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vendredi 22 janvier 2021

Debbie Harry: "Face it" sur France culture

 

France culture vient de diffuser une interview de Debbie Harry dans Affaires culturelles d'Arnaud Laporte, (à réécouter ici), à l'occasion de la sortie en français de sa biographie, Face it, publiée chez HarperCollins https://www.harpercollins.fr/livre/13443/harpercollins/face-it-l-autobiographie

A voir également le long article que Pauline Richard lui consacre dans Section26 https://section-26.fr/debbie-harry-face-it-harper-collins/ et qui contient des vidéos d'une rétrospective de sa carrière.



mardi 21 juin 2016

France Culture: William Burroughs, junky céleste

Sur France Culture aujourd’hui: Beat Generation 2/4 William S. Burroughs, junky céleste dans LA COMPAGNIE DES AUTEURS
http://www.franceculture.fr/emissions/la-compagnie-des-auteurs/beat-generation-24-william-s-burroughs-junky-celeste
Fondateur d’une nouvelle forme d’écriture, William S. Burroughs (1914-1997) a révolutionné l’écriture à partir des années 1950 en proposant un langage abstrait et halluciné, tiré d’une expérience de l’excès : portrait du plus énigmatique des romanciers de la Beat Generation.
William S. Burroughs à Paris en 1964
William S. Burroughs à Paris en 1964 Crédits : Radio France
« Un écrivain ne peut décrire qu’une seule chose : ce que ses sens perçoivent au moment où il écrit… Je ne suis qu’un appareil d’enregistrement… Je ne prétends imposer ni « histoire » ni «intrigue » ni « scénario » … […] Je ne cherche pas à distraire, je ne suis pas un amuseur public… »
Extrait du Festin Nu, de William S. Burroughs (trad. Eric Kahane, Folio/ Gallimard 2002)
William Seward Burroughs reste encore aujourd’hui l’auteur le plus sombre et le plus littéraire de la Beat Generation. Auteur majeur dans l’histoire de la littérature américaine, il expérimenta et développa la technique du Cut-up, qui consiste à défragmenter un texte original pour produire un nouveau langage. Il connaît la notoriété avec son ouvrage phare: The Naked Lunch/ Le Festin Nu publié pour la première fois en France en 1959. Du monde littéraire à la peinture, William Burroughs s’est illustré comme chef de file de la contre-culture en s’affranchissant des règles de l’art et des conventions sociales par la consommation excessive de drogues dures et d’une passion déroutante pour les armes à feu, jusqu’à tuer « accidentellement » sa femme en 1951.
Parcours d’une vie démesurée avec Gérard-Georges Lemaire, écrivain, historien et critique d’art, auteur d’une quinzaine de préfaces aux romans de Williams S. Burroughs, de l’ouvrage Burroughs chez Artefact en 1986 mais aussi de deux anthologies sur la Beat Generation.
Intervenants: Gérard-Georges Lemaire : écrivain et essayiste, Olivier Mony, Jacques Bonnaffé : Comédien.

A lire sur William Burroughs:
chez Interzone Editions: Le Temps des Naguals – Autour de Burroughs et Gysin , anthologie, 135 pages, édition illustrée.
Version pdf en ligne : http://www.inter-zone.org/thetimeofthenaguals/TNFR.pdf
Sommaire: http://www.interzoneeditions.net/TNFRcontents.pdf
Anthologie en anglais: The Time of the Naguals (en ligne en pdf):
– Tome 2: Research: 163 pages
– Tome 3: Cut-ups: 92 pages
– Tome 4: Poems: 150 pages (English, Spanish, French)
– Tome 5: Short stories , 117 pages
– Tome 6 : Theatre , 64 pages
– Tome 7 : Interzone , 127 pages

vendredi 14 août 2015

France Culture: Beat Hôtel

http://www.franceculture.fr/emission-l-heure-du-documentaire-beat-hotel-2015-08-12
54 minutes

