dimanche 14 octobre 2012

Jean Puijalon: Le Moine au nez rouge

Institut Diamant et Clownessence ® 2102
 
L’École du Clown Invisible présente La Pratique du Bonheur !
 
Le bonheur ne s’enseigne pas ? Balivernes !
Le Moine au Nez-Rouge questionne à toutes vos réponses !
 
Pour vous,
Qu’est-ce que le Bonheur ?
Par qui et comment l’avez-vous appris ?
Quelle définition du bonheur fonde votre
existence ?
Ici-maintenant, pouvez-vous vous dire
heureux(e) ?
Est-ce que vous avez vérifié ? Etc.
Expérience faite, presque
toutes nos idées à propos du bonheur
sont des créations de l’EgoSystème ;
Elles sont presque toutes fausses !
Et ça ne vous empêche pas d’y croire !
Venez lui en parler et
Le Moine au Nez Rouge
Vous aidera à voir plus clair.
 
Entrée soirée, buffet bio inclus : 5 €
Méditation-Clown + Débris Figne Interactif :
Sous la Haute Autorité Bienveillante et Spirituelle de Pierre Dac, Francis Blanche et Raymond Devos,
Mais aussi Lao Tseu, Hui Neng, Socrate, Diogène, Drukpa Kunley, Mulla Nasruddin, Karrakhani, Spinoza, Chögyam Trungpa, etc.
Avec Yogi Jigme Rigzin Dorje, Sainte Prune von Bingen et Marguerite
 
Entrée libre dans la limite des 39,45 places disponibles de préférence sur inscription au 06 69 31 27 28
 
Dons acceptés au profit des Associations Tibétaines AET et Live to Love
 
Comment ça se passe ? : Mardi 18 septembre, 16 octobre, 20 novembre, 18 décembre 2012
 
Vous arrivez à l’heure à Atelier Z, 62 Avenue de la Grande Armée, 75017 Paris (entre 19H00 et 19H15). Début : 19H20
 
Les Clowns ! Sainte Prune Von Bingen et Marguerite assureront la médiation technique pour les malcomprenant(e)s.
 
Jean PUIJALON
06 03 35 78 30
31 rue Barbès
92130 ISSY-LES-MOULINEAUX
www.institutdiamant.com/blog
 

samedi 13 octobre 2012

Jean Azarel: Enfin paru et à lire d'urgence : "un amour de beatnik", les lettres de Claude Pélieu à Lula Nash-Pélieu 1963 / 1964


 

 "Ma Lu (tu sais quand je dis "ma Lu" c'est tout sauf possessif), toi la meilleure des p'tites Lu dont l'histoire est si incroyable mais vraie que j'ai envie de te proposer de la raconter un jour, tu y es enfin arrivée à faire publier ces lettres de Claude, incandescentes, uniques, reflet d'une poésie brute et pourtant si tendre derrière le torrent de mots. C'est beau de voir s'épanouir peu à peu dans ce livre sa voix singulière, au fil des voyages, des espoirs et des dérives. Je voulais te dire que j'ai tremblé en lisant, que j'avais les yeux pas très secs par moments, parce que votre histoire, c'est un peu la mienne, la nôtre, avec sa part de rêve et sa part de désastre.L'histoire d'une lutte personnelle et collective pour changer sinon la vie, du moins la façon de la voir et de la transmettre. Du Libertaire à la guerre d'Algérie, de Paris à l'Amérique, des vadrouilles erratiques aux chambres d'hôtel sans étoiles (mais elles étaient dans vos yeux), un régal d'écriture nous donne à voir les fragments de la Vérité toute nue. Et elle est bien craquante à poil comme ça la Dame de petite et grande vertu ! Poète beat maudit Claude, poète oublié de la bien pensance littéraire française, je me marre, and hardly fuck the pigs, whatever they think. Ce livre atteint son but, ton but, celui de Benoît Delaune, d'Alain Jégou, de tous ceux qui ont bossé à tes côtés pour qu'il naisse : faire oeuvre de mémoire et rappeler à tous que "le génie d'écriture de Claude Pélieu, lié à cet amour brûlant et absolu -pour toi- transcende le seul témoignage pour nous donner une oeuvre littéraire d'une qualité exceptionnelle dont on trouve peu d'écho dans la littérature pourtant riche du 20è siècle".

