lundi 2 février 2009

é ditions de l' é clat: Quelques nouvelles de l'éclat

Bonjour,

La page “nouveautés” est mise à jour et présente les titres (et réimpressions) du premier semestre 2009, avec l’annonce d’une nouvelle collection “Terra cognita” dirigée par Alexandre “ex-Kargo” Laumonnier, dont les premiers volumes sortent en avril.

Comme on n’arrête pas le progrès, à compter de février, les éditions de l’éclat diffuseront les Cahiers du judaïsme, revue publiée par l’Alliance israélite universelle. Découvrez la revue sur http://www.lyber-eclat.net/cdj.html. Vous recevrez d’ailleurs prochainement un mail supplémentaire concernant la revue.

Controverses publie son numéro 10 (voir le site http://www.controverses.fr)

Vous pouvez désormais, depuis notre site, consulter nos ouvrages (via Google-recherche-de-livres) et les achetez sur différents portails de collectifs de libraires. Pour plus de détails sur la démarche, lire Par ailleurs, nous sommes heureux de vous annoncer l’ouverture du site de Patricia Farazzi , textes et photos.Merci de votre fidélité
Michel Valensi
Editions de l’éclat
http://www.lyber-eclat.net

Secret Society Shocker Show


Hosted By:dj starr
When:Friday, February 20, 2009
Where:Bunkhouse124 S. 11th StreetLas Vegas
Description:With Blue Vino, Stargasm, Elf Machine and DJ Starr. shocker_tv featuring vjNano, RealBand/Demophon, Nibiru. Ultra Happy Hardcore Dubstep/Breakcore/Drum and Bass with live video scratching and light show. Be There. Our hardcore electronic set would not start till midnight or so.
This show has been rescheduled several times and now it is Feb. 20th, Friday

lundi 26 janvier 2009

Lettre du Messager du Projet Beaucéant- n°45

Chers amis,
Voici la première lettre de mise à jour pour cette nouvelle année 2009, mais déjà la quarante-cinquième depuis le retour du site www.templiers.org sur la toile.
Pour ce numéro, je vous propose de découvrir deux nouvelles commanderies en France : La Cavalerie et Sainte-Eulalie-de-cernon.
Les premières mentions de l’installation des Templiers à La Cavalerie datent de 1180, lorsqu’il est mentionné l’existence de l’église dans le village fondé par l’Ordre...(pour lire la suite)
L'Ordre du Temple s'installe à Sainte Eulalie en 1153, lorsque Raymond, abbé de Gelonne (Saint-Guilhem-le-Désert) donne aux Templiers l'église de Sainte-Eulalie moyennant une rente. Cette première donation marque le début de l'installation des Templiers sur le plateau du Larzac...(pour lire la suite)
En discutant avec quelques internautes au sujet de l'Ordre Teutonique et de ses implantations en Pologne, je me suis aperçu de l'existence d'un lien mort vers le château de Kwidzyn. Ce lien est réparé et je vous invite donc à aller consulter cette page et y découvrir les photos de cette forteresse de l'ordre teutonique :
Au VIème siècle, les environs du village actuel de Kwidzyn étaient habités par les Pomézaniens, une des nombreuses tribus Prusse occupant le territoire de la Pologne actuelle. Dans la première moitié du XIIème siècle, le prince Konrad Mazowiecki (prince de Mazovie) fit venir les Teutoniques sur ses terres (ils reçurent la terre de chełmińska au sud-ouest de Kwidzyn) pour défendre les frontières polonaises contre les attaques des Prusses...(pour lire la suite)
Pour terminer la publications des nouvelles, j'attire votre attention sur un week-end évènement qui se déroulera les 27-28 et 29 mars dans la commune de BIOT (France-Alpes-Maritimes) à l'occasion des 800 ans de l'arrivée des Templiers à cet endroit. Le communiqué de presse est à votre dispositin sur cette page et de plus amples informations vous seront communiquées dès que possible.
N'hésitez pas à venir participer aux thèmes de discussions abordés dans notre forum en suivant ce lien. J'en profite pour remercier les visiteurs du forum qui par leurs expériences, recherches et volonté de partager celles-ci, nous permettent de compléter nos connaissances sur l'Ordre des Templiers.

For our English speaking visitors, we are currently working on bringing you an English language version of this site.
with friendship, and good reading,

Merci de visiter nos boutiques partenaires:
Le Comptoir des Templiers
La Librairie Templiers.org
De nouveaux articles vous y attendent ainsi que des promotions intéressantes :) ...

