie, et le processus ne finit que lorsqu’on voit comment ils fonctionnent –ou pas- ces tentatives de dialogue avec les spectateurs, dans ce cas, avec les invités à cette journée (justement mon cinéma est “inachevé”, il finit seulement avec la participation d’un spectateur actif). D’où l’idée de “partager”.
Ensuite, nous essayerons de comprendre quel est le lien entre tout ceci et mon nouveau projet Berlín.
Enfin, en guise d’adieu, il y aura une activité créative surprise.
≈ Programme ≈
11h00 Bienvenue et apéritif. Promenade.
– Courte introduction au programme de la journée. Berlín et Lizières. Coordonnées. Avec des images de mes courts-métrages d’étudiant.
– El camino (Le chemin): partager deux séquences de Workers et une séquence de Las Búsquedas. Échanges, impressions. – Workers, making off. 13h00 Pique-nique mexicain 14h30 Court-métrage ‘Agua para viajeros’ (De l’eau pour les voyageurs) sous-titré français – court échange
– Histoire du projet Berlín. Quelques minutes de matériel inédit du personnage réel qui inspire l’histoire du film.
– Activité créative surprise.
≈ Infos pratiques ≈
Tarifs : 10 € pour les adhérents à l’association Les Amis de Lizières 20 € pour les non-adhérents.
Réservations : Réservation obligatoire avant le 26 juinICI