Ma Lu, toi la meilleure des p'tites Lu, je te remercie et t'embrasse bien fort"

Jean Azarel

vendredi 12 octobre 2012

Anthony Rousseau: "Oeil" sur ARTE Vidéo Night 2012

Bonsoir à toutes et à tous,

Je tenais à vous informer de la d
iffusion de ma vidéo "Oeil" dans le cadre de la soirée consacrée à l'art vidéo sur Arte le 21 Octobre 2012 de 23h50 à 2h50

Deux avant-premières sont programmées pour découvrir ARTE Video Night 2012 :

A Paris, au Palais de Tokyo, samedi 20 octobre à partir de 19h30, en présence de Véronique Cayla, présidente d’ARTE et de Jean de Loisy, président du Palais de Tokyo.

A Berlin, au KW ( http://www.kw-berlin.de/), lundi 8 octobre à partir de 20h00.

Bien à vous

Anthony Rousseau

jeudi 11 octobre 2012

Vasha DAI: Poetai



Vasha and his friends in Lithuania have realized a poetic album containing, among others, 4 pieces of French poets. A special thanks to them for giving me the opportunity to be part of this album, and a big hug beyond space-time ! (Isabelle Aubert-Baudron)
  • Digital Album

    Immediate download of 9-track album in your choice of MP3 320, FLAC, or just about any other format you could possibly desire.
         Buy Now name your price

- “A season” : translation of an extract of “Une saison en enfer” by Arthur Rimbaud
- “Sentimental” : translation of “Colloque Sentimental” by Paul Verlaine
- “Tavio Akiu Linkis” translation of “La Courbe de tes Yeux” by Paul Eluard.
- “Vienisojo Vynas” : translation of “Le Vin du Solitaire” by Charles Baudelaire.

French voice: Isabelle Aubert-Baudron

Musicians :

Vasha – acoustic guitar, vocal
Gido Lahuis - electric guitar, mandolin, bass
Andrius Radavičius – bass & electric guitar
Arūnas Periokas – drums
Mindaugas Valiukas – flute, back vocal, Jew’s harp, tambourine, back
Arma Agartha – trumpet, noise machine
Mindaugas Kiaunė – bass

about

On the tracks “Antroji”, “Mūza”, “Eldorado” and “Sentimental” acoustic guitar is tuned in E 7/9 or lute tuning.

Acoustic guitar recorded in the forest near Utena and the rest in “Laisva Struktūra“ studio in Kaunas and mixed there by Ramūnas Peršonis during 3 days of July 2011.

The mixing of this album was not finished because during The Process two computers and external hard drives went dead and no information – our
album included – could be retrieved. Anyway, what we wanted to do was to adjust vocal levels on few tracks, the rest we are all satisfied with.
So I ask your understanding while listening and judging!:)

Cover photo by Audrius Šimkūnas.

Tracks‘ photos by Sonia Dietrich.

Booklet designer - Audrius Šimkūnas.

Special thanks to R.A.Ch.M.T for recording device and the rest for support and love.

credits

released 10 October 2012
 

license

all rights reservedd 10 October 2012


mercredi 10 octobre 2012

An Interview with Charles Plymell, early beat generation poet, author: Good poets are full of experiences


http://blues.gr/profiles/blogs/an-interview-with-charles-plymell-early-beat-generation-poet-1
"A deeper emotion might be eliminated. We could do away with guilt or any of the "bad." It might be a 'good thing' But alas!"
Charles Plymell: Matter, Void, Energy, Spirit
Charles Plymell was born on the high plains in Finney County, Kansas in 1935 in a converted chicken coop during one of the blackest dust storms of that period. His father was a cowboy born in the Oklahoma Territory, his mother of Plains Indian descent. He completed his freshman year in high school and dropped out. After working in most all the western states at many types of laboring jobs, he drifted between Los Angeles and Kansas City during his hipster years, steeped in jazz, race music, and country. He later attended Wichita State for a few years, not obtaining a degree.