Christophe Staf

dimanche 25 janvier 2009

Bernard Bacos: Vêpres Laquées sur Paris 70

Bonjour,

Nouveau sur Paris 70 :

4 pages de photos du Palace, de la Main Bleue et des Bains-Douches, tirées du livre "Vêpres Laquées" de Michel SALOFF COSTE

http://paris70.free.fr/vepres-laquees01.htm

Bernard

Gary's proposition on http://www.3quarksdaily.com/

Gary write :

"have you seen this site? http://www.3quarksdaily.com/ It's kind of a mixture of news and art contributed to by various people. I don't think we should try and copy this but i think it's a good concept for the multi-person blog. Potentially different people could be editor/journalists on something they were interested in, say theatre, art, book reviews etc. Some of it could just be posting stuff that is of potential interest to other zoners, or news about zoners, e.g. Foe could advertise his gigs. Or it could just be puttin topics for discussion out there like articles on GS or economics. You control absolutely who can post - basically who the editors are. (When I say you I mean you, or collectively, or whatever you want - contributors can have different permission levels.)"

Izzy

lastfm : shocker_tv

On line at :
http://www.lastfm.fr/music/shocker_tv

lundi 5 janvier 2009

Anthony Rousseau: Meilleurs Voeux / Best Wishes 2009




Bonjour à toutes et à tous,
je vous souhaite mes meilleurs voeux pour cette année 2009 !
Amicalement.
Anthony
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Hi all,
I wish you a nice and happy new year 2009 !
All the best.
Anthony


jeudi 1 janvier 2009

"Div Joyvision" by Datawhore and michael dent now on iTunes

Datawhore is a sound poet based in the UK and creating solo or collaborating with a number of other artists. Datawhore's sounds cover a wide spectrum, from the outrightly ironic and satirical to the very serious and intense. Recently Datawhore released five albums on iTunes, the most recent being "Div Joyvision" comprising a collaboration with michael dent. An intro follows:

Roll for You
The second of my collaborations with Michael. I didn't know until I had completed it what it was about precisely, but the abstraction of working oblivious to the context of the words paradoxically facilitated a soundscape for them. Although I find Michael's best work piercing, I also enjoy working to a sense of "unlanguage", or "words as things", and to this end use a great deal of repetition and monotony (i.e. "on and on and on") to make the words mean nothing.

Ashtray
My first attempt at intuiting Michael's meaning proved successful, from a baby boomer Patsy Cline clip sure to sync with our mutual timeline, to some dissonant loops that create a characteristically muggy, foggy Datawhore undertow.

When I Die
The anger, plain-talking and stoicism in Michael's short text points up the pluses of his work. He can be verbose, but it's these laconic pieces or fragments thereof that make him interesting to me. Human, damaged and defiant, his attitude can grate but there is a core of almost perverse compassion that even if only inferred yet proves attractive.
http://blogs.myspace.com/index.cfm?fuseaction=blog.view&friendID=3868934&blogID=460294971

Wishes from Vasha


lundi 29 décembre 2008

Michel Valensi: « Marchands de bits »

