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vendredi 6 septembre 2013
Quelques nouvelles de l'éclat
Bonjour
Les deux "nouveautés" de septembre sont en librairie à partir de jeudi.
Occasion de retrouver Paolo
Virno, après Opportunisme, cynisme et peur (1991) ou
Grammaire de la multitude (2002). Et ainsi de suite. La régression
à l'infini et comment l'interrompre, s'attache à un "détail" (la
"régression à l'infini") qui en dit long sur notre difficulté à faire face au
monde tel qu'il est. Et dès lors, comment l'interrompre? Comme toujours chez Virno,
on part d'un point et… on va le plus loin possible dans l'analyse.
Puis la première traduction en français d'un livre de Rita
di Leo, "L'expérience profane. Du capitalisme au socialisme et
vice-versa", sur l'expérience soviétique qu'il est grand temps d'analyser
pour la comprendre et non plus pour la combattre ou pour la glorifier. Le livre
donne une analyse implacable de la "guerre de soixante-quatorze ans" (1917-1991)
qui a marqué le XXe siècle. Il est préfacé par Mario Tronti,
avec qui Rita di Leo a fondé, dans les années 1960, la revue Classe
operaia en Italie (voir Nous opéraïstes, de Tronti, paru au début
de l'année).
Paraît également en version numérique "expérimentale"
seulement et en bilingue anglais-français un
Abecedarium "destiné aux architectes, aux designers et aux créateurs en
général", établi par Céline Poisson, professeur à l'école de
Design de l'Uqam (Montréal) à partir des dix mille définitions de concepts de Charles
S. Pierce pour le Century Dictionary. Un outil ludique et
indispensable (comme tout ce qui est ludique).
Quelques réimpressions, également, attendues depuis un petit moment:
Alfred Korzybski, Giordano Bruno, Yona Friedman, Pic de la
Mirandole
Vous trouverez tous les détails sur ces parutions sur la page http://www.lyber-eclat.net/nouveautes.html
Sur cette même page vous trouverez aussi le rappel des titres du premier
semestre, encore disponibles dans les "meilleures librairies"…Bonne rentrée à
vous tous
Merci de votre fidélitéMichel Valensi
Editions de l'éclat
Editions de l'éclat
mercredi 4 septembre 2013
Anthony Rousseau: Journées Européennes du Patrimoine 2013 - Danse macabre à l'Hospice Comtesse - Lille
Découvrez au Musée
de l'Hospice Comtesse, l'œuvre "Danse macabre" d'Anthony Rousseau (samedi 14
et dimanche 15 septembre de 10h à 18h) dans le cadre des journées Européennes du
Patrimoine 2013…
Rencontre avec l'artiste le dimanche 15 septembre de 10h00 à 18h00.
"Danse macabre" est une installation audiovisuelle dont le thème est la
danse macabre ou danse de la Mort. Ce choix a été guidé par différents facteurs
: la volonté de réactualiser une forme ancienne de représentation symbolique de
la Mort dans notre société et le souhait d'interroger les rapports entretenus
entre le spectateur et ce thème.
Cette installation se présente sous la forme d'une table avec un plateau
tournant sur lequel est posé un dodécagone composé de miroirs. Le spectateur
tourne ce plateau pour activer diverses séquences audiovisuelles. Ce "mobilier"
inspiré des jeux forains, met en place un système de monstration ludique, qui
associe les techniques liées au proxinoscope considéré comme l'un des ancêtres
du cinéma (pré-cinéma) et des technologies plus récentes liées à l'électronique
et au numérique.
Création musicale et développement informatique : Adrien Fontaine
Danse : Sarah Duthille et Anne Deroo
Ce projet est soutenu par la région Nord-Pas-de-Calais, Pictanovo, "Lille,
ville d'Arts du Futur", la Ville de Tourcoing, l'association COMBO et le
Fresnoy, studio national des arts contemporains.