While working on the docks in San Francisco, he was recruited by students and the founder of The Johns Hopkins Writing Seminars to earn a Masters in Writing. He then settled in Upstate New York with his wife and children teaching and tutoring courses in institutions where he could apply his knowledge and experiences. Many of them were courses in prisons until their population, increasingly victimized, due to the unconstitutional mandatory sentencing and the terrorizing political war on drugs made the experience too overwhelmingly emotive.

His master's thesis at Hopkins was quickly published by City Lights titled Last of the Moccasins and then by Europa Verlag in Austria. After it went out of print, it was reissued with the Los Angeles' artist Robert Williams' painting on the cover. Williams went against his own policy of never doing covers only because Plymell was the first printer of Robert Crumb's Zap Comix. A few copies remain in print and are available from Water Row Books in Sudbury, MA, which has published a Plymell Reader titled Hand on the Doorknob.
Plymell was cited by Governor Finney of Kansas for his contribution to the people as well as the World Book for being the most promising poet of 1976. He opposes the National Endowment for the Arts and has criticized it in print. He claims it became a politicized unjust system feeding on its own mediocrity and self-contradiction. He views were mentioned in the New York Times in "Notes on People" and again in "Washington Talk". He was subsequently blacklisted and has never received any funding from any federal, state, or academic agency to pursue his creativity.

Galerie Ecritures: Stassen


Vernissage en présence de l’auteur

le Vendredi 19 octobre à la Galerie ECRITURES

18h30

 Signature à la librairie « Le Talon d’Achille »

Samedi 20 octobre de 10 h à 12 h

Exposition d’œuvres originales et de dessins préparatoires de

Jean Philippe STASSEN

à la Galerie ECRITURES

1, rue Pierre Petit 03100 MONTLUCON

du 10 Octobre au 24 Novembre 2012
 
Né à Liège en 1966, Jean-Philippe Stassen entre en bande dessinée aux côtés d’un autre Liégeois, le scénariste Denis Lapière. Après Bahamas et Bullwhite, premiers livres issus de publications courtes dans L’Écho des savanes, les deux auteurs signent un diptyque dans la prestigieuse collection « Aire libre » des Éditions Dupuis, en 1992. Le Bar du vieux Français est basé sur les souvenirs du dessinateur, retranscrits et transformés en fiction par le scénariste. Il remportera de nombreux prix, parmi lesquels l’Alph-Art, coup de cœur du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême et, bien des années plus tard, le prix des 20 ans de l’ACBD, l’Association des Critiques de Bande dessinée, choix ultime des critiques français et belges sur vingt ans de bande dessinée de création.

Fort de cette première expérience dans la collection de prestige des Éditions Dupuis, Jean-Philippe Stassen va y publier en solo des livres au ton singulier, Louis le Portugais (qui prend sa ville, Liège, pour décor) et Thérèse (qui aborde la douloureuse question du retour au pays). Deux ouvrages qui montrent déjà à quel point Stassen s’intéresse aux laissés-pour-compte. On y observe avec attention le développement d’un graphisme marqué par le mariage entre une peinture naïve d’origine africaine s’exprimant notamment au travers de couleurs vives et le dessin de bande dessinée franco-belge, marqué par le cerné noir.