http://www.lyber-eclat.net/marchands-de-bits.html


Depuis quelques semaines, les éditeurs sont la cible de spams émanant d’«Agrégateurs » ou « E-distributeurs agréés pour le projet SNE-BNF »[1]*. Ces spams leur rappellent l’échéance des dépôts de dossier auprès du Centre National du Livre en vue de la numérisation de leurs fonds, et ils sont accompagnés 1) d’une lettre-type, qu’il suffirait – semble-t-il – de remplir aux endroits laissés en blanc (nom, adresse, somme demandée, etc.) et de retourner au CNL pour obtenir la subvention, et 2) d’un devis de numérisation par lesdits Agrégateurs, lesquels se proposent d’« accompagner [les éditeurs] pour (sic) la création du dossier de demande de subvention ». «Le CNL dispose d’un budget de plusieurs centaines de milliers d’euro pour fin 2008. Ne manquez pas cette occasion!» clament encore ces spams[2]. Il convient donc de rappeler en quelques mots de quoi il s’agit. Le projet Gallica2, partenaire français du projet de Bibliothèque Numérique Européenne, oblige les éditeurs à passer par les services d’E-distributeurs agréés pour faire figurer leurs fonds numérisés sur le portail de la Bibliothèque Nationale. Cette riche idée d’un nouvel intermédiaire dans la chaîne du livre vers les bibliothèques est sortie du cerveau malin du fondateur de l’une de ces sociétés de E-distribution à qui la BNF a confié – moyennant finances (publiques, bien sûr !) – la rédaction d’une étude en vue de la création de la Bibliothèque numérique européenne. Dit autrement : on a demandé à Machin de dire quel était le plus court chemin du livre numérique vers la bibliothèque ; Machin a répondu – et a trouvé « des gens assez simples pour le croire » : « Du livre numérique à la bibliothèque, il n’y a qu’un seul chemin : il doit passer par moi, Machin, quitte à ce qu’il y ait quelques autres sous-Machins pour noyer le poisson… ma non troppo». Ce qui suppose, dans l’esprit de Machin, qu’il n’existe plus en France de structures dont le métier consiste à vendre des livres, ou alors que les efforts que ces structures font en vue de se mettre à l’heure du numérique sont nulles et non avenues ; cela suppose également que les éditeurs ne sont pas en mesure de numériser eux-mêmes leurs fonds (ils travaillent encore sur des machines à écrire et certains utilisent la plume d’oie) ; qu’en outre, ils ne savent pas où se trouve la Bibliothèque Nationale de France, et que les quelques économies qu’ils parviennent encore à faire devront servir à payer un nouvel intermédiaire… que je ne résiste pas désormais à baptiser du nom de « marchand de bits »[3]. De plus, un organisme comme le Centre National du Livre, au fonctionnement quasi irréprochable, ou en tout cas autant que peut l’être un organisme d’Etat, dont les fonds proviennent des différentes taxes sur la photocopie et les photocopieurs et dont la mission est d’aider l’édition française en lui redistribuant le manque à gagner causé par la photocopie à grande échelle — le Centre National du Livre, dis-je, consacrera désormais une partie de son budget à accorder des subventions à des éditeurs pour qu’ils les reversent intégralement à ces « marchands de bits » sans lesquels ils n’auront pas accès à Gallica2[4]. C’est tout simplement une opération de racket à grande échelle, à l’endroit d’une profession confrontée toujours plus à des situations difficiles et que la récente crise économique risque de malmener plus encore.
Il est urgent de se demander alors :
1) Si le portail d’une Bibliothèque Nationale est véritablement le lieu approprié pour la vente de fichiers de livres numériques.
2) Quand bien même ce serait le cas[5], est-il raisonnable alors d’imposer aux éditeurs un nouvel intermédiaire dans la chaîne du livre, quand il existe en France des gens dont le métier consiste à vendre des livres et qui pourraient de la même manière, à travers la mise en place de sites marchands, prendre en charge la vente de ces mêmes livres sous leur forme numérique ?[6]
3) N’est-ce pas aux éditeurs eux-mêmes à gérer leurs fonds numériques et accomplir ainsi la mutation à laquelle les contraint internet ?
Encourager et subventionner par ricochet pervers la sous-traitance de la numérisation des fonds des éditeurs et sa commercialisation revient, à moyen terme, à considérer l’édition – une certaine édition – comme une profession condamnée à disparaître, ne serait-ce qu’en réduisant les aides spécifiques à l’édition de livres ‘papier’ dans le domaine de la littérature, des sciences humaines, et des traductions. Ce n’est pas, que je sache, la vocation du Centre National du Livre, à moins de le rebaptiser le Centre National de l’e-book. Si l’on veut absolument aider l’édition à passer l’épreuve du numérique, il faut l’aider à « devenir ce qu’elle est ».
Il est important que les « gens du livre » prennent conscience de ce qui se trame ici à leur insu. Les nouvelles technologies du livre numérique ne sont pas plus adaptées à la lecture que n’a pu être naguère l’escroquerie, suivie de faillites retentissantes, de l’e-book et du cy-book. Elles peuvent accompagner le livre, au titre de l’information ou de la consultation, mais ne sont pas encore en mesure de se substituer à lui. Elles doivent être conçues comme des «compagnons de route».
L’éco-système constitué par les auteurs, les éditeurs, les distributeurs, les libraires et les lecteurs est mis en danger par ces nouveaux venus, qui n’ont pu trouver leur place que parce que l’édition et la librairie n’ont pas su à temps prendre internet à bras le corps et y inventer de nouvelles manières d’éditer qui renforcent leur pratique traditionnelle. De cela, les éditeurs et les libraires sont, certes, en partie responsables. Mais cette prise de conscience tardive commence à porter ses fruits. La librairie indépendante investit la vente en ligne, l’édition met en place ses propres structures pour valoriser ses fonds sur internet. Le lecteur de livres n’est pas dupe « d’une encre électronique qui n’est pas de l’encre et du papier électronique qui n’est pas du papier ». Différents projets de bibliothèques numériques voient le jour en prenant en compte à la fois la réalité des éditeurs et celles des libraires ; elles font l’objet, il est vrai, de procédures hypocrites et chauvines qui témoignent du caractère rétrograde des instances fédératives (et exclusives) de l’édition française[7]. Le projet de Gallica2 tel qu’il est conçu – et que ces mêmes instances soutiennent et encouragent – est un déni de ces efforts. Il plante dans le dos de l’édition française des e-bandrilles qui finiront par avoir raison du livre.
(Cliquez ici pour réagir à ce texte [merci de nous préciser si vous consentez à ce que votre réaction soit "publiée" sur le site].)