LIZIERES : "Ceci et Cela" un film de Michel Pellaton en résidence à LIZIERES
"Ceci et
Cela"
film
d’artiste réalisé par Michel Pellaton,
dans
le cadre de sa résidence à LIZIERES soutenue par la DRAC de Picardie, 5 au 23
août 2013
cliquez
sur le lien pour voir la vidéo: http://vimeo.com/73302614
~ La démarche artistique de Michel
Pellaton ~
“J’écris
sur le monde avec des images.
L’iconographie
est au centre de ma démarche. A voir mes collages, tout est un choix réfléchi.
La forme du jeu combinatoire des multiples parties rapportées rencontre la
recherche de possibilités d’un monde qui n’est pas résigné. Pour se faire, la
forme est considérée comme un moyen; c’est le contenu qui est privilégié. Je
considère le collage comme une méthode permettant de saisir le monde dans le
temps; les contenus proviennent autant d’images ou d’objets d’hier que
d’aujourd’hui, d’ici que d’ailleurs. Ces choix opèrent ainsi une performativité
qui permet, aux spectateurs, acteurs, collectionneurs et moi-même, d’aller et
de venir, d’entrer par un signe ici ou par une matière là, pour partager nos
propres moyens avec ceux proposés dans l’œuvre.
Les
collages sont souvent de petite taille pour mettre en évidence notre rapport de
l’égo avec l’infini. Ce sont en quelque sorte des « cartes d’identités »
fragmentaires, qui tentent de composer et synthétiser du sens dans le mouvement.
Je désire qu’ils soient vivants, ludiques et encore plus. Colorés et
esthétiques, ils sont faits de matériaux parfois pauvres mais mis en évidence
avec précaution. ”
~ La résidence à LIZIERES : réalisation
du projet « Ceci et Cela » ~
Michel
Pellaton décide de profiter de sa résidence à LIZIERES, et des ressources
logistiques, techniques et humaines mises à sa disposition, pour développer un
projet vidéo, une première dans son parcours artistique.
Le
point de départ de la vidéo est celui de la série des origamis monétaires,
billets de banque pliés formant des micro-architectures replacées dans des
situations urbaines contemporaines.
Michel
Pellaton construit, à partir de ces billets de banque, « objets légers et
imposants », des grattes-ciels en 3 dimensions, à l’image des constructions
d’enfants faites de cubes. Il les place au centre d’un jardin zen, conçu à
partir de sable de silice blanc ramené d’une carrière de l’Aisne. Ces tours sont
détruites à la fin de la vidéo par une tempête de sable.
« J’ai
pensé à une tempête de billets de banque en référence à un de mes derniers
origamis : Grains de sable, qui reprenait une formidable tempête de sable
envahissant Doha en 2009. Catastrophe naturelle ou remise en cause de la valeur
de l’argent ? »
Des
images de Kaboul sont projetées en début et fin de la vidéo en arrière plan, en
confrontation avec le calme du jardin zen.
Remerciements
: Ramuntcho Matta, Pierre Lanneluc, Simona Lanzoni, Véronique Tessier, Valéry
Faidherbe, Donald Abad, Dominique Brisson.
~ Biographie ~
Né
en 1965 à Lausanne, Michel Pellaton a étudié à l’Ecole Régionale des Beaux-Arts
de Besançon et à L’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Nîmes. Il vit actuellement
à Rome. Ses œuvres sont exposées principalement en France, en Italie et en
Suisse.
Lors
de séjours en Afrique de l’Ouest (Maroc, Mauritanie, Mali), en Asie (Inde,
Pakistan, Afghanistan, Népal, Ouzbékistan) et dans les Caraïbes, il glane des
objets usuels et des images qu’il incorpore dans ses collages, sa pratique de
prédilection depuis plus de vingt ans.
De
plus, il réalise des dessins pour des fondations humanitaires et organisations
non gouvernementales.
Depuis
2000, il travaille sur l’iconographie des billets de banque, et collabore avec
l’Université de Lausanne et la Banque Nationale Suisse.