Jean-Philippe Stassen publie ensuite Déogratias en 2000, (Prix France Info), ayant pour cadre le Rwanda avant et juste après le génocide de 1994, Pawa, chronique sur ses séjours rwandais (paru en 2002 chez Delcourt), et, dans son sillage, Les Enfants (à nouveau dans la collection « Aire libre » des Éditions Dupuis). À partir de là, Stassen change de statut. Il n’est plus seulement un auteur complet. Il devient une sorte de journaliste. Non pas comme Joe Sacco ou Étienne Davodeau. Stassen est un voyageur. Un nomade dans l’âme. Un aventurier très singulier. Jean-Philippe Stassen ne découvre pas des terres encore vierges mais des humains et leur histoire présente. Un vrai baroudeur, un de ces hommes qui prennent des allers simples, loin de songer déjà au retour, car il n’est pas nécessaire qu’il y en ait un…

Quand il revient, il se mue en conteur. C’est le besoin d’exorciser les horreurs vues et vécues, de partager les beautés rencontrées. Il n’est pas un bonimenteur d’exploits, c’est un auteur de bande dessinée dont chaque ouvrage pourrait être qualifié d’« album de combat ».

Le « combat » des hommes dont le pays est en guerre, en luttes fratricides ou en révolte contre le pouvoir en place. Le « combat » de Stassen pour les faire connaître et comprendre.

Son terrain de prédilection reste la fiction. Mais il témoigne de ce qu’il a vu, lu, appris lors de ses nombreux séjours au Rwanda et dans toute l’Afrique des Grands Lacs en le transposant dans des histoires touchantes, voire terrifiantes, tant elles sont ancrées dans le réel. Jean-Philippe Stassen entame avec ces livres un combat en faveur d’une littérature de bande dessinée engagée, posant un regard intelligent et acéré sur une région de l’Afrique trop souvent présentée à travers des visions tronquées, partiales ou peu informées.

Grand voyageur, Stassen a parcouru très jeune les routes et les pistes de l’Algérie, du Maroc, du Sénégal et du Burkina Faso avant de cingler vers le cœur de l’Afrique. Ce n’est sans doute pas par hasard qu’il a illustré le roman Au cœur des ténèbres de Joseph Conrad pour les Éditions Futuropolis. La noirceur des récits publiés ces quinze dernières années s’exprime particulièrement dans les scènes nocturnes. Sous les cieux étoilés d’Afrique, l’absence de lumière artificielle confère souvent à ces scènes des aspects dramatiques intenses.

Délaissant provisoirement la bande dessinée sous sa forme traditionnelle, les deux derniers travaux de Jean-Philippe Stassen s’apparentent davantage au travail documentaire en bande dessinée. À l’hiver 2008, il réalise un premier reportage pour le magazine XXI à Gibraltar. Et à l’été 2010, pour le même magazine, il raconte la région du Kivu, en République démocratique du Congo, une province secouée par la guerre depuis une vingtaine d’années. Son regard de spécialiste se double d’une approche humaine véritablement empathique.
 

Le blog La vie moderne.net et Lisbonne-Ouarzazate



Le blog La vie moderne.net et  Lisbonne-Ouarzazate : http://www.laviemoderne.net/

Imposture à l'Université ?Trois indices, une énigme

Le Conseil national des universités (CNU) et l'Université Paris 8

lundi 8 octobre 2012

Jean-Noël Darde: L'Inspection générale et le plagiat à l'université : affaires à suivre