Beat Hôtel

Enregistrement





12.08.2015 - 17:00
 Plaque du Beat Hotel © Radio France




Le 15 octobre 1957, Allen Ginsberg et Peter Orlovsky se présentaient à l’accueil d’un hôtel sans nom situé 9, rue Gît-le-Cœur, à deux pas du Quartier Latin. Madame Rachou les reçut. Veuve depuis l’accident de voiture de son mari survenu un an auparavant, elle tenait un établissement miteux, notoirement infesté de rongeurs, mais qui quelques mois plus tôt avait accueilli un auteur en rupture de ban avec l’Amérique raciste : Chester Himes.
Depuis le rachat de cette pension de quarante-deux chambres en 1933, les époux Rachou n’avaient pas effectué de travaux. Au 9, rue Gît-le-cœur, le confort était spartiate. Le système électrique défectueux. Les toilettes à la turque situées sur le palier. Les fenêtres des chambres donnaient sur la cage d’escalier. Une seule baignoire disponible. Et encore. L’eau chaude n’y était dispensée que trois fois par semaine. Aussi, l’établissement comportait un bistrot. Le café y était servi contre quarante centimes. La nuit, elle, était facturée un dollar.
Madame Rachou n’était pas regardante sur les mœurs de ses pensionnaires, pas plus qu’elle n’était à cheval sur les dates du paiement. Une ardoise s’effaçait en échange d’un manuscrit original. Ou bien d’une toile. Car cette femme « sympathique » était une amie des arts. Des décennies plus tôt, alors qu’elle vivait en ménage à Giverny, elle avait travaillé au sein d’une pension par laquelle étaient passés Monet et Pissarro. Alors…
Alors Ginsberg et sa dégaine de prophète sur la paille ? Bienvenue! Bien sûr, parions qu’elle ignorait tout des attaques pour « obscénités » dont son pensionnaire avait précédemment fait l’objet, Madame Rachou. Comme elle ferma les yeux sur les « activités » et les mœurs de la clique beat qui rejoignit Ginsberg dans son hôtel, dès 1958. Parmi elle, William Burroughs, fraîchement débarqué de Tanger, encore marqué par sa plongée dans l’héroïne s’installe dans la chambre n°23 du 9, rue Gît-le-cœur un 16 janvier. C’est là qu’il termine Le Festin Nu.
Tandis qu’autour de lui, Greg Corso rédigeait The Bomb, que Ted Joans élaborait la fresque The Chick Who feels off a Rhino ;  l’hôtel était le théâtre d’une formidable agitation artistique, mais aussi de mœurs particulières, Madame Rachou voyait au quotidien ses pensionnaires déguenillés écrire une étape de l’une des plus fiévreuses aventures artistiques du XXe siècle.


Avec : Catherine Marthely  


A travers un entretien réalisé avec l’écrivain Gérard-Georges Lemaire


 Ce docu-fiction retrace l’épopée du Beat Hôtel par la voix d’un témoin anonyme de ces années durant lesquelles les principales figures de la Beat Generation vécurent à Paris, et – pour certains - y créèrent plusieurs de leurs œuvres maîtresses.


Thème(s) : Information| Littérature Etrangère| Société| beat generation| William Burroughs| Allen Ginsberg

Lien(s)

La Beat Génération

Document(s)

 Kaddish : Allen Ginsberg, Bourgois,
 Le festin nu : William Burroughs , L''imaginaire,
 Beat generation, une anthologie : Gérard-Georges Lemaire , Al Dante,
 The Beat Hotel : Ginsberg, Burroughs, Corso in Paris, 1958-1963  : Barry Miles , Grove press,
 Beat Generation : Collectif Night and Day

jeudi 11 juin 2015

France Culture (10/06/2015) : Le fléau copié-collé, du secondaire à la thèse

Le thème de l’émission Rue des écoles du 10 juin 2015 :
Le fléau copié-collé, du secondaire à la thèse.
Comment le combattre, le prévenir ? L’épidémie de plagiat doit-elle amener à reconsidérer les objectifs attachés au travail des élèves et des étudiants ?
http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=5046611