Pour
LIZIERES,
Pedro Serra,
président de l'association des amis de LIZIERES
Ramuntcho
Matta, directeur du Centre de cultures et de ressources
LIZIERES
Les amis
de LIZIERES
association à
but non lucratif créée le 18 septembre 2009 pour permettre au projet LIZIERES de
voir le jour.
11, allée
du comte de Lostanges - 02400 EPAUX-BEZU / +33 (0)9 51 07 13 74
pour plus
de renseignements : www.lizieres.org
/ amis@lizieres.org
vendredi 30 août 2013
samedi 24 août 2013
Cédric Cavenaille: 15 ans de musique
Allez, on tourne une page.
15 ans de musique derrière moi, que je vous invite à découvrir à travers différents extraits. Des compos, des reprises, des improvisations, des concerts, voici un petit aperçu de ma vie musicale.
15 ans de musiqu...e, c'est : 15 groupes - 50 musiciens - 70 concerts
Maintenant, c'est une toute nouvelle aventure avec Eleventh Moon avec qui je l'espère, nous irons le plus loin possible.
En attendant, bonne écoute.https://soundcloud.com/sydouille
Jérôme Pintoux, ancien professeur à Wimille, analyse les chansons de Bob Dylan
http://www.lavoixdunord.fr/region/jerome-pintoux-ancien-professeur-a-wimille-analyse-les-ia31b49090n1491076
Publié le 23/08/2013 - Mis à jour le 23/08/2013 à 12:27
Publié le 23/08/2013 - Mis à jour le 23/08/2013 à 12:27
Par JEAN-PHILIPPE DELATTRE
Jérôme Pintoux a enseigné le français, la littérature et le latin. Pendant deux ans, il a été professeur à Wimille. Et à côté de cela, il a toujours été un passionné de musique. Aujourd’hui retraité, il vient de sortir un ouvrage sur les chansons de Bob Dylan.
Originaire de Poitiers, Jérôme Pintoux a été Boulonnais d’adoption pendant deux ans, de 1980 à 1982. Il a habité Ambleteuse, puis Wimereux, pendant ce qu’il appelait « les années new wave. C’était l’époque où on commençait à voir les clips à la télé ». S’il enseignait le français et le latin à Wimille, il vouait déjà à l’époque un culte à la musique, en particulier au rock. Parmi ses idoles figure Bob Dylan, qu’il considère comme une référence de la « poésie anglophone. J’ai toujours essayé de creuser les textes de Bob Dylan, Jimi Hendrix, Marc Nolan ». Déjà, pendant son activité, il écrivait pour des revues artistiques, « pour me sortir du contexte morose de l’Éducation nationale ». Mais c’est surtout depuis son départ en retraite qu’il peut s’adonner à cette passion et sortir des ouvrages complets.
Bob Dylan de A à Z
Sa dernière création : Bob Dylan, dictionnaire par Jérôme Pintoux, édité chez Camion Blanc. « Ce n’est pas une biographie, explique l’auteur. Ce sont des analyses de chansons, ou de thématiques. Ce n’est pas un ouvrage exhaustif. » Comme son nom l’indique, le livre est un abécédaire, qui classe les sujets par ordre alphabétique. Se succèdent les titres des chansons ou les thèmes, comme « anarchie » ou « anachronie », jusqu’à « zimmerman », dernier mot de ce dictionnaire – c’est aussi le véritable nom de famille de Bob Dylan.
