57 interviews d'Honoré de Balzac http://www.publie.net/fr/ebook/9782814507012/57-interviews-d-honore-de-balzac
un voyage dans la Comédie Humaine en temps réel avec
l'auteur même
Contributeur : | Jerome Pintoux (Auteur) |
Publication : | 09/11/2012 |
Langue : | Français |
Pages : | 58 |
Collection : | Ouvrez... |
ISBN : | 978-2-81450-701-2 |
Description
La littérature n'avance que par ses coups de
folie, ses entreprises excessives. Et, surtout, elle n'avance que lorsqu'elle
surgit d'elle-même, s'avale au passage.
Ainsi, je ne suis pas sûr que Jérôme Pintoux puisse séparer son itinéraire de lecteur, les auteurs qui sont pour chacun notre bibliothèque, toutes époques, tous pays, de ce que je suppose qu'il a fait si longtemps : faire travailler des classes de lycéens sur les grands noms du passé, mais en secouer l'éventuelle poussière qu'ils ont dans les manuels, et de ce que je sais d'un autre versant de lui : chroniqueur des musiques qui ont changé le monde pour ceux de notre génération.
Jérôme Pintoux, je le savais occupé à des travaux qui ne pouvaient être qu'excessifs. Mais je ne savais pas le plus permanent de ce travail: pour chaque auteur lu, dresser un interview imaginaire. Et lorsqu'il s'agit d'auteurs qui le touchent de près, ceux de l'underground américain, les grands noms sombres du fantastique ou de la science-fiction, les interviews se multiplient, se déploient sur tous les pans de l'auteur et de l'oeuvre.
Aujourd'hui, Jérôme Pintoux est à la tête d'une foule de ces interviews: 2135 exactement.
Alors c'est deux "Ouvrez" hors série que nous proposons ensemble : un format élargi, mais une série qui s'ouvre dans la série – voici deux ensembles d'interviews, 57 concernent Balzac et la Comédie Humaine, et nous proposons parallèllement un autre ensemble, les 50 qui concernent Jules Verne.
Et c'est un régal, une excitation formidable. L'intervieweur est tour à tour insolent, rebelle, curieux, il joue de toutes ses armes, y compris l'uchronie (puisqu'il parle depuis notre présent, et l'interviewé du sien). Alors on voit l'oeuvre par les coulisses. Les souvenirs de lecture affluent, vous donnent envie de courir reprendre le livre. Et on est comme tout vexé de ce qu'on ne connaît pas, qu'on a envie de dévorer sans attendre. Mais surtout, à ces conversations qui se suivent dans un rythme rapide, sec, nerveux, c'est bien l'interviewé qui surgit dans sa machine d'écriture, ses petits défauts, sa grande bonhommie. Et cette intuition des géants, qu'ici seulement on aura eu le droit de venir voir tout près.
Bon match de catch.
FB
Ainsi, je ne suis pas sûr que Jérôme Pintoux puisse séparer son itinéraire de lecteur, les auteurs qui sont pour chacun notre bibliothèque, toutes époques, tous pays, de ce que je suppose qu'il a fait si longtemps : faire travailler des classes de lycéens sur les grands noms du passé, mais en secouer l'éventuelle poussière qu'ils ont dans les manuels, et de ce que je sais d'un autre versant de lui : chroniqueur des musiques qui ont changé le monde pour ceux de notre génération.
Jérôme Pintoux, je le savais occupé à des travaux qui ne pouvaient être qu'excessifs. Mais je ne savais pas le plus permanent de ce travail: pour chaque auteur lu, dresser un interview imaginaire. Et lorsqu'il s'agit d'auteurs qui le touchent de près, ceux de l'underground américain, les grands noms sombres du fantastique ou de la science-fiction, les interviews se multiplient, se déploient sur tous les pans de l'auteur et de l'oeuvre.
Aujourd'hui, Jérôme Pintoux est à la tête d'une foule de ces interviews: 2135 exactement.
Alors c'est deux "Ouvrez" hors série que nous proposons ensemble : un format élargi, mais une série qui s'ouvre dans la série – voici deux ensembles d'interviews, 57 concernent Balzac et la Comédie Humaine, et nous proposons parallèllement un autre ensemble, les 50 qui concernent Jules Verne.
Et c'est un régal, une excitation formidable. L'intervieweur est tour à tour insolent, rebelle, curieux, il joue de toutes ses armes, y compris l'uchronie (puisqu'il parle depuis notre présent, et l'interviewé du sien). Alors on voit l'oeuvre par les coulisses. Les souvenirs de lecture affluent, vous donnent envie de courir reprendre le livre. Et on est comme tout vexé de ce qu'on ne connaît pas, qu'on a envie de dévorer sans attendre. Mais surtout, à ces conversations qui se suivent dans un rythme rapide, sec, nerveux, c'est bien l'interviewé qui surgit dans sa machine d'écriture, ses petits défauts, sa grande bonhommie. Et cette intuition des géants, qu'ici seulement on aura eu le droit de venir voir tout près.
Bon match de catch.