Chers Collègues du Conseil scientifique et du Conseil d'administration de l'Université Paris 8,
J'ai appris que la Présidente de notre université, Danielle Tartakowsky, avait demandé d'inscrire le sujet du plagiat, et je suppose celui des affaires de plagiat en suspens, à l'ordre du jour des prochains conseils centraux.
L'article que je viens de mettre en ligne sur mon blog Archéologie du copier coller, " L'Inspection générale et le plagiat à l'université : affaires à suivre... " pourra nourrir la réflexion à ce sujet. Parmi les affaires de plagiat exposées au fil decet article, certaines concernent Paris 8, d'autres Angers, Amiens (UPJV), Lille 2, Lyon 3 etc.
La validation par la Commission déontologie de Paris 8 d'une thèse plagiaire à près de 100% (ici, notice SUDOC de cette thèse et là, la présentation de ce cas sur mon blog) est le problème le plus urgent à résoudre. Comme vous le savez, cette Commission déontologie de neuf membres réunit notamment les trois Vice-présidents et les quatre directeurs d'Écoles doctorales de Paris 8, qui sont aussi, pour une majorité des sept, experts de l'Agence d'évaluation de la Recherche et de l'Enseignement supérieur (AERES) ou élus au Conseil national des universités (CNU), ou encore l'un et l'autre.
Le Directeur de l'École doctorale Cognition, langage, Interaction où cette thèse plagiaire a été soutenue avec tant de succès et l'ancienne Vice-présidente du CA précédent – tous deux membres de la Commission déontologie qui a expertisé (sic) et validé la thèse plagiaire à près de 100% – ont récemment été élus à la tête des nouveaux CA et CS de Paris 8. Je reste donc sceptique sur la réelle volonté et la capacité des nouveaux Conseils à résoudre ces affaires de plagiat dans la transparence et le respect d'une déontologie particulièrement mal traitée à Paris 8. Ceci d'autant plus que la Section disciplinaire qui est susceptible d'agir est une émanation du Conseil d'administration dont la nouvelle Vice-présidente a joué son rôle dans la protection des plagiats et des plagiaires.
Mon scepticisme, renforcé par un entretien à la mi-septembre avec Madame Danielle Tartakowsky (accaparée par ses tâches pour "aller de l'avant", cette historienne respectée ne souhaite pas être distraite par les affaires du passé), m'a conduit à m'adresser à la Ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, Madame Geneviève Fioraso. Je lui ai demandé de créer les conditions d'une enquête impartiale sur les graves affaires de plagiat qui ont porté tort à la réputation de l'Université Paris 8 sous la présidence de Pascal Binczak.
Vous trouverez en fichier joint la copie de ma lettre à la Ministre avec ses annexes : – un témoignage accablant qui concerne un collègue plagiaire (pour en connaître le contexte, lire Paris, 8, procès et plagiats) et que son auteur m'a autorisé à rendre public. Il est complété par le document évoqué (on y voit notre collègue plagiaire mentir effrontément, dénigrer et trahir un jeune chercheur pour tenter de se tirer d'affaire). – mon courrier à Madame Danielle Tartakowsky.
Cordialement, Jean-Noël Darde MCF - Université Paris 8
Pièce jointes:
- Courrier à la Ministre G. Foriaso.17.sept.20
- Témoignage de jh-Chauchat.Plagiat et K.Zreik
- Pièce n°6 déposée par K.Zreik

jeudi 4 octobre 2012

LIZIERES : PIQUE-NIQUE #06 -Jazz avec le quartet 2+2=4, le dimanche 28 octobre 2012

Pique-nique Jazz 2+2=4



Les Amis de LIZIERES sont heureux de vous convier au Château d’Epaux-Bézu

pour l'enregistrement public du quartet de jazz 2+2=4

le dimanche 28 octobre 2012


 


Improvisation de chambre pacifique qui ne refuse ni la préméditation,

ni la répétition, ni les écritures … !


Au programme :

Rendez-vous à 12h au château d’Epaux-Bézu pour un pique-nique "patate"

Au menu : Variations autour de la pomme de terre.

À partir de 14h, sieste musicale et découverte du quartet 2 + 2 = 4

Brian Roessler & Nathan Hanson, contrebasse et saxophones (Minnesota)

Mirtha Pozzi et Pablo Cueco, percussions et zarb (Uruguay et Corrèze)

Ce projet est issu de la rencontre de deux duos qui existent depuis longtemps.

La première rencontre a eu lieu au festival Minnesota sur Seine en 2009, la seconde à Paris à l'automne 2011…

jusqu'à l'enregistrement du 28 octobre 2012 à LIZIÈRES !