« Il y a des entrées multiples, avec un but toujours didactique. Ce n’est pas du tout un livre people . Ce n’est pas une énième biographie, comme c’est la mode. Dans les livres sur les rockeurs, on parlera plus des addictions de John Lennon que de son imaginaire par exemple. On se limite souvent à des saccages d’hôtels, la drogue, les guitares... Ma démarche est différente. » Fan du chanteur, il s’est donc attaqué à l’œuvre de Dylan plutôt qu’à sa vie. Sa période préférée : les années 60. « À l’époque, il avait un certain génie. Maintenant, il a juste du talent ! » En toute logique, Jérôme Pintoux a donc beaucoup insisté sur cette période dans son livre. Sans oublier le reste pour autant. « Il faut savoir qu’un type comme Dylan a été nobelisable. Il a failli avoir le prix Nobel en 2011 et 2012. Il a traversé le siècle, même si maintenant il n’est plus que l’ombre de lui-même. »
Un livre bien travaillé
« Ce livre, ça fait plusieurs années que je le peaufine. Je l’avais présenté à une maison d’édition en 2006, mais il avait été refusé parce que Dylan n’était pas à la mode. Maintenant, Dylan plaît aux jeunes. Tant mieux ! » Passionné des textes du chanteur depuis toujours, il a eu le temps de bien l’étudier. « Je m’intéresse à Dylan depuis très longtemps. On trouvait les paroles dans certains disques. J’ai trouvé des partitions en Angleterre et en Hollande, pour avoir les paroles. Mais il a fallu que je traduise tout ! J’ai tout dactylographié en 95. J’ai tout recopié sur ordinateur vers 2000. En fait, le bouquin est prêt depuis une dizaine d’années. C’est une somme de travail considérable sur des années. C’est ambitieux, mais j’aimerais bien que mon livre serve de référence. Mon but, c’est d’approfondir, de décrypter. J’aimerais que ça accroche aux États-Unis, qu’ils le traduisent et que Dylan le lise. »
Et s’il venait à rencontrer l’artiste, que lui dirait-il ? « Je lui demanderais quel poème de Rimbaud il préfère. Et il me demanderait sûrement quel est le vôtre ? »
Balthazar Forcalquier : Mino révèle des mondes
http://sapristibalthazar.over-blog.com/article-mino-revele-des-mondes-119494652.html
Texte et photos: Balthazar Forcalquier
Texte et photos: Balthazar Forcalquier
Une fugue pour accompagner cette exploration, une fugue, bien sûr
Mino DC est un artiste, un vrai, rien à voir avec ceux qui papillonnent quelques semaines et pondent une « œuvre » en pontifiant. Non, lui, il se frotte depuis des lustres aux tourments de la création, et je ne serais pas très étonné d'apprendre qu'il y a laissé, parfois, un peu de sa propre viande.
Mino expose des photos en ce moment au « Trompe Souris Café» link, jusqu'à la fin du mois d'août. C'est beau, émouvant, rare.
La technique n'est pas infernale : il photographie des « trucs » dans son jardin, ou bien dans sa cuisine. Il sature les couleurs. Il imprime les images et les plastifient. Voilà la manière dont il s'explique sans barguigner avec une sorte de fraîcheur juvénile et une volubilité candide.
Ces images mènent alors une vie indépendante d'une somptueuse richesse.
Les assises en contreplaqué de chaises d'école abandonnées au temps s'ouvrent en feuilles comme des aurores boréales palpitantes ou les plis compliqués des végétaux exotiques luxuriants et vénéneux .
Des tâches de peinture semblent des amas de constellations, des nurseries moelleuses d'étoiles, des mondes lointains et doux qui inventent leur propre lumière.
Des feuilles tombées au sol se racornissent comme de vieux cuirs ou bien font penser à ces vallées solitaires que des caméras automatiques nous envoient de Mars.
Une planche lardée de coups de cutter, qui a subi les assauts de l'artiste en partance pour d'autres créations anciennes, restitue à sa façon de rugueux souvenirs, hésitants, amples : ce sont les cicatrices de doutes, d'envolées et de lutte.
Le drapée d'une bâche plastique emprunte sa fluidité à un friselis d'eau, mais un friselis qui serait sous acide et se parerait de teintes fluo et d'ondulations extravagantes.
Un fond de graisse dans une poêle nous envoie un message codé, éminemment gracieux, avec des nuances de couleurs que seule la nature ose toujours avec une audace et une délicatesse stupéfiantes.
Chaque tableau est composé de plusieurs images qui se répondent, apportent un contrepoint, « c'est mon côté Pop Art »dit humblement l'immodeste Mino. C'est aussi l'expression d'une connaissance fine des nuances et des unions de teintes qui ne s'apprend nulle part ailleurs que dans l'atelier. En ce sens encore Mino est un artiste qui a fait des milliers de gammes pour parvenir à maîtriser les règles infernales, certes impérieuses mais aussi nécessairement inspirées, de l'harmonie et des fugues.
Son ami JJ Bosstoo accompagne cette exposition d'une matière sonore composée de cliquetis, murmures, chuchotis d'outils, chocs, interjections, bavardages d'oiseau et souffles. On ne pouvait rêver meilleure escorte pour entrer dans cet univers.
Entrée gratuite.
Mino DC 12, rue du lavoir,79600 Airvault.
Voir aussi
Mino se masque et se dévoile http://www.youtube.com/watch?v=UocLRExPgcg
jeudi 8 août 2013
AD Winans: FINAL TREYVON MARTIN POEM
WHEN A BLACK BOYS WALKS HOME ALONE AT NIGHT
who would have thought
skittles and icetea was
a death sentence
not even Dr. Oz
hard rain falling
lady death whisper
in the air
a boy with a dream
walks home at night
to watch an all-star
basketball game
gunned down by a wanna-be cop
and Florida's "stand your ground"
license to kill law
justice denied
by a poor prosecution team
and a judge's tortured
jury instructions
for fear the verdict
might be overturned on appeal
who would have thought
skittles and icetea was
a death sentence
not even Dr. Oz
when a black boy with a dream
walks home alone at night
walks home alone at night
hard rain falling
lady death whisper
in the air
a boy with a dream
walks home at night
to watch an all-star
basketball game
gunned down by a wanna-be cop
and Florida's "stand your ground"
license to kill law
when a black boy with a dream
walks home alone at night
walks home alone at night
justice denied
by a poor prosecution team
and a judge's tortured
jury instructions
for fear the verdict
might be overturned on appeal
when a black boy with a dream
walks home alone at night
no appeal for Treyvon
no appeal for the dead
in the State of Florida where
a young black boy
must forever fear
to walk home alone
in the dark of night
always within a legal
sniper's gun sight
walks home alone at night
no appeal for Treyvon
no appeal for the dead
in the State of Florida where
a young black boy
must forever fear
to walk home alone
in the dark of night
always within a legal
sniper's gun sight
when a black boy with a dream
walks home alone at night
lock and load the chamber
no safety on the gun
make it as black as the night
holster it at the back hip
to keep it from sight
know the law is on your side
black is black white is white
it's OK to shoot on sight
walks home alone at night
lock and load the chamber
no safety on the gun
make it as black as the night
holster it at the back hip
to keep it from sight
know the law is on your side
black is black white is white
it's OK to shoot on sight
when a black boy with a dream
walks home alone at night
Mino DC: vernisage samedi 10 août à partir de 18h
vernisage
samedi 10 août à partir de 18h
projection de
"Mino's décheteck" à 22h
un film de
Jérôme Marichy de 62 minutes
mercredi 31 juillet 2013
Mino DC: La Nouvelle République: La déchethèque : de l'art contemporain
http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/communes/Airvault/n/Contenus/Articles/2013/07/29/La-dechetheque-de-l-art-contemporain-1563466
29/07/2013 05:34
A l'arrivée dans ce paysage, c'est une ambiance sonore qui emporte les oreilles. Le regard est perturbé : où regarder et comment regarder ? L'artiste apparaît et tout prend vie, se raccorde et se raconte. L'ex-chanteur de rock du groupe « Raticide » dévoile son jardin, ses œuvres, ses déchets. "Chaque pièce ici a une histoire avec moi, le mur de pompes utilise toutes mes chaussures de scène" dévoile Mino. Art contemporain, art naïf, art populaire ? Tout se confond dans un vacarme artistique. Mino est dans sa déchethèque : chaque objet, épluchure, feuille de plastique a un vécu. Il connaît chacun et nourrit dans sa tête une petite fiche comme en médiathèque : date de production, utilisation, de mise en déchethèque… Les œuvres sont en évolution constante, vivantes par les affres du temps qui les transforment.