Invité, j’interviens à différents moments au cours de l’émission
Jean-Noël Darde


Dans le blog Archéologie du copier-coller: http://archeologie-copier-coller.com/?p=12814

dimanche 25 mai 2014

William Burroughs sur France culture: WILL L'OBSCUR :Burroughs aurait cent ans

Mauvais genres

Syndiquer le contenu par François Angelier
24.05.2014 - 22:00
http://www.franceculture.fr/emission-mauvais-genres-will-l-obscur-burroughs-aurait-cent-ans-2014-05-24

Avec ceux de Keaton ,d'Artaud et de Beckett, le visage de William Seward Burroughs est un des plus anxieusement beau du siècle dernier.Face rayonnante et harassée ,anonyme et scandaleuse. Sainte face d'un monde sans dieu.L'auteur du "Festin nu" et théoricien de la subversion généralisée, compatnon de route de la Beat Generation, chroniqueur dantesque de la drogue et de l'homosexualité, aurait cent ans aujourd'hui. L'occasion pour Mauvais Genres de s'immerger ,le temps d'une émission, dans cet univers infernal et kaléidoscopique. Une immersion que nous accomplirons en compagnie de Marc Dachy.
Historien de Dada et spécialiste internationalement  connnu des avant-gardes, il a dirigé le récent numéro du Magazine litteraire consacré au grand Will.

Avec la participation de Celine du Chéné, Helène Frappat,Jean Baptiste Thoret et François l'Yvonnet..
Chronique de Christophe Bier.


William Burroughs © Radio France
Invité(s) :
Marc Dachy
Thème(s) : Arts & Spectacles| Littérature Contemporaine| Littérature Etrangère

Lien(s)

Encyclopédie pratique des Mauvais Genres par Céline du Chené Encyclopédie pratique des Mauvais Genres avec Jean Paul Marcheschi www.marcheschi.fr

Document(s)

Podcast: http://www.franceculture.fr/podcast/4685238


Listen to the program:  http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4852270

jeudi 10 avril 2014

France culture: Ramuntcho Matta + Philippe Baudouin pour les écrits radiophoniques de Walter Benjamin

http://www.franceculture.fr/emission-l-atelier-du-son-ramuntcho-matta-%20-philippe-baudouin-pour-les-ecrits-radiophoniques-de-walt



Ramuntcho Matta prépare une exposition à la galerie Anne Barrault, Paris 3e, qui commence la semaine prochaine. Il fait paraître un livre, L'usage du temps, qui porte le même titre que l'exposition, chez Manuella Editions. Et il a sorti un disque, Météorismes, il y a quelques jours. Pourtant, nous avions lancé l'invitation sans savoir cette actualité pléthorique. Ramuntcho Matta, artiste plurisdisciplinaire, vient du son. Il le dit lui-même. Il dit voir le son quand il ferme les yeux, des formes, des sculptures. Le son, mieux qu'une drogue ! Le fils du peintre Roberto Matta, qui compte une quarantaine de disques à sa production, a un parcours fait de rencontres, d'ouverture à l'autre, d'écoute dans tous les sens du terme. Il y a des noms qui croisent sa route - John Cage, Laurie Anderson, Don Cherry, Brion Gysin, quatre parmi tant d'autres. On en parlera sans doute. Il y a aussi cette attention au "parfois", quand on fait "parfois" ceci ou "parfois" cela, qui donne le nom de sa galerie "SometimeStudio". Enfin, il y a Lizières, lieu pour artistes qu'il a fondé il y a quelques années, connu pour ses résidences d'artistes autant que pour ses pique-niques d'artistes ! Le chemin libre de Ramuntcho Matta passe par l'Atelier du son, ce soir.  04.04.2014 - 23:00


Enregistrement: http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4827936


Exposition:
RAMUNTCHO MATTA I Galerie Anne Barrault

RAMUNTCHO MATTA I Galerie Anne Barrault

Exposition RAMUNTCHO MATTA 10 avril - 17 mai 2014   51 rue des Archives, Paris 3ème N° DE TELEPHONE : 33(0)9 51 70 02 43
10/04/2014 - 17/05/2014