~ INFOS PRATIQUES ~


TARIFS :


Tarif plein : 20 euros (ou plus) + la cotisation aux Amis de LIZIERES pour les non adhérents.

Tarif réduit pour les habitants de l’Aisne : 10 euros + la cotisation aux Amis de LIZIERES pour les non adhérents

Réservez dès à présent vos places à cette adresse : reservation@lizieres.org

Nous vous adresserons un formulaire d’inscription ainsi que les modalités de règlements en retour.


Pour adhérer à l'association des Amis de LIZIERES ou renouveler votre adhésion,

veuillez compléter et nous retourner le bulletin d'adhésion 2012, accompagné de votre règlement,

disponible en ligne à l'adresse suivante:





Pour se rendre à LIZIERES :


en voiture :

depuis Paris, prendre l’autoroute de l’Est vers METZ/NANCY > continuer sur l’A4 >

prendre la sortie 20 CHATEAU-THIERRY > prendre la D1, direction SOISSONS (passer BEZUET)

puis emprunter la D87 jusqu’à EPAUX-BEZU (86 kms).

Prévoir une arrivée au Château d’Epaux vers 11h et un départ vers 16h.


en train :

Départ de Paris Gare de l’Est à 10h36, arrivée à Château-Thierry à 11h22

Départ de Château-Thierry à 16h04, retour à Paris à 17h09

Depuis Château-Thierry, taxi ou navette peuvent être mis en place pour votre arrivée,

n’oubliez pas de nous le préciser lors de votre réservation.

LIZIERES, au coeur du village d’Epaux-Bézu, se trouve sur la route de BUIRE

dans l’ancien domaine du Château d’Epaux (11, allée du Comte de Lostanges – 02400 EPAUX-BEZU).

--

Pour LIZIERES,

Pedro Serra, président de l'association des amis de LIZIERES

Ramuntcho Matta, directeur du Centre de cultures et de ressources LIZIERES


Les amis de LIZIERES

association à but non lucratif créée le 18 septembre 2009 pour permettre au projet LIZIERES de voir le jour.

11, allée du comte de Lostanges - 02400 EPAUX-BEZU / +33 (0)9 51 07 13 74

pour plus de renseignements : www.lizieres.org / amis@lizieres.org

 

Galerie Didier Devillez: art on paper 2012 - stéphane mandelbaum

 

 
 


Stéphane Mandelbaum / One man show

Galerie Didier Devillez / room 64 A


the white hotel – 212 av. louise – 4 – 5 – 6 – 7 october 2012
4.10.2012 : 7.30 pm – 12 pm (by invitation only)5.10.2012 : 10 am – 10 pm
6.10.2012 : 10 am – 8 pm
7.10.2012 : 10 am – 6 pm

more info: http://artonpaper.be/

entrance fee : 8€ (5€ senior citizens/students)
free children under 12 years









Michael Stevens: The Road to Interzone

Author Michael Stevens talks about William S. Burroughs and their meeting in Lawrence, Kansas
Posted by Michalis Limnios BLUES @ GREECE on October 3, 2012 at 10:00pm

Michael Stevens: The Road to Interzone
 
“Burroughs was talking about breaking down control systems personally and macrocosmically. This can be found not only in his writing, but in his life and his reading as well.”
 

http://blues.gr/profiles/blogs/author-michael-stevens-talks-about-william-s-burroughs-and-their
 

Gerard Malanga in action

In the blog of Magdalena Kaus (Zurich), a slideshow of Gerard Malanga in action, at Cherry Valley, 23.10.2010, with Charles Plymell, "Roach", Heinz D. Heisl, Elias Schneitter.

http://magdalenakauz.jimdo.com/fotos/

Timmy Hargesheimer: Iggy Pop & The Stooges Greenville Festival Paaren near Berlin live 29 07 2012

Photos Timmy Hargesheimer
Berlin 2012
 
Iggy Pop
 

Mike Watt


Iggy Pop


lundi 1 octobre 2012

Les Inrockuptibles: On y était : Iggy And The Stooges au Casino de Paris

http://www.lesinrocks.com/2012/09/26/musique/concerts/on-y-etait-iggy-and-the-stooges-au-casino-de-paris-11308064/



Mardi soir, Iggy et ses Stooges donnaient un concert privé et marketé sur la scène du Casino de Paris. Idéal pour faire rentrer de l’argent dans les caisses… Et remplir généreusement notre boîte à souvenirs. On y était, on vous raconte.