Les sculptures naissent et meurent
Ses voisins l'acceptent bien comme ça et s'intéressent à son travail. Les enfants l'ont surnommé « Monsieur Coccinelle » en référence à une de ses pièces visible de la rue. Depuis 1980 qu'il s'est installé au Grand Moiré, son travail de création évolue et est en perpétuel mouvement.
Des œuvres à entendre par des installations sonores ou par la volonté du vent. Inépuisable, Mino embarque et transforme son monde et les objets qui le peuplent.
Visite gratuite sur rendez-vous uniquement 05.49.69.74.84 ateliermino.free.fr
29/07/2013 05:34
Mino devant son « mur de pompes ».
A l'arrivée dans ce paysage, c'est une ambiance sonore qui emporte les oreilles. Le regard est perturbé : où regarder et comment regarder ? L'artiste apparaît et tout prend vie, se raccorde et se raconte. L'ex-chanteur de rock du groupe « Raticide » dévoile son jardin, ses œuvres, ses déchets. "Chaque pièce ici a une histoire avec moi, le mur de pompes utilise toutes mes chaussures de scène" dévoile Mino. Art contemporain, art naïf, art populaire ? Tout se confond dans un vacarme artistique. Mino est dans sa déchethèque : chaque objet, épluchure, feuille de plastique a un vécu. Il connaît chacun et nourrit dans sa tête une petite fiche comme en médiathèque : date de production, utilisation, de mise en déchethèque… Les œuvres sont en évolution constante, vivantes par les affres du temps qui les transforment.
Les sculptures naissent et meurent
Ses voisins l'acceptent bien comme ça et s'intéressent à son travail. Les enfants l'ont surnommé « Monsieur Coccinelle » en référence à une de ses pièces visible de la rue. Depuis 1980 qu'il s'est installé au Grand Moiré, son travail de création évolue et est en perpétuel mouvement.
Des œuvres à entendre par des installations sonores ou par la volonté du vent. Inépuisable, Mino embarque et transforme son monde et les objets qui le peuplent.
Visite gratuite sur rendez-vous uniquement 05.49.69.74.84 ateliermino.free.fr
Ami Barak: Celeste Prize 2013, 5th edition - deadline 31 July
Last days to enter your work in Celeste Prize, it’s your opportunity to be part of an important talent scouting event: your work will reach a worldwide audience, it will be assessed by an international jury of renowned curators, you could win cash from among 20,000 € prizes and take-up one of several benefits on offer.
Deadline for entry is Wednesday 31 July.
More information:
http://www.celesteprize.com/celesteprize2013/
lundi 29 juillet 2013
Parution de BOB DYLAN Dictionnaire, de Jérôme PINTOUX
BOB DYLAN
Dictionnaire
Dictionnaire
Auteur | Jérôme Pintoux |
Date de parution | 18 juillet 2013 |
Prix | 30 € |
Nombre de pages | 312 |
ISBN | 9782357793224 |
Code | CB237 |
lundi 22 juillet 2013
Jérôme PINTOUX: BOB DYLAN Dictionnaire
BOB DYLAN
Dictionnaire
de Jérôme PINTOUX
Sortie le 15 juillet , éditions Camion Blanc:
http://www.camionblanc.com/?p=detail_livre&ID=528
Dictionnaire
de Jérôme PINTOUX
Sortie le 15 juillet , éditions Camion Blanc:
http://www.camionblanc.com/?p=detail_livre&ID=528
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