FB
50 interviews de Jules Verne http://www.publie.net/fr/ebook/9782814507029/50-interviews-de-jules-verne l'inventeur des Voyages Extraordinaires comme il ne
s'était jamais confié à personne
Contributeur : | Jerome Pintoux (Auteur) |
Publication : | 09/11/2012 |
Langue : | Français |
Pages : | 58 |
Collection : | Ouvrez... |
ISBN : | 978-2-81450-702-9 |
La littérature n'avance que par ses coups de folie, ses
entreprises excessives. Et, surtout, elle n'avance que lorsqu'elle surgit
d'elle-même, s'avale au passage.
Ainsi, je ne suis pas sûr que Jérôme Pintoux puisse séparer son itinéraire de lecteur, les auteurs qui sont pour chacun notre bibliothèque, toutes époques, tous pays, de ce que je suppose qu'il a fait si longtemps : faire travailler des classes de lycéens sur les grands noms du passé, mais en secouer l'éventuelle poussière qu'ils ont dans les manuels, et de ce que je sais d'un autre versant de lui : chroniqueur des musiques qui ont changé le monde pour ceux de notre génération.
Jérôme Pintoux, je le savais occupé à des travaux qui ne pouvaient être qu'excessifs. Mais je ne savais pas le plus permanent de ce travail: pour chaque auteur lu, dresser un interview imaginaire. Et lorsqu'il s'agit d'auteurs qui le touchent de près, ceux de l'underground américain, les grands noms sombres du fantastique ou de la science-fiction, les interviews se multiplient, se déploient sur tous les pans de l'auteur et de l'oeuvre.
Aujourd'hui, Jérôme Pintoux est à la tête d'une foule de ces interviews: 2135 exactement.
Alors c'est deux "Ouvrez" hors série que nous proposons ensemble : un format élargi, mais une série qui s'ouvre dans la série – voici deux ensembles d'interviews, 57 concernent Balzac et la Comédie Humaine, et nous proposons parallèllement un autre ensemble, les 50 qui concernent Jules Verne.
Et c'est un régal, une excitation formidable. L'intervieweur est tour à tour insolent, rebelle, curieux, il joue de toutes ses armes, y compris l'uchronie (puisqu'il parle depuis notre présent, et l'interviewé du sien). Alors on voit l'oeuvre par les coulisses. Les souvenirs de lecture affluent, vous donnent envie de courir reprendre le livre. Et on est comme tout vexé de ce qu'on ne connaît pas, qu'on a envie de dévorer sans attendre. Mais surtout, à ces conversations qui se suivent dans un rythme rapide, sec, nerveux, c'est bien l'interviewé qui surgit dans sa machine d'écriture, ses petits défauts, sa grande bonhommie. Et cette intuition des géants, qu'ici seulement on aura eu le droit de venir voir tout près.
Bon match de catch.
FB
Ainsi, je ne suis pas sûr que Jérôme Pintoux puisse séparer son itinéraire de lecteur, les auteurs qui sont pour chacun notre bibliothèque, toutes époques, tous pays, de ce que je suppose qu'il a fait si longtemps : faire travailler des classes de lycéens sur les grands noms du passé, mais en secouer l'éventuelle poussière qu'ils ont dans les manuels, et de ce que je sais d'un autre versant de lui : chroniqueur des musiques qui ont changé le monde pour ceux de notre génération.
Jérôme Pintoux, je le savais occupé à des travaux qui ne pouvaient être qu'excessifs. Mais je ne savais pas le plus permanent de ce travail: pour chaque auteur lu, dresser un interview imaginaire. Et lorsqu'il s'agit d'auteurs qui le touchent de près, ceux de l'underground américain, les grands noms sombres du fantastique ou de la science-fiction, les interviews se multiplient, se déploient sur tous les pans de l'auteur et de l'oeuvre.
Aujourd'hui, Jérôme Pintoux est à la tête d'une foule de ces interviews: 2135 exactement.
Alors c'est deux "Ouvrez" hors série que nous proposons ensemble : un format élargi, mais une série qui s'ouvre dans la série – voici deux ensembles d'interviews, 57 concernent Balzac et la Comédie Humaine, et nous proposons parallèllement un autre ensemble, les 50 qui concernent Jules Verne.
Et c'est un régal, une excitation formidable. L'intervieweur est tour à tour insolent, rebelle, curieux, il joue de toutes ses armes, y compris l'uchronie (puisqu'il parle depuis notre présent, et l'interviewé du sien). Alors on voit l'oeuvre par les coulisses. Les souvenirs de lecture affluent, vous donnent envie de courir reprendre le livre. Et on est comme tout vexé de ce qu'on ne connaît pas, qu'on a envie de dévorer sans attendre. Mais surtout, à ces conversations qui se suivent dans un rythme rapide, sec, nerveux, c'est bien l'interviewé qui surgit dans sa machine d'écriture, ses petits défauts, sa grande bonhommie. Et cette intuition des géants, qu'ici seulement on aura eu le droit de venir voir tout près.
Bon match de catch.
FB