Quelques réactions - et mes réponses - à ce texte sur: http://www.larevuedesressources.org/spip.php?article1053
et sur:
http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article1482
Une réponse argumentée et urbaine de François Gèze, directeur des Editions La découverte, suivie d'une réponse.
Voir également le Droit de Réponse paru dans la Revue des Ressources de Denis Zwirn, Président de Numilog.

[1]. Ces noms barbares désignent une nouvelle ‘race’ d’intermédiaires dans la chaîne du livre. « Agrégateurs », parce qu’ils auraient pour mission d’agréger les électrons libres de l’édition traditionnelle et, par là-même de leur conférer un statut grégaire, sous le bâton d’e-bergers privés subventionnés par l’Etat. C’est sans doute cette ‘manne’ publique qui a convaincu Hachette de faire l’acquisition de l’un d’entre eux (Numilog), pour une somme « relativement modeste » (selon le communiqué d’Hachette) de quelques millions d’euros.

[2]. Voici un extrait de l’un de ces spams dont nous vous laissons apprécier l’outrecuidance. Les termes en gras et en couleurs sont de l’E-distributeur (nota bene: lequel n'est pas "Machin", mais "Machin-Chose"!!) ; le soulignement et les commentaires entre crochets sont du rédacteur de ce coup de gueule:
«Dans le cadre du projet SNE / BNF d'aide à la diffusion numérique de documents sous droits, Le Centre national du Livre subventionne votre projet à hauteur de 50% des coûts.
Machin-chose.fr , E-Distributeur agréé, vous accompagne pour la création de votre dossier de demande de subvention !
Il vous suffit de compléter les deux documents ci-joints et de les adresser au CNL AVANT le PREMIER NOVEMBRE 2008 [JOUR DES MORTS !] (la date limite de dépôt de dossier pour une demande de subvention, ouvert à tous adhérents et non-adhérents SNE, est le 2 novembre)
Le CNL dispose d'un budget de plusieurs centaines de milliers d'euro pour fin 2008. Ne manquez pas cette occasion !
Les étapes :
- Vous obtenez l'accord pour la subvention [sic et simpliciter].
- Vous nous expédiez les exemplaires à numériser et votre commande de services.
- Nous réalisons la numérisation, l'OCR (reconnaissance des caractères) et la création du PDF (PDF en mode image devant et texte caché)
- Nous mettons les ebooks en vente sur www.machin-chose.fr aux tarifs que vous définissez.
- Nous remontons les contenus et métadonnées vers Gallica 2 pour un indexage de vos titres (le moteur de recherche de Gallica 2 réalise un indexage complet et renvoie vers www.machin-chose.fr en cas de requête)
- Nous vous reversons 60% du montant des ventes en ligne.

[3]. Ce qu’ils sont pour la plupart, à l’exception toutefois de Tite-Live, partenaire du livre depuis déjà plusieurs années et dont le projet a l’énorme avantage (éthique) d’impliquer les libraires dans ce processus de vente, rétablissant ainsi la chaîne traditionnelle du livre.

[4] Quelques jours après la mise en ligne de ce texte, et après des échanges de vues avec François Gèze, entre autres, ce dernier m'apprend, qu'à sa demande, le CNL ne réservera plus les aides à la numérisation au seul projet Gallica2. C'est déjà un grand pas de fait. On ne peut que saluer cette initiative et saluer aussi celle de François Gèze, qui tout en soutenant - c'est son droit - le projet tel qu'il a été conçu, ne manque pas de suggérer des corrections là où la copie doit être revue...

[5]. Les récentes expériences-test tendent à prouver qu’il n’en est rien et que les ventes de fichiers sont quasi nulles. Sur neuf mois d’expériences menées par l’un de ces agrégateurs, sur un livre des Editions de l’éclat – et non des moindres, puisqu’il s’agissait de la traduction de l’Ethique de Spinoza par Robert Misrahi – les ventes de fichiers étaient de … 2 exemplaires...

[6]. C’est d’ailleurs ce que propose le portail Tite-Live (voir note 3), d’où la différence qu’il convient de faire entre leur projet et ceux des autres Agrégateurs.

[7]. Je veux parler, évidemment, des procès en cours à l’initiative du SNE et du groupe La Martinière contre le projet Google-recherche-de-livres. Pour une approche saine du projet Google-recherche de livres, se reporter aux déclarations de Mr Bazin, bibliothécaire de la Bibliothèque de Lyon, qui vient de conclure un accord avec l’‘ogre’ américain et qui semble ne pas craindre d’être mangé tout cru, au contraire.

* Les notes sont des gloses complémentaires. Nous suggérons de les lire séparément.
éditions de l'éclat

samedi 13 décembre 2008