Un concert privé des Stooges sponsorisé par une marque de bière. Un petit millier de spectateurs triés sur le volet et une grande bannière “Pression Live” (la caution rock de Kronenbourg) étendue d’un bout à l’autre de la scène. Si certains en doutaient encore, la réalité capitaliste a bel et bien rattrapé l’idéologie punk des 1970′s. Aucune surprise donc à retrouver le sourire éclatant de l’iguane pop accroché au logo d’un énième contrat publicitaire : il y a longtemps que le chanteur a pris l’habitude de se (re)faire les dents en rongeant la carotte lucrative des partenariats.
Ce mardi 25 septembre, en attendant l’idole, la salle impatiente étanche au malt et au houblon sa soif de nostalgie punk. Soudain, l’obscurité vient suspendre les goulées. Torse nu et bombé, Iggy déboule sur scène en boxant ses pectoraux. Les accords de Raw Power, résonnent sauvagement dans le Casino de Paris et le sexagénaire récompense l’extase du public de ses traditionnels bras d’honneurs introductifs. Déconneur.
Sans respiration, le groupe enchaîne à l’énergie Search And Destroy et Gimme Danger. Iggy, voix vieillie, aborde sans encombre les variations et les changements de rythme. Tantôt aigu, tantôt grave, à la fois suave et criard, l’organe d’Iggy Pop gagne en profondeur et en couverture à mesure que les chansons s’égrènent. Guidés par les courses effrénées de l’animal, les premiers rangs tanguent dans un gauche/droite sec et nerveux. Sur Shake Appeal, le public déborde sur scène pour encercler le chanteur et respirer sa sueur de plus près. Une vingtaine de spectateurs frénétiques pogote alors en rythme au son des cris stridents exclamés par l’iguane.
Non sans mal, la sécurité parvient à faire redescendre la jeunesse parisienne. Iggy Pop en profite pour s’asperger d’eau avant de remonter le temps jusqu’en 1970. L’hymne crasseux de l’album Fun House, aliène un peu plus les esprits. “I feel alright” martèle Iggy alors que la température monte d’un cran. Toujours vert, l’iguane s’envole dans la foulée pour un slam vertigineux et transpirant. Inquiétude pour le roadie qui n’hésite pas une seconde et s’élance à sa rescousse. Alors que le chanteur vogue tranquillement dans la mer de bras tendus, son assistant dévoué s’écrase au sol dans l’indifférence.
Le concert continue de plus belle. I Wanna Be Your Dog et Open Up And Bleed coagulent la certitude d’assister à un moment d’exception. Sur scène, à rebours des considérations commerciales qui lui assurent une préretraite dorée, Iggy Pop retrouve son instinct punk et ses provocations antérieures. Après une fin de concert précipitée dans un larsen assourdissant, les Stooges reviennent de l’ombre pour laisser éclater No Fun, The Passenger et Louie Louie à la gueule d’un parterre extatique. Les lumières se rallument.
Après une représentation bouillante et insouciante, Iggy se rappelle au bon souvenir de ses annonceurs : il saisit une canette, l’agite, et se douche avec la mousse de sa nouvelle bière préférée. Quelques postures sexuelles en guise de révérence et l’iguane peut disparaître en boitant, le cœur vide et les poches pleines. La silhouette un peu plus cambrée par le poids du paradoxe.
Azzedine Fall
le 26 septembre 2012 